Le Dal a réinstallé hier en fin d'après-midi sur un trottoir du centre de Paris un campement abritant sous une bâche une soixantaine de personnes (les habituelles femmes africaines avec leurs enfants), pour "obtenir des logements".
"Pour ne pas être oubliées par l'État, les familles ont décidé (sic) de recommencer leur mouvement, un an jour pour jour après le démontage du campement" au même endroit, rue de la Banque, a expliqué le président du Dal, Jean-Baptiste Eyraud, qui a précisé que cette occupation "allait durer".
Commentaires
Ces familles ne réclament pas des logements.
Soyons plus précis.
Ces familles réclament nos logements.
On peut même être encore plus précis: ces familles réclament un logement chez nous alors qu'elles en avaient et en ont sans doute encore un autre au pays: puisqu'elles tiennent tellement à un logement il leur suffit d'aller réoccuper le leur, chez elles.