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L’islamisation de l’entreprise

L’Observatoire de l’islamisation relève que le quotidien économique Les Echos du 24 juin consacrait une pleine page à l’islam dans les entreprises (françaises).

Quelques aperçus :

Selon une étude, 26% des DRH (37% en Ile-de-France) perçoivent une augmentation des revendications liées à la « pratique religieuse ».

Mais « on ne compte plus les entreprises, qui, contactées par les Echos, ont refusé de s’exprimer » affirme le quotidien. Un beau témoignage de dhimmitude.

La justice française donne raison aux femmes voilées au travail. Les Echos cite des cas faisant  d’ores déjà jurisprudence, dont l’affaire d’une salariée de Téléperformance. Le conseil des prud’hommes de Paris avait donné raison à l’islamiste contre l’entreprise l’ayant licenciée car le licenciement « présentait un caractère discriminatoire », conformément à l’article L.122-45 du code du travail et à l’article 9 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme.

Hélène Louçano-Jeugnet ex-DRH dans le BTP explique qu’elle avait dû revoir complètement les horaires de travail à cause d’« un fort taux d’absentéisme et à des accidents de travail plus nombreux que d’habitude, les ouvriers étant, durant cette période (ndlr : le ramadan), physiquement affaiblis ».

Une DRH de la grande distribution affirme octroyer automatiquement le jour de l’Aid el Kebir férié car « beaucoup ne viendraient pas de toute façon ». L’Association nationale des DRH (ANDRH) affirme carrément qu’au nom de la diversité, il convient de banaliser  « deux ou trois jours fériés liés à des fêtes catholiques » pour les troquer contre des jours fériés islamiques.

Chez L’Oréal, un poste convoité vient d’être occupé par une femme voilée, ce qui a  suscité des « réticences en interne ». Jean-Claude Le Grand, « Directeur de la diversité » du géant des cosmétiques, défend la salariée en expliquant que « le voile ne doit pas être traité comme un signe distinctif » (sic).
Benjamin Blavier, un des responsables de IMS-Entreprendre pour la cité, dirigée par Claude Bébéar : « C’est exactement comme pour les autres formes de discrimination : il faut informer et échanger pour casser les fantasmes et les préjugés »…

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