Précision suisse
(Trouvé sur Galliawatch)
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Elle est 100 % turque. Le terrain lui-même a été acheté par l'Etat turc.
Mise au point de Benoît XVI sur un aspect de la devise de la République française, hier, à la fin de son allocution de l'Angélus :
Du Baptême dérive aussi un modèle de société : la société des frères. On ne peut pas établir la fraternité avec une idéologie, encore moins avec un décret d'un quelconque pouvoir constitué. On se reconnaît frères à partir de la conscience humble mais profonde d'être enfants de l'unique Père céleste. En tant que chrétiens, grâce à l'Esprit Saint reçu dans le Baptême, nous reviennent le don et l'engagement de vivre en enfants de Dieu et en frères, pour être comme le « levain » d'une humanité nouvelle, solidaire et riche de paix et d'espérance. Dans ce domaine, la conscience d'avoir, non seulement un Père au Ciel, mais aussi une mère, l'Eglise, dont la Vierge Marie est l'éternel modèle, nous aide. Nous lui confions les enfants qui viennent d'être baptisés et leurs familles, et nous demandons pour tous la joie de renaître chaque jour « d'en haut », de l'amour de Dieu, qui fait de nous ses enfants et des frères les uns des autres.
Vota, quæsumus, Dómine, supplicántis pópuli cælésti pietáte proséquere : ut et quæ agénda sunt, vídeant, et ad implénda quæ víderint, convaléscant. Per Dominum Jesum Christum Filium tuum...
Recevez, Seigneur, dans votre céleste bonté, les vœux et les supplications de votre peuple; et faites que vos fidèles connaissent ce qu'ils doivent faire, et deviennent forts pour accomplir ce qu'ils auront connu. Par notre Seigneur Jésus-Christ...
(Oraison du premier dimanche après l'Epiphanie, dite aux féries de cette semaine.)
Je sais, dans le calendrier « extraordinaire », c'est la fête de la Sainte Famille. Mais je n'y ferai jamais. Il y a quelques semaines, j'entendais un prêtre grec-catholique s'exclamer : « Mais la Sainte Famille, ce n'est pas Jésus, Marie, Joseph ! La Sainte Famille, c'est le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, la famille dans laquelle nous sommes entrés par le baptême ! »
Les bénédictins n'ont pas adopté cette fête ; ils ont gardé le dimanche dans l'octave de l'Epiphanie, devenu premier dimanche après l'Epiphanie. Dont le majestueux introït est un écho amplifié de celui de l'Epiphanie, célébrant le grand roi que viennent adorer les Mages et qu'ils ont reconnu comme tel sous la forme d'un petit enfant : « In excelso throno... » Sur un trône dans les hauteurs j'ai vu un homme, que la multitude des anges adore en chantant en chœur : voici celui dont l'empire est éternel...
Lettre de Mgr Robert Poinard, vicaire général du diocèse aux Armées (dont le nouvel évêque est Mgr Luc Ravel), aux aumôniers militaires :
Ceci est un simple rappel nécessité par des incidents récents.
1. Dans l'Eglise catholique, la messe répond à un certain nombre de normes de droit liturgique que tous sont tenus d'observer sans restriction. Il n'est permis à quiconque de s'affranchir de ces règles sans autorisation expresse de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements.
2. Aucune autre autorité ne peut interférer dans le rite liturgique, qu'elle soit civile, militaire, voire même ecclésiastique.
3. La loi de notre pays reconnaît la liberté d'opinion et de religion et interdit à quiconque de s'immiscer dans le fonctionnement interne d'un culte. En conséquence, Mgr l'évêque me demande de vous rappeler, et ceci solennellement, en sa double qualité de garant de la liturgie dans son diocèse et comme aumônier en chef du culte catholique, quelques règles impératives sur lesquelles il n'est pas possible de tergiverser.
a) aucun chef militaire ou représentant d'un autre culte n'a compétence pour s'imposer d'une façon quelconque dans le déroulement de la messe, notamment par des interventions, de quelque nature qu'elles soient.
b) la messe n'est pas une cérémonie œcuménique : elle est l'expression du culte catholique. Il n'y est pas prévu d'interventions d'aumôniers d'autres cultes hormis pour la semaine mondiale de prière pour l'unité des chrétiens qui a lieu chaque année du 18 au 25 janvier
c) l'homélie est réservée aux ministres ordonnés : seuls l'évêque, le prêtre ou le diacre sont légitimement fondés à assurer une prédication durant la célébration de la messe.
c) pour toutes les messes célébrées par l'évêque hors de sa cathédrale on veillera à lui présenter suffisamment à l'avance les éléments ad libitum de la célébration et on évitera absolument à lui imposer - sans qu'il ait eu le temps de la réflexion - des éléments qui pourraient le mettre en porte-à-faux ou soient de nature à causer du trouble.
