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  • Saint Ignace de Loyola

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    Les différents textes de cette messe rappellent très clairement la vie et les maximes du saint. L’Introït reproduit la grande devise de son institut : « Omnia ad majorem Dei gloriam. — Tout pour la plus grande gloire de Dieu ». A l’Épître, saint Ignace raconte ses labeurs évangéliques et nous exhorte à l’imiter. L’Évangile, récit de la mission des soixante-douze disciples, le range parmi les grands missionnaires qui parcoururent l’univers au nom du Sauveur. Le texte de la Communion est remarquablement frappant : « Je suis venu apporter le feu sur la terre, et que désiré-je, sinon qu’il s’allume ? » Ignem — Ignace ; il fut un vrai Prométhée qui transmit le feu divin à la terre. Et ce feu, où le recevons-nous de nouveau, lorsque notre cœur est froid ? Dans l’Eucharistie. La Secrète nous dit que Dieu « a placé la source de toute sainteté dans les mystères sacro-saints ».

    Dom Pius Parsch

  • Au Mexique

    La Cour suprême du Mexique, par quatre voix cotre une, a rejeté l’injonction d’un juge de Xalapa, dans l’Etat de Veracruz, qui ordonnait au parlement de cet Etat de dépénaliser l’avortement.

    En 2008, la Cour suprême avait confirmé la législation de Mexico permettant l’avortement. Mais c’était une loi votée par les parlementaires. A cette occasion, la Cour suprême avait déclaré le droit des Etats de décider de leur « politique de santé ». Dans la foulée, plus de la moitié des Etats, dont Veracruz, avaient voté des lois contre l’avortement (l’Etat de Veracruz l’a fait par le biais d’un amendement constitutionnel stipulant que la vie commence dès la conception). Deux Etats l’ont dépénalisé.

  • Bravo

    Une croix a été installée au sommet du Pic Carlit, point culminant des Pyrénées-Orientales. On ne sait pas exactement quand ni par qui, mais elle a dû être transportée à dos d’homme et vraisemblablement de nuit.

    L’ancienne croix avait été détruite en 2018. Il avait été décidé de ne pas la réinstaller « dans un esprit d’apaisement ».

    L’évêque était d’accord, évidemment. Aujourd’hui il trouve quand même « personnellement » ce geste « très courageux ». Mais, franchement, tout le monde se moque de ce que pense « personnellement » Norbert Turini.

    On préfère entendre Eric Charre, le directeur de la station de ski la plus proche : « Les personnes qui ont réussi à monter une croix à cette altitude m'inspirent un grand respect. Il y a toujours eu une croix au sommet. Mon arrière-grand-père, guide de haute montagne, s'était lui-même photographié devant la croix. Depuis deux ans, il manquait quelque chose. Le Pic Carlit renoue avec l'histoire et la tradition. »

  • Saints Abdon et Sennen

    (Solesmes)

    Vestri capílli cápitis omnes numeráti sunt : nolíte timére : multis passéribus melióres estis vos.

    Les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez pas : vous valez plus que beaucoup de passereaux.

     

    . Exsultábunt Sancti in glória.

    Les saints exulteront dans la gloire.

    ℟. Lætabúntur in cubílibus suis.

    Ils se réjouiront dans leurs chambres.

    Orémus.

    Deus, qui sanctis tuis Abdon et Sennen ad hanc glóriam veniéndi copiósum munus grátiæ contulísti: da fámulis tuis suórum véniam peccatórum; ut, Sanctórum tuórum intercedéntibus méritis, ab ómnibus mereántur adversitátibus liberári.

    Per Dóminum nostrum Iesum Christum, Fílium tuum: qui tecum vivit et regnat in unitáte Spíritus Sancti, Deus, per ómnia sǽcula sæculórum.

    ℟. Amen.

    Dieu, vous avez fait à vos saints Abdon et Sennen le don insigne de la grâce d’arriver à cette gloire : accordez à vos serviteurs le pardon de leurs péchés : afin que, aidés des mérites de vos Saints, nous puissions être délivrés de toute adversité.

  • Pan pan sur le…

    Huit municipalités polonaises avaient demandé une subvention de l’UE (entre 5.000 et 25.000 €) dans le cadre du programme de jumelage de l’UE, qui étudiait 127 dossiers. Au début du mois, l’agence bruxelloise avait demandé des « clarifications » à ces municipalités sur leurs résolutions « discriminatoires » à l’encontre des « LGBTI ». Une des municipalités n’a même pas répondu. Les sept autres l’ont fait, mais six ont été rejetées.

    Cette petite affaire est distincte de l’autre demande, adressée à des présidents de région, qu’ils reviennent explicitement sur leur refus de l’idéologie LGBT, faute de quoi ces régions n’obtiendront rien du fonds européen de lutte contre les