La police de San Francisco a décidé de ne plus divulguer les photos des personnes arrêtées.
Pour lutter contre les stéréotypes raciaux.
(Ce n’est pas une blague.)
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La police de San Francisco a décidé de ne plus divulguer les photos des personnes arrêtées.
Pour lutter contre les stéréotypes raciaux.
(Ce n’est pas une blague.)
Extrait du site du gouvernement hongrois.
Lors de la cérémonie tenue au château de Buda où 102 étudiants ont prêté le serment de leurs officiers devant une réplique de la Sainte Couronne et des drapeaux historiques, le Premier ministre a déclaré que l'avenir des officiers en uniforme ne promet pas d'être simple : des événements étranges et choquants se produisent dans le monde. Les systèmes de santé des pays riches se sont effondrés en quelques jours, les pays riches sont sur une pente descendante vers la ruine financière et une vague de violence sans précédent enflamme les grandes villes.
Les policiers sont humiliés dans les rues et aussi dans la politique, les gardiens de l'ordre public sont qualifiés de racistes, le respect des officiers en uniforme est détruit ainsi que des statues ornant les espaces publics, et « l'État et la loi se retirent des rues », a déclaré M. Orbán.
Il a souligné que la Hongrie n'est pas un tel pays et ne le sera jamais. Les finances de la Hongrie sont en ordre, son économie est saine, la population peut et veut travailler, tandis que nos réserves de croissance sont élevées. « Nous, les Hongrois, sommes des gestionnaires de crise à ceinture noire », et « vous pouvez être assurés que nous n'abandonnerons jamais nos officiers en uniforme » qui méritent respect, appréciation et soutien parce que « vous risquez votre vie pour notre sécurité et la paix de nos maisons », a souligné le Premier ministre devant les étudiants.
Le Premier ministre a également déclaré qu'en Hongrie, chaque vie compte. « Nous aimons un monde où règne l'ordre, où le bon sens règne, où la loi protège les innocents et non les criminels, où nous pouvons nous protéger de la migration, où les ressources sont investies dans l'avenir des familles et des enfants », a-t-il déclaré, soulignant que le maintien d'un tel monde - afin que la Hongrie puisse rester une île de paix et de sécurité également pendant la période chaotique actuelle - exigera l'engagement, la conduite courageuse et le travail honnête de ceux qui prêtent maintenant serment.
Il les a rassurés sur le fait qu'à chaque minute de leur service, ils sentiront que « la Hongrie est derrière vous ».
M. Orbán a également évoqué l'importance du patriotisme, soulignant qu'il est symbolique que la cérémonie se déroule au château de Buda, au centre, « au cœur du cœur » de l'État hongrois millénaire. « La légalité, la loi et l'ordre sont au cœur de notre pays », a-t-il souligné, les qualifiant de plus grandes bénédictions de la culture hongroise, car c'est de celles-ci que découle une vie sûre, sécurisée, paisible et libre.
Le « patriotisme de tous les jours » est la sensation quotidienne que le pays dans lequel on vit est sa patrie et qu’il n’y en a qu’une. Si celui-ci est perdu, on ne peut continuer sa vie que dans un endroit qui appartient à quelqu'un d'autre, et où « nous ne pouvons être tolérés, au mieux acceptés ».
« Par conséquent, nous sommes prêts à le préserver de génération en génération, à nous battre si besoin est, car c'est le cadeau le plus précieux que nous puissions offrir à nos enfants », a déclaré le Premier ministre, ajoutant que le sentiment de patriotisme « nous enracine dans un destin commun » qui est splendide et exceptionnel, qui est « le nôtre seul, et dont nous partageons tous la grandeur ».
Il a souligné que ce sentiment est particulièrement fort chez le peuple hongrois et que sans lui, nous n'aurions guère pu préserver le pays aussi longtemps que nous l'avons fait. « Seule la langue hongroise est capable de concentrer le pays, le peuple, sa terre natale et son foyer en un seul mot comme le fait le mot haza », a-t-il souligné.
Ils ont été relaxés. Les 12 étudiants de l’ICES de la Roche-sur-Yon qui avaient chahuté un stand LGBT ont été relaxés en appel des délits d’entrave au droit de manifester et du délit d’injure.
En première instance ils avaient déjà été relaxés du délit d’injures homophobes, mais lourdement condamnés pour « entrave à la liberté de réunion ».
Il ne reste donc rien de l’énorme montage. Rien qu’une amende pour « dissimulation du visage » et destruction d’un drapeau…
Rappelons que le 28 mai 2019, douze étudiants de l’institution catholique dont la devise est « L’audace d’être libre » avaient crié « Homopholie ça suffit », crevé deux ballons et enlevé une banderole du stand LGBT à la fin d’une manifestation d’invertis.
Les délicates victimes avaient aussitôt trouvé les oreilles complaisantes des médias, évidemment, qui dénoncèrent les affreux activistes « homophobes » qui tombaient sous le coup des lois antiracistes.
