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Islam - Page 201

  • Wilders en tête

    Sondage après sondage, le parti de la liberté de Geert Wilders ne cesse de monter aux Pays-Bas.

    Il a 9 sièges au Parlement. Il y a deux semaines, le sondage Maurice de Hond lui donnait 25 sièges. Désormais il lui en donne 27, ce qui pour la première fois le met en tête des intentions de vote, devant le parti chrétien-démocrate du Premier ministre (26) et les travaillistes (21).

    Enfin une réaction à l'islamisation.

  • A Londres, une marche pour l’instauration de la charia

    C'était samedi. Elle était organisée par Anjem Choudary, qui a expliqué récemment sur la BBC que l'application de la charia comprend les lapidations, les flagellations publiques, les amputations...

    L'annonce de la marche indiquait que l'objectif était de « se faire l'émule du prophète et de ses compagnons en réclamant l'islam et en dénonçant l'oppression des lois votées par les humains ».

    Le ministère de l'Intérieur avait autorisé cette marche appelant à renverser tout l'ordre légal britannique et ses fondements...

  • La Malaisie interdit aux chrétiens d'utiliser le nom d'Allah

    En janvier dernier, le gouvernement malaisien avait fait savoir que les non-musulmans n'avaient plus le droit d'utiliser les mots Allah (Dieu), Baitullah (maison de Dieu), Solat (prière), et Kaabah (maison sacrée).

    Ces mots d'origine arabe sont en effet utilisés depuis des siècles par les autres religions que l'islam : les chrétiens appellent Dieu Allah, comme dans les pays arabes.

    Cette décision ayant été fortement contestée, notamment par les catholiques, mais aussi par les sikhs et les hindous, le gouvernement a pris le 16 février un décret laissant entendre que ces mots pouvaient toujours être utilisés à condition qu'il soit spécifié que les publications dans lesquelles ils apparaissent ne s'adressent pas aux musulmans.

    Mais les lobbies islamistes ont protesté à leur tour, et le gouvernement va prendre un nouveau décret pour rétablir l'interdiction totale : "Le nom d'Allah ne peut pas être utilisé par les autres religions que l'Islam, parce que cela risque de semer la confusion parmi les musulmans", a indiqué un fonctionnaire du ministère de l'Intérieur.

  • L’âge du mariage

    Suite à l'affaire de la petite Nojoud, 8 ans, qui a demandé et obtenu le divorce après avoir été forcée de se marier à un homme de 30 ans, le Yemen a fixé à 17 ans l'âge minimum du mariage.

    Le recteur de l'Université Al-Eman, le cheikh Abdul-Majid al-Zindani, et 16 autres personnalités, ont signé une fatwa dénonçant cette loi comme violant la charia, qui est le fondement des lois du pays selon la Constitution.

    Elle est en effet un affront au Prophète, qui prit pour femme une fille de 9 ans...

    (via bivaouac-id)

  • Bla bla bla interreligieux

    Le Comité mixte pour le dialogue entre catholiques et musulmans a tenu sa rencontre annuelle les 24 et 25 février au Vatican. Elle était co-présidée par le cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, et cheikh Ali Abd al-Baqi Shahata, secrétaire général de l'Académie pour la recherche islamique d'Al-Azhar.

    Le Comité mixte a notamment déclaré :

    "Les livres scolaires devraient être mis à jour pour ne pas contenir de textes pouvant offenser les sentiments religieux d'autres croyants, ce qui arrive parfois à cause de fausses présentations de dogmes, valeurs ou histoire d'autres religions."
    Petite question : quand Allah, qui ne peut pas se tromper, dit par le Coran que les chrétiens sont des polythéistes qui adorent une Trinité composée de Dieu, de Jésus et de Marie, où « Dieu est le troisième de trois », que doit-on écrire dans les livres scolaires ?

  • Chelles : après la mosquée, un complexe scolaire…

    Depuis novembre, expliquait hier l'édition Seine-et-Marne du Parisien, les responsables de la moquée de Chelles « courent les marchés et les salles de prière pour exposer leur plan : construire ex nihilo un établissement abritant des classes de primaire, de collège et de lycée ». « Nous avons reçu des réponses par milliers, avec des dons très variables, de l'euro symbolique à 5.000 €, indique Driss Ghinimi, le président de l'association gestionnaire de la mosquée. »

    « Nous avons deux possibilités de terrains, l'un public, l'autre privé », ajoute-t-il.

