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Le Pen - Page 10

  • Appeler les choses par leur nom

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les médias nous parlent de « rivalités de quartier » à propos de la bagarre qui s’est soldée hier soir par la mort d’un « jeune » dans le XVe arrondissement de Paris.

    Assez de langue de bois !

    Quand un jeune d’origine malienne se fait tuer dans une bagarre entre bandes ethniques sur fond de trafic de drogue, il ne s’agit pas de « rivalités de quartier » mais de criminalité liée à l’immigration.

    Tant qu’on refusera à nommer les problèmes, on se condamnera à ne pas pouvoir les appréhender, a fortiori à les résoudre.

  • L’obsession de la « diversité »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy a avancé d’un mois son annonce de nouvelles mesures en faveur de la « diversité », c’est-à-dire de discrimination positive, afin de court-circuiter l’effet du rapport de Simone Veil qui lui a été remis ce même jour.

    Car Simone Veil contredit frontalement le chef de l’Etat en constatant que vouloir modifier la Constitution pour y introduire la discrimination positive est contraire au principe d’égalité.

    En procédant ainsi, le président de la République ne fait que souligner que ses projets violent les principes républicains, et tout simplement ceux de la nation.

    Et ce n’est pas la nomination de Yazid Sabeg, comme « commissaire à la diversité et à l'égalité des chances » qui pourra masquer ce fait. M. Sabeg, extrémiste de la « discrimination positive », qu’il maquille en « égalité réelle », est au contraire le représentant emblématique de l’idéologie que rejette le rapport de Simone Veil.

  • Les blessures de l’âme française

    Petits extraits du discours prononcé par Jean-Marie Le Pen, hier, au cours du Conseil national du FN :

    Certes, pour nous, patriotes de l’espèce amoureuse, la France est une personne et c’est dans notre cœur que, tous les jours, nous ressentons les blessures qui affaiblissent son corps et affectent mortellement son âme. (…)

    Alors oui, les blessures de l’âme, c’est ce sentiment de haine de soi, d’autodénigrement, de culpabilité qu’on a savamment inculqué, depuis 20 ans, aux jeunes générations de Français, et que l’on sent de façon diffuse, dans tant d’émissions de radio-télévisions, dans tant d’analyses politiques, dans tant de manuels scolaires et universitaires, dans tant d’ouvrage pseudo-savants.

    Tous les jours, vous le savez bien, la France est citée à comparaître devant le tribunal de l’antiracisme, de l’antifascisme, de l’anticolonialisme, mais aussi devant les gardiens de la nouvelle idéologie dominante, anti-nationale, différentialiste et communautariste. (…)

    Oui, chers amis, la première maladie de l’âme française, c’est la xénomanie, c’est la préférence étrangère, c’est l’inversion de la hiérarchie naturelle des valeurs.

    En effet, s’il est normal pour un homme d’aider son prochain, il doit d’abord s’aider lui-même, et aider les siens propres.
    Non seulement la France n’aide plus les siens d’abord, mais elle est poussée à se haïr elle-même.

    C’est grave, pour un peuple, de se haïr lui-même, ou de désarmer devant les concurrents potentiels ou les ennemis éventuels.

    Cela me rappelle le destin des jeunes Athéniens, qui jadis, accueillirent les armées ennemies de Philippe de Macédoine avec des fleurs et des chants, et furent tous égorgés. (…)

    L’Etat ne retrouvera la confiance du peuple qu’en définissant une bonne fois pour toutes ses frontières, en réintroduisant, d’une façon ou d’une autre, la préférence nationale, et en développant des coopérations européennes concrètes.

    Mais rétablir le cadre et les structures de la Nation ne suffiront pas à la vision qui y conduit si elle est seulement utilitaire et matérialiste.

    Un peuple qui mérite ce nom n’est pas un simple agrégat d’habitants, de producteurs ou de consommateurs, ni même de citoyens respectueux du régime politique en place.

    Il lui faut une autre dimension, celle du patriotisme, car il n’est pas de nation sans sentiment national, amour de sa terre, de son peuple, de ses paysages, de son passé de luttes, de souffrances et de gloire, aspiration aussi à un destin commun.

  • Le traité aux forceps

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le Conseil européen a entériné le « compromis » concocté par les fonctionnaires de Bruxelles et le gouvernement irlandais, par lequel ce dernier s’engage à organiser un nouveau référendum où les Irlandais devront dire l’année prochaine le contraire de ce qu’ils ont dit cette année.

    Pour cela, de prétendues garanties seront données aux Irlandais sur les questions de défense, de politique fiscale, familiale et de bioéthique. Cela sera fait par le moyen de « déclarations » annexées au traité, qui n’engagent que ceux qui les demandent.

    Pour que l’Irlande conserve son commissaire européen, le compromis affirme que la Commission européenne continuera d’avoir un membre par Etat. Mais il renvoie à plus tard les modalités de cette décision, car on n’a pas encore trouvé le tour de passe-passe juridique qui permette de formaliser cette innovation explicitement contraire au traité de Lisbonne.

    Ils en sont à violer leur traité avant même sa ratification et son entrée en vigueur. Car leur obsession est d’avancer coûte que coûte vers le super-Etat européen, contre la volonté des peuples d’Europe, et « contre la nature même de l’Europe », comme le dit très bien le président tchèque Vaclav Klaus.

  • A propos des profanations

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La profanation de tombes musulmanes au cimetière militaire Notre-Dame de Lorette est doublement abjecte.

