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Les « privés de papiers »

Les idéologues immigrationnistes ont imposé que les immigrants qui n’ont aucun titre à résider sur le territoire français soient appelés des « sans-papiers » : ils ne sont pas des clandestins, des hors la loi, ce sont des gens à qui on n’a pas donné de papiers. Et donc à qui on doit en donner.

Mais « sans-papiers » est un « néologisme déshumanisant », pour José Chidlovsky et Rabeha El Bouhati, qui sont en train de tourner un « film militant », entre Toulouse, Hendaye et Paris, sur ces personnes qui sont « exclues de la qualité de citoyen ».

Il ne faut donc pas les appeler « sans-papiers », mais « privés de papiers ». Afin de souligner l’injustice qui les frappe.
Le budget du film, qui n’est « pas sur les sans-papiers, mais avec les privés de papiers », avoisine les 350.000 euros. L'Institut national de l'audiovisuel (INA) a donné une aide de 150 000 €. Le conseil régional Midi-Pyrénées a apporté 102 000 €.

(source, via François Desouche)

Commentaires

  • En fait, ils ont les papiers de leur pays d'origine.

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