    Un terrain public pour une école privée islamique ?

    Julien Sanchez, responsable du Front national à Chelles et membre du comité central du FN, a aussitôt écrit à Jean-Paul Planchou (qui est aussi président du groupe PS au conseil général), une lettre ouverte par laquelle il lui demande de « répondre clairement à la question suivante : « Comptez-vous, pour la création du groupe scolaire en question, permettre l'accès au terrain public dont parlent les dirigeants de la mosquée au mépris de la Loi, oui ou non ? »

    « Sans réponse de votre part, ajoute-t-il, je me permettrai d'inviter la presse régionale mais aussi la presse nationale ainsi que la tête de liste FN aux élections européennes en Ile-de-France Jean-Michel DUBOIS à votre prochain Conseil Municipal (prévu le 27 mars) où je ne manquerai pas de me rendre accompagné de nombreux militants du Front National. »

  • Avortement « norvégien »

    La plupart des fœtus norvégiens avortés en Suède sont des filles, déclare Sissel Rogne, directrice de l'organisation médicale étatique norvégienne Bioteknologinemnda.

    Pourquoi des Norvégiennes vont-elles en Suède pour se faire avorter quand elles attendent une fille, et restent-elles en Norvège pour l'avortement d'un garçon ?

    La réponse de Bioteknologinemnda est simple : ces « Norvégiennes » qui avortent en Suède sont « des immigrées ». C'est-à-dire des musulmanes. Une sage-femme déclare que ces patientes sont surtout d'origine pakistanaise, et qu'elle entend souvent leurs parents masculins - mari, oncle, frère - déclarer ouvertement qu'ils ne veulent que d'un garçon.

    L'avortement peut être pratiqué jusqu'à la 12e semaine en Norvège, et le sexe du foetus n'est révélé aux parents qu'au terme de ces douze semaines. Il est permis jusqu'à la 18e semaine en Suède. Une fois qu'on sait que c'est une fille, il suffit de traverser la frontière pour s'en débarrasser.

    (Bivouac-id)

  • Les tribunaux de la charia en Europe

    Le commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Thomas Hammarberg, demande à la Grèce de supprimer la possibilité accordée à la minorité musulmane de Thrace occidentale de faire appel à la charia dans les affaires familiales et de succession. Car cette compétence judiciaire dont disposent les trois muftis de Thrace (nommés par l'Etat), « pose de sérieux problèmes de compatibilité avec les normes européennes et internationales en matière de droits de l'Homme ».

    Avant de s'occuper de la Thrace et de sa très ancienne communauté musulmane, M. Hammarberg pourrait regarder vers la Grande-Bretagne, où il y a désormais une bonne dizaine de tribunaux islamiques, dont les compétences judiciaires vont bien au-delà des affaires familiales et de succession.

  • Un Google islamique...

     

    (Non, ce n'est pas une blague)
    islamicgoogle-1.jpg
  • Ils l’ont fait

    Le député des Pays-Bas (Union européenne) Geert Wilders a été arrêté à son arrivée à l’aéroport de Londres (Royaume-Uni, Union européenne), et va être renvoyé dans son pays : pire qu’un immigré clandestin, qui a des tas de recours.

    « Toute personne qui se voit refuser l'entrée au Royaume-Uni est détenue puis renvoyée » dans son pays d'origine, a déclaré, sans rire, un porte-parole du ministère britannique de l’Intérieur.

    La colonisation islamique du Royaume-Uni (y compris par les clandestins, qui pullulent) doit se poursuivre, sans qu’un trouble-fête puisse venir dire ce qu’il en est de l’islam.

    Laissez-nous nous suicider sans nous donner mauvaise conscience.

     

    Addendum

    Les Pays-Bas ont immédiatement réagi: "Les Pays-Bas regrettent cette décision. Les Pays-Bas estiment que tout parlementaire néerlandais doit pouvoir circuler librement dans l'Union européenne. Le Royaume-Uni a le droit, tout comme les Pays-Bas, de refuser l'entrée à des gens pour des raisons de sécurité. Nous acceptons cela mais nous n'acceptons pas la manière dont cela se passe dans ce cas."

    Peu après, Geert Wilders était mis dans un avion à destination des Pays-Bas.