Une ordonnance épiscopale ainsi que la prochaine rédaction de statuts diocésains viendront mettre une forme juridique à ces normes. J'appelle les aumôniers à résister fermement à toutes formes de pression, qu'elles viennent de l'autorité militaire ou de représentants d'autres cultes.
Les aumôniers qui éprouveraient une difficulté à faire respecter ces règles ou qui subiraient des tentatives d'ingérence sont priés de nous le faire connaître afin qu'il soit mis bon ordre à ces dérèglements. Merci à tous de faire preuve de rigueur et de vigilance : le laxisme et les approximations ne nous servent pas.
(via le Forum catholique)
Hier, lors d'une conférence de presse, l'évêque d'Evreux Mgr Nourrichard a annoncé que la messe du dimanche 10 janvier ne serait pas célébrée par le nouveau prêtre qu'il a nommé. Il a affirmé sa volonté de temporiser dans cette affaire, mais sans que cela ne remette en cause sa décision concernant le déplacement de l'Abbé Michel. C'est maintenant Rome qui doit trancher, a-t-il expliqué.
Ce sont en fait les trois messes qui seront célébrées par l'abbé Francis Michel : à 10h à Thiberville, à 11h 15 à Saint-Vincent-du-Boulay, à 17h (forme extraordinaire) à Thiberville.
Le gouvernement italien a décidé que les enfants étrangers ne pourront pas constituer plus de 30% des effectifs des classes. Cette limite de 30% sera introduite à partir de la prochaine année scolaire de manière progressive (elle ne concernera au début que les classes de première année de l'école primaire et secondaire).
Le plafond des 30% pourra être plus élevé dans le cas d'élèves ayant une nationalité étrangère mais qui sont nés en Italie et maîtrisent donc la langue, ou abaissé si les élèves étrangers démontrent une très faible connaissance de la langue.
Le ministère explique cette mesure par le besoin de mieux intégrer les enfants d'immigrés dans la société italienne et d'éviter qu'ils ne se retrouvent dans des classes ghettos, uniquement composées d'étrangers.
"L'école doit être le lieu de l'intégration", a déclaré le ministre, Mariastella Gelmini. "Nos écoles sont prêtes à accepter toutes les cultures et tous les enfants du monde. Dans le même temps, les écoles italiennes doivent maintenir leurs propres traditions avec fierté et diffuser la culture de notre pays", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
L'opposition de centre gauche et certains syndicats ont critiqué cette réforme, y voyant une mesure qui ne fera qu'accroître le sentiment d'exclusion des immigrés. Un des dirigeants de l'opposition, Antonio Di Pietro, a même qualifié le projet de "dangereux".
"C'est dangereux parce que des actes de barbarie ont été commis par le passé au nom de la protection des espèces et de l'identité nationale", a déclaré Di Pietro. "Fixer un plafond de 30% d'élèves étrangers dans les classes ne favorise pas l'intégration mais a des relents de racisme".
Vendredi matin, à l'heure de la récréation, une lycéenne va chercher son grand frère, Hakim, pour qu'il la défende. Elle lui explique qu'un garçon de sa classe, Islam, l'embête. Hakim va voir cet élève. Le ton monte très vite entre les deux garçons. Jusqu'au drame : Hakim reçoit un coup de couteau au thorax, le touchant près du coeur. Il est décédé dans la soirée. Islam a été arrêté dans la nuit.
C'était au lycée Darius-Milhaud, Le Kremlin-Bicêtre, France.
Un missionnaire italien a péri et des milliers d'ouvrages ont brûlé dans un incendie d'origine inconnue à l'Institut des Belles Lettres Arabes (Ibla) dirigé par des Pères-Blancs à Tunis, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.