Mais aussi du directeur de l’ICES, Eric de Labarre, dont « l’audace d’être libre » était celle d’être asservi au lobby au point d’exclure les douze étudiants, dont deux définitivement. Et de se montrer fier de prendre les sanctions qui s’imposent. (Alors que même le procureur qui avait lancé les poursuites avait souligné que rien n’indiquait un lien entre les faits et l’ICES.)
Mais aussi l’évêque, François Jacolin, qui clamait que les sanctions « sont justifiées et proportionnées à la gravité des fautes de chacun ».
Nous en sommes donc arrivés au point où il faut compter sur la justice d’une République pourrie jusqu’à l’os contre l’injustice d’autorités ecclésiastiques plus pourries encore que la République.
Une injustice qui demeure à jamais : les deux étudiants exclus restent exclus.
(Philippe de Champaigne)
L’office et la messe de la fête de la Visitation furent l’une des grandes victimes de la réforme liturgique de saint Pie V. Il ne resta rien des compositions médiévales, et l’on reprit la messe et l’office de la Nativité de la Vierge, en fait, à quelque chose près, le commun des fêtes de la Sainte Vierge.
Clément VIII, dans sa réforme du bréviaire, lui donna quelques antiennes propres, tirées de l’évangile du jour. Celle du Benedictus, spécialement longue et expressive, console un peu de l’absence d’antiennes propres à la messe. Par les moines de Ligugé :
Cum audísset salutatiónem Maríæ Elísabeth, exclamávit voce magna et dixit : Unde hoc mihi, ut véniat Mater Dómini mei ad me ? Allelúia.
Lorsqu’elle eut entendu la salutation de Marie, Élisabeth s’écria d’une voix forte : D’où m’arrive-t-il que la Mère de mon Seigneur vienne vers moi ? Alléluia.
Le Missouri avait très démocratiquement voté et promulgué une loi mettant fin au financement public de l’organisation de tueurs d’enfants appelée Planning familial.
Le dit Planning familial a évidemment contesté cette loi, et l’affaire est arrivée jusqu’à la cour suprême de l’Etat. Laquelle donne raison au Planning familial, au motif qu’il ne fait pas que tuer des enfants… (« Certaines de ses branches fournissent des soins de santé préventifs et non l'avortement, et ne doivent pas être pénalisées financièrement ».)
D’autres Etats ont promulgué des lois analogues. Cela ira sans doute jusque devant la Cour suprême fédérale. Pauvre juge Roberts qui devra encore pencher… du mauvais côté ? A moins que d’ici là Trump ait pu nommer un nouveau juge. Mais les mauvais s’accrochent. Il n’y en a pas un qui soit victime du coronavirus, pas même la vieille Ginsburg avec ses trois cancers…
Le premier rapport annuel sur l’application de la loi qui permet de tuer les bébés fait état de… 6.666 avortements.
Le diable multiplié par mille ?
A propos de Humza Yousaf, le ministre de la Justice d’Ecosse, j’avais oublié de signaler que si sa première réaction à l’attaque terroriste au couteau à Glasgow avait été de mettre en garde contre toute « spéculation », sa deuxième réaction avait été de condamner la « haine de l’extrême droite »…
Mais il y a pire. Devant le parlement écossais, il a déclaré que la mort de George Floyd « nous oblige à nous regarder dans un miroir » et que c’est le moment où nous devons tous commencer à nous sentir mal à l’aise ». Il a alors dressé la liste de tous les responsables avec qui il doit traiter quotidiennement, dans tous les domaines, ponctuant chaque nom et chaque fonction de « blanc ».
Il a conclu : « Nous devons accepter la réalité et les preuves qui nous sont présentées, à savoir que l’Ecosse a un problème de racisme structurel. »
Humza Yousaf est de mère kényane et de père pakistanais. Il ne lui vient pas à l’esprit d’imaginer ce que provoquerait la même énumération en sens contraire d’un ministre blanc du Kénya ou du Pakistan.
Evidemment, puisque c’est impossible…
Humza Yousaf est aussi un de ceux qui martèlent (c'est un mantra du moment) qu'il ne suffit pas de dire qu'on n'est pas raciste, mais qu'il faut être anti-raciste : l'illustration parfaite de ce que l'antiracisme est un racisme en sens contraire.
Introït
Redemísti nos,Dómine, in sánguine tuo, ex omni tribu et lingua et pópulo et natióne : et fecísti nos Deo nostro regnum.
Misericórdias Dómini in ætérnum cantábo : in generatiónem et generatiónem annuntiábo veritátem tuam in ore meo.
Vous nous avez rachetés, Seigneur, par votre Sang, de toute tribu, de toute langue, de tout peuple et de toute nation : et vous nous avez fait royaume pour notre Dieu
Les miséricordes du Seigneur éternellement je les chanterai : de génération en génération j’annoncerai votre vérité par ma bouche.