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Immigration - Page 52

  • Le bluff d’Hortefeux

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le ministre de l’Immigration annonce triomphalement que près de 30.000 étrangers ont été reconduits aux « frontières » en 2008, soit 28,5 % de plus qu’en 2007.

    Il souligne lui-même que le tiers de ces éloignements sont des « retours volontaires », en augmentation de plus de 200 % par rapport à 2007.

    Or la grande majorité de ces « retours volontaires » sont des « retours humanitaires » de Roms roumains et bulgares qui empochent le pécule qu’on leur donne et reviennent ensuite quand ils veulent, au nom de la libre circulation des citoyens de l’Union européenne.

    Pendant que M. Hortefeux prend les Français pour des imbéciles, l’immigration se poursuit donc comme avant, augmentée de « l’immigration de travail » voulue par M. Sarkozy aux dépends des travailleurs français.

  • Finlande multiculturelle

    Le carnet de timbres finlandais qui sort le 22 janvier (merci à VI) :

    Carnet de timbres Finlandais001.jpg
    Carnet de timbres Finlandais001.jpg
  • Des jeunes hissent le drapeau français sur un lycée algérien…

    Quatre élèves de terminale du lycée Okba-Ben Nafaâ à Bab El-Oued viennent d’être exclus de l’établissement et seront poursuivis en justice, pour avoir remplacé le drapeau algérien par le drapeau français sur l’établissement, et avoir écrit : Vive la France.

    Bivouac-ID, qui rapporte le fait d’après DZ Presse, suggère que l’on propose à l’Algérie « d’échanger ces quatre Algériens qui semblent se sentir français, contre ceux de nos concitoyens qui au bout de la énième génération persistent à se sentir et à se comporter en Algériens ».

  • M’sieur il m’a fait mal

    Le Dal est allé se plaindre auprès de l’AFP que cinq de ses 300 manifestants (dont Jean-Baptiste Eyraud soi-même, bien sûr) ont été blessés hier par la police près du pont des Arts à Paris, en voulant échapper à l’encerclement des gardes mobiles.

    Jean-Baptiste Eyraud en a profité pour dénoncer non seulement les violences policières mais aussi les pompiers et le SAMU, qui ont refusé de le prendre en charge : "Trois femmes ont été évacuées par les pompiers, une autre par le SAMU, et moi, qui vais sans doute avoir le poignet plâtré à cause de coups de matraque et bouclier, les secours ont refusé de m'embarquer expliquant: on n'est pas un taxi, j'irai donc à l'hôpital par mes propres moyens."

    La préfecture de police, qui a compté 180 manifestants, et qui souligne que cette manifestation n’avait fait l’objet d’aucune déclaration, dément formellement toute violence contre les manifestants. Elle précise qu'elle a interpellé "un individu qui tentait de forcer un barrage de police" et que cet homme "devra répondre de violence et outrage contre des agents de la force publique".

  • Les « privés de papiers »

    Les idéologues immigrationnistes ont imposé que les immigrants qui n’ont aucun titre à résider sur le territoire français soient appelés des « sans-papiers » : ils ne sont pas des clandestins, des hors la loi, ce sont des gens à qui on n’a pas donné de papiers. Et donc à qui on doit en donner.

    Mais « sans-papiers » est un « néologisme déshumanisant », pour José Chidlovsky et Rabeha El Bouhati, qui sont en train de tourner un « film militant », entre Toulouse, Hendaye et Paris, sur ces personnes qui sont « exclues de la qualité de citoyen ».

    Il ne faut donc pas les appeler « sans-papiers », mais « privés de papiers ». Afin de souligner l’injustice qui les frappe.
    Le budget du film, qui n’est « pas sur les sans-papiers, mais avec les privés de papiers », avoisine les 350.000 euros. L'Institut national de l'audiovisuel (INA) a donné une aide de 150 000 €. Le conseil régional Midi-Pyrénées a apporté 102 000 €.

