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« Déni de grossesse » : la propagande

Le grand propagandiste de l’idéologie du « déni de grossesse » (destinée à disculper les assassins de nouveaux-nés), le gynécologue Israël Nisand, publie un livre, en compagnie d’une psychanalyste, intitulé “Elles accouchent et ne sont pas enceintes” (et puisqu’elles ne sont pas enceintes il ne peut pas y avoir de meurtre).

Bien entendu, Israël Nisand s’étend notamment sur l’affaire Courjault.

Or, au procès de Véronique Courjault, les trois experts psychiatres qui avaient examiné l’accusée avaient conclu qu’il n’y avait pas de déni de grossesse, et la directrice de l’Institut médico-légal de Paris avait souligné que la façon dont les bébés avaient été tués excluait le déni de grossesse.

Commentaires

  • Déni ou pas déni de grossess la réalité est qu'une femme qui tue son nouveau-né est tout simplement une meurtrière, rien de moins car, on accepte qu'elle a eu un déni de grossesse mais, une fois le bébé né, elle a devant elle un être humain à part entière. Alors pourquoi le tuer!?! Pour quelle raison?! Parce qu'il dérange? Parce qu'il arrive alors que personne ne l'attend? Mais surtout il dérange.Mais alors, une telle femme serait capable de touer n'importe qui la dérangerait, qui serait sans défense si elle savait qu'elle pourrait s'en tirer sans payer pour son crime, échapper à la prison.

    On peut comprendre qu'elle n'a pas eu connaissance de son état, de sa grossesse, mais une fois le bébé né, il ne s'agit plus d'une grossess mais d'un être vivant qui se trouve devant elle? Alors pourquoi le tuer quand elle peut très bien le placer ou l'abandonner quelque part en un lieu sur. Il toruverait de suite une maman adoptive. Mais non, elle le tue parce qu'il dérange et que ça serait trop compliqué de le placer et surtout cela ternirait l'image de la soit disant mère.
    Le déni de grossesse existe mais cela n'excuse pas l'infanticide. Celle qui tue son bébé, même si elle a vécu un déni de grassesse, elle reste une meurtrière, capable de tuer n'importe qui (pas nécéssairement un bébé) si elle pouvait cacher son crime et rester impunie. Et c'est devant un petit être sans défense, qui s'est trouvé à son merci qu'une telle femme a dévoilé son vrai caractère, le caractère d'une meurtrière capable d'éliminer un autre être humain.

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