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  • Subtilités européennes

    Selon les gazettes, les 27 se sont mis d’accord pour une modification du traité de Lisbonne. Peu avant que la décision soit prise, l’AFP titrait même : « L'Europe se rapproche d'un compromis en vue de changer son traité. » Carrément…

    Ces derniers jours, on n’entendait que des voix hostiles, et très hostiles, à la proposition franco-allemande de modification du traité.

    Bizarre. Y a-t-il eu un miracle ?

    Non. On ne parle pas de la même chose, mais on fait semblant pour ne vexer personne.

    Les 27 se sont mis d’accord pour demander à la présidence de l’UE et à la Commission de voir comment on pourrait faire pour inscrire dans le traité le mécanisme qui a déjà été utilisé pour la Grèce en contravention formelle avec le traité. Une toute petite modification qu’on pourrait faire sans formalités.

    Cela n’a rien à voir avec le projet franco-allemand, qui nécessiterait une conférence intergouvernementale (CIG), l’avis du Parlement européen, le recours aux parlements nationaux, voire des référendums.

  • Selon le procureur, dire "non à l’islamisme" est un délit

    Le procureur Claire Donnizaux a réclamé deux mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité à l’encontre de Jean-Marie Le Pen, ainsi qu’une amende de 20.000 euros, pour incitation à la haine envers la population musulmane et les personnes d’origine algérienne.

    Ce qui était poursuivi par les lobbies était l’affiche "Non à l'islamisme" montrant la carte de France aux couleurs du drapeau algérien, comme les t-shirts que portent nombre de « jeunes », hérissée de minarets, comme l’affiche de l’UDC en Suisse. Les t-shirts ne sont pas interdits en France, l’affiche de l’UDC n’a pas été interdite en Suisse…

    L’affiche avait déjà été interdite par un tribunal de Marseille, mais il n’y avait pas eu de condamnations.

    Claire Donnizaux, 32 ans, a fait toute sa scolarité dans une école catholique : école Sainte-Marie, collège Notre-Dame de France, lycée Siant-Pierre (c’est un seul et même établissement, à Abbeville)…

  • François Desouche : le mystère demeure…

    Selon le site Arrêt sur image, l’hébergeur américain de F.Desouche aurait été contacté par un certain Gabriel Dufflot, responsable de l’AFP, à propos de douze articles reprenant des dépêches sans l’autorisation de l’agence. Suite à cette injonction, l’hébergeur aurait suspendu le site en attendant que F.Desouche retire les articles en question, lequel s’est exécuté. L’hébergeur a donc mis fin à cette suspension.

    Le problème, ajoute Arrêt sur image, c’est qu’il n’existe aucun Gabriel Dufflot à l’AFP, et que l’AFP n’a jamais demandé la suspension d’un site, jusqu’ici, pour un tel motif.

  • Bien fait…

    Un couple de Suisses est allé aux Maldives, pour « renouveler ses vœux de mariage »… devant un musulman, dans un hôtel qui facture la cérémonie et la nuit de noces 1.300 dollars.

    Devant ces crétins aux anges dans l’endroit paradisiaque de leurs rêves, l’officiant, paumes levées, a récité un long texte dans la langue locale. La vidéo s’est retrouvée sur internet, et le discours a été traduit : il s’agit apparemment du code de bonne conduite des employés de l’hôtel, entrecoupé d’un flot d’injures islamiques : « Vous êtes des porcs selon la Constitution, et les enfants qui naîtront de ce mariage seront tous des porcs bâtards… Votre mariage n’est pas valide, vous n’êtes pas le genre de personnes qui peuvent avoir un mariage valide. L’un de vous est un infidèle. L’autre, aussi, est un infidèle - et nous avons des raisons de le croire athée, il ne croit même pas en la religion des infidèles. » Et cela continue, longtemps, et il y a pire encore, avec force « fils de p… », tandis que les mariés sourient béatement…

    (Bivouac-ID)


  • Un séminaire à Cuba

    Avec l’archevêque de Miami à l’inauguration…

    La première pierre avait été bénie par Jean-Paul II en… 1998.

  • Impetum inimicorum ne timueritis

    R. Impetum inimicorum ne timueritis: memores estote, quomodo salvi facti sunt patres nostri: * Et nunc clamemus in caelum, et miserebitur nostri Deus noster.
    V. Mementote mirabilium ejus, quae fecit Pharaoni, et exercitui ejus in Mari rubro.
    R. Et nunc clamemus in caelum, et miserebitur nostri Deus noster.

    Ne craignez pas l’assaut des ennemis. Souvenez-vous de quelle manière nos pères furent sauvés. Et maintenant crions vers le Ciel, et le Seigneur aura pitié de nous. Souvenez-vous de ses prodiges, qu’il fit à Pharaon et à son armée dans la mer Rouge.