    (source, via François Desouche)

  • Ils appellent cela des « rivalités de quartier »…

    Extraits d'une dépêche de l'AFP:

    Un homme de 21 ans a été mortellement poignardé jeudi soir à Paris à la suite d'un différend avec un autre jeune âgé de 17 ans, un drame dans un contexte de rivalités de quartier à la suite duquel 39 autres jeunes ont été interpellés, a-t-on appris de sources policières. (…)

    14 jeunes gens ont été interpellés pour "attroupement armé" et placés en garde à vue et 25 autres pour "dégradations de voitures et de vitrines", essentiellement dans la rue du Commerce, artère commerçante proche des lieux du drame, et réparties dans différents commissariats parisiens. (…)

    Selon un riverain interrogé par l'AFP, la victime était issue d'une famille modeste de sept enfants, d'origine malienne. (...)

  • Régularisés

    Les 19 clandestins maliens de l'entreprise Griallet (disparue en septembre) qui s'étaient mis en grève le 22 mai à Montreuil pour demander leur régularisation ont obtenu des autorisations provisoires de séjour, après une "lutte héroïque", selon la CGT.

    Cette décision est a priori conforme à la circulaire du 7 janvier 2008, qui permet la régularisation de clandestins munis d’un contrat de travail… ou d’une simple « promesse d’embauche ».

    Ici il s’agit de « promesses d’embauche ». Elles émanent « de petits artisans de Seine-Saint-Denis, notamment du secteur de la construction-bois et de l'économie sociale », précise la CGT.

    Les clandestins vont donc être régularisés avant que la promesse d’embauche soit concrétisée…
    On remarquera que la circulaire précisait que ces embauches, ou promesses, ne pouvaient se faire que dans 30 métiers manquant de main d’œuvre.

    Il est manifeste que cette condition n’est pas réalisée pour ceux qui ont une prétendue promesse d’embauche dans « l’économie sociale », qui ne correspond à aucun des 30 métiers (spécialisés…) donnés dans la circulaire.

    Comme on pouvait s’en douter, cette restriction n’était qu’un ornement pour faire croire qu’on voulait éviter les régularisations massives.

  • Rue de la banque : ça recommence ?

    Le Dal a réinstallé hier en fin d'après-midi sur un trottoir du centre de Paris un campement abritant sous une bâche une soixantaine de personnes (les habituelles femmes africaines avec leurs enfants), pour "obtenir des logements".

    "Pour ne pas être oubliées par l'État, les familles ont décidé (sic) de recommencer leur mouvement, un an jour pour jour après le démontage du campement" au même endroit, rue de la Banque, a expliqué le président du Dal, Jean-Baptiste Eyraud, qui a précisé que cette occupation "allait durer".

  • Le Dal à la fête

    Depuis hier 1er décembre, les personnes qui ont théoriquement obtenu un logement au titre de la loi DALO, mais n’ont rien vu venir, peuvent déposer un recours en justice.

    Naturellement, le Dal n’allait pas laisser passer l’occasion.

    Jean-Baptiste Ayraud est allé « accompagner » quelques dizaines de ses otages africains au tribunal administratif de la rue de Jouy à Paris.

    La police a bloqué les manifestants au coin de la rue, pour les empêcher d'accéder collectivement au tribunal. Le Dal a naturellement provoqué une bousculade, lors de laquelle Eyraud est tombé par terre. « On ne fait rien de mal, on vient juste saisir la justice! », s'est-il écrié. Non sans dénoncer « le racisme » des policiers…

    Selon le Dal, il y avait 150 manifestants. Une vingtaine de recours ont été enregistrés.

     

  • Ils sont sortis…

    Les 58 clandestins africains qui occupaient l’église Saint-Paul de Nanterre depuis avril ont mis fin à leur action ce matin, à la suite de la procédure judiciaire engagée par le diocèse, et la visite d'un huissier lundi dernier.

    Ils ont… installé des tentes devant l'église.