Le procureur général du Kansas, Kris Kobach, annonce qu’il porte plainte contre Pfizer pour de « multiples déclarations trompeuses » concernant les risques pour la santé et l'inefficacité de son « vaccin » contre le COVID.
« Pfizer a trompé les habitants du Kansas sur les risques des vaccins, notamment pour les femmes enceintes et pour la myocardite. En outre, Pfizer a prétendu que son vaccin protégeait contre les variants du COVID, alors que les données montrent le contraire. Le géant pharmaceutique a également suggéré que son vaccin empêchait la transmission du COVID, mais a admis par la suite qu'il n'avait jamais étudié la question de savoir si son vaccin arrêtait la transmission. »
La plainte allègue également que Pfizer a agi avec les responsables des médias sociaux pour censurer les discours critiques et a refusé de participer au programme de développement de vaccins du gouvernement fédéral, l'Opération Warp Speed, pour éviter la surveillance du gouvernement.
Parmi ses tentatives pour tromper le public, Pfizer a maintenu sa propre base de données d'effets indésirables, qui comprenait des cas non signalés au système fédéral VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), mais « n'a pas publié les données d'effets indésirables de sa base de données ». En outre, Pfizer « n'a pas révélé que son essai n'incluait que des personnes en bonne santé et excluait les personnes en mauvaise santé » et, par conséquent, « ne disposait pas d'une base raisonnable pour affirmer que le vaccin était sans danger pour les personnes chez qui le COVID-19 avait été diagnostiqué, qui étaient immunodéprimées, enceintes ou qui allaitaient ».
La plainte soutient que les fausses déclarations de Pfizer, qui ont permis à l'entreprise de gagner 75 milliards de dollars en deux ans, constituent des violations de la loi du Kansas sur la protection des consommateurs.
En Floride, un grand jury constitué par le gouverneur Ron DeSantis enquête actuellement sur la fabrication et le déploiement des vaccins COVID. En février, il a publié son premier rapport intérimaire, qui a déterminé que les confinements ont fait plus de mal que de bien, que les masques étaient inefficaces pour arrêter la transmission du COVID, que le COVID était « statistiquement presque inoffensif » pour les enfants et la plupart des adultes, et qu'il est « très probable » que les chiffres des hospitalisations dues au COVID aient été gonflés.
En avril, le CDC (Centre de prévention et de contrôle des maladies) a été contraint de publier, sur décision de justice, 780.000 rapports d'effets indésirables graves qui n'avaient pas été divulgués auparavant.