    (Répons des matines, inspiré de I Macchabées 4, 8-10)

  • L’évêque de Sées

    Le Pape a nommé évêque de Sées (au diocèse de Séez…) l’abbé Jacques Habert, jusqu’ici vicaire épiscopal du diocèse de Créteil pour les séminaristes et pour les secteurs pastoraux de Nogent-sur-Marne et de Fontenay-sous-Bois.

    D’après Denis Sureau c’est une bonne nouvelle.

    On verra bien. On se souvient que la nomination de Mgr Dubigeon, en 1986, avait été une excellente nouvelle. Et il ne se passa rien… Il ne suffit pas hélas d’un bon prêtre pour faire un bon évêque… Il faut pouvoir et savoir s’opposer aux coteries qui tiennent les diocèses. Certains y ont perdu la santé…

  • Dieu a sa place dans la sphère publique

    Extraits du dicours de Benoît XVI à des évêques brésiliens en visite ad limina, cités par VIS.

    "L'Eglise a pour mission d'être le ferment évangélique de la société, d'enseigner à l'homme sa dignité de fils de Dieu et sa vocation à l'union..., à la justice et à la paix dérivant de la sagesse divine... Il est de son devoir de favoriser la justice sociale, premier bien des fidèles qui, libres et responsables, contribuent selon leurs valeurs et en vertu de la loi morale naturelle. Il est de votre devoir d'évêques, avec l'appui du clergé, de redresser le sens moral en vue d'une société plus juste et fraternelle. Lorsque les droits fondamentaux ou le salut des âmes l'exigent, les pasteurs ont le devoir d'exprimer un jugement moral, y compris en matière politique. Lorsqu'ils doivent émettre de tels jugements, il leur faut tenir compte du poids de préceptes négatifs et moralement inacceptables afin d'agir en faveur de la dignité humaine. Cela ne peut être adapté selon telle ou telle bonne intention... Il est totalement faux et illusoire de défendre les droits de l'homme sans défendre vigoureusement le droit à la vie, de sa conception à sa fin naturelle. Qui est plus faible que l'enfant à naître ou le malade terminal?"

    Lorsque les lois envisagent, "de manière ouverte ou voilée, la dépénalisation de l'avortement ou l'euthanasie, l'idéal démocratique manque à lui même. En renonçant à la défense de la dignité humaine, il ébranle son propre fondement. L'heure est donc venue de mieux défendre la vie, sans craindre l'hostilité ou l'impopularité, en refusant tout compromis ou ambiguïté en accord avec la mentalité de ce monde". Pour aider de façon cohérente les laïcs dans leur vie chrétienne et sociale, a poursuivi le Saint-Père, une catéchèse spécifique est nécessaire, avec une formation à la doctrine sociale de l'Eglise. "Cela inclut qu'en certaines circonstances les évêques doivent rappeler aux citoyens leur droit et devoir d'utiliser leur vote en faveur du bien public... Ainsi la foi rencontre la politique. La foi, qui trouve sa nature dans la rencontre avec Dieu, ouvre de nouveaux horizons à la raison... C'est dans le respect et dans l'enseignement de la transcendance naturelle de l'homme qu'il est possible de bâtir une société meilleure... Dieu a sa place dans la sphère publique, en particulier dans la dimension socio-culturelle, économique et politique" a encore affirmé Benoît XVI en citant l'encyclique Caritas in Veritate.

    Le Pape a conclu en lançant à ses hôtes un appel en faveur de l'éducation religieuse, pour la défense de l'enseignement de la religion dans les écoles publiques. "La présence de symboles religieux dans les lieux publics permet de rappeler la transcendance de l'être humain et en garantit le respect. C'est tout particulièrement important au Brésil, où la religion catholique fait partie de l'histoire nationale."

  • Mgr Aillet, les profanations, et les médias

    Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, dénonce avec force la profanation survenue le 22 octobre dans l’Eglise de Saint-Laurent de Billère, où le tabernacle de l’Eglise a été forcé et des hosties consacrées éparpillées à même le sol.

    Il ajoute :

    « A cet égard, je ne peux m’empêcher de m’interroger sur la responsabilité morale de certains médias qui entretiennent dans la société française, un climat d’anticatholicisme particulièrement malsain, et passent quasiment sous silence les actes de profanation ou de vandalisme lorsque ceux-ci n’ont pas pour cible nos frères juifs ou musulmans.

    « Les autorités politiques et les organisations antiracistes ont-elles suffisamment pris la mesure de la gravité de telles profanations, qui sont pour la plupart, la manifestation d’une forme de haine antireligieuse et antichrétienne à propos desquelles nous ne pouvons demeurer silencieux ? »

    (via Le Salon Beige)

  • Au Conseil d’Etat…

    Arno Klarsfeld a été nommé au Conseil d'Etat, ce matin au conseil des ministres.