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La pression de la culture de mort

Le Pr Frydman a annoncé ce matin au cours d’une conférence de presse la naissance du premier « bébé médicament » en France.

En fait le bébé (Umut-Talha, oui, c’est son nom... turc) est né le 26 janvier. La naissance a été annoncée aujourd’hui parce que c’est ce soir que commence à l’Asemblée nationale la discussion de la loi de bioéthique. Et il s’agit ouvertement de faire pression sur les députés pour que les chercheurs puissent aller plus loin dans la manipulation et le charcutage des embryons.

Le « bébé médicament » est fabriqué dans le but de soigner théoriquement ses frères et sœurs malades. Il n’est pas voulu pour lui même. Ce n’est pas une personne, c’est un outil.

Pour le fabriquer, il faut procéder à un double diagnostic pré-implantatoire. C’est-à-dire qu’on produit un certain nombre d’embryons, et on élimine tous ceux qui ont la maladie des aînés, et tous ceux qui ne sont pas compatibles. Le bébé-instrument est d’abord le fruit de multiples avortements.

C’est la première fois que ça « réussit » en France. Plus précisément, il y avait eu jusque-là 9 « tentatives » (soit des dizaines, ou des centaines, d’avortements), se soldant par deux grossesses, dont une qui avait abouti, mais c’était un bébé non compatible…

Commentaires

  • Oui mais voilà si l'on peut "créer" un bébé qui n'est pas porteur de gènes induisant une maladie, on voit ou cela mènera .... J'ai déjà vu ce genre de savant fou, attendez que je me souvienne ah oui en Allemagne dans les années 40....

  • C'est tout simplement scandaleux!Et c'est ceux qui s'insurgent contre cette science sans conscience que l'on ose qualifier de fascistes!

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