    D’abord parce qu’elle porte atteinte au respect des morts, qui est un des signes les plus élémentaires de la civilisation.

    Ensuite parce qu’il s’agit de soldats qui sont morts pour la France.

    Mais le concert d’indignation politico-médiatique, que l’on n’entend que lorsqu’il s’agit de tombes musulmanes ou juives, est quant à lui indécent.

    En 2007, 5 cimetières juifs ont été profanés, 9 cimetières musulmans, 130 cimetières chrétiens. Ces derniers l’ont été dans la plus totale indifférence.

    Pour le Front National, le respect des morts ne se partage pas.

  • Un hochet pour M. Devedjian

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La nomination de M. Devedjian comme ministre de la Relance économique, et son remplacement par M. Hortefeux comme porte-coton de Nicolas Sarkozy à l’UMP, est un non-événement absolu.

    M. Devedjian, qui lorgnait depuis si longtemps sur un de ces ministères que l’on disait régaliens avant la confiscation des pouvoirs par l’Union européenne, doit se contenter d’un hochet à la faveur de la crise financière.

    Un tel ministère ne sert évidemment à rien, dans la mesure où le vaste ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi recouvre toutes les compétences nécessaires à une éventuelle relance économique.

  • Le énième plan de M. Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Dans ses caisses vides, Nicolas Sarkozy a donc encore trouvé 26 milliards d’euros pour relancer l’économie. Ce seront 26 milliards de déficit supplémentaire. Le taux va atteindre les 4% du PIB, mais la Commission européenne ferme les yeux sur cette violation des critères de Maastricht.

    En fait, ce plan n’est rien d’autre que la déclinaison française du plan d’orientation arrêté la semaine dernière par la Commission européenne. M. Sarkozy tient à se montrer le bon élève de Bruxelles.

    Toutefois il triche quelque peu. Car sur ces 26 milliards, 11 ne sont que des remboursements anticipés de l’Etat aux entreprises.

    Certaines mesures en faveur des plus modestes, des handicapés et des familles sont certes bienvenues, mais ce saupoudrage à crédit ne correspond en rien aux promesses du « président du pouvoir d’achat ».

  • Les cellules souches humaines non brevetables

    « Les cultures de cellules souches humaines qui ne peuvent être obtenues qu'en détruisant des embryons humains ne sont pas brevetables en vertu du droit européen des brevets », a décidé le 25 novembre la Grande Chambre de recours de l'Office européen des brevets (OEB).

    Cette décision met fin en dernière instance à la procédure de recours concernant la demande de brevet "WARF/Thomson", qui avait été partiellement rejetée et qui portait sur une méthode pour obtenir des cultures de cellules souches embryonnaires de primates, y compris humaines, explique la Commission des Episcopats de la Communauté Européenne (COMECE), qui y voit « un signe important en faveur de la protection des embryons humains ».

    On rappellera les propos de Jean-Marie Le Pen au Parlement européen, le 29 novembre 2001 :

    « L'homme n'est pas propriétaire, mais simple usufruitier de la Vie. Il ne peut donc s'approprier, même en partie, ce patrimoine, par nature inaliénable. Ceux qui, jouant les apprentis sorciers, s'enrichiraient ainsi, devraient payer des royalties au Créateur.

    « En aucun cas, l'embryon humain ne saurait être réduit à un simple matériau de laboratoire, à un instrument à finalité commerciale. C'est pourquoi le législateur doit définir pour l'embryon un statut qui comble le vide juridique actuel en interdisant, en particulier, de breveter le vivant.

    « Face à un mécanisme génétique aussi fragile et complexe qui touche aussi au mystère et au sacré, c'est faire fi de l'évolution de l'humanité, de son passé et de son avenir, que d'engranger, sous prétexte de recherche, des bénéfices éphémères. »

    Jean-Marie Le Pen terminait en rappelant que ses collègues du Front national et lui-même défendent « l'intégrité et la dignité humaine de la conception à la mort naturelle ». Et il soulignait : « Ceux qui s'y opposent sont, sans le savoir, déjà entrés dans le règne de la barbarie. Manipuler le mystère de la vie, c'est conduire l'humanité à des catastrophes autrement plus terribles que celles de la vache folle et de la maladie de Creutzfeldt-Jacob. »

  • Une politique raciste

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le président de la République annonce des initiatives pour « accélérer puissamment » la représentation de la « diversité ethnique » dans les « élites françaises ».

    Promouvoir quelqu’un selon son origine ethnique, cela s’appelait, avant la langue de bois du politiquement correct, une politique raciste.

    En tout état de cause, la discrimination entre Français selon l’origine ethnique, qu’elle soit négative ou positive, est contraire aux principes mêmes de liberté, d’égalité et de fraternité.

  • Les atteintes aux personnes âgées...

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les atteintes aux personnes âgées ont augmenté de 35% sur les dix premiers mois de l'année.

    Ce phénomène est lié à la crise bancaire, déclare la gendarmerie

    On savait déjà que la crise financière allait être le prétexte permettant aux autorités de se dédouaner de tout ce qui irait mal sur le plan économique.

    Mais on n’imaginait pas qu’elles oseraient aussi en faire l’explication de la hausse de la délinquance. Et particulièrement des violences sur les personnes âgées. Ce qui est ignoble.

    Se servir de la crise financière pour maquiller la désintégration morale de la société, la destruction du respect de la personne humaine, et la montée des problèmes dus à l’immigration, il fallait le faire.

    Ils l’ont fait.

    Ils auront désormais du mal à aller plus loin dans l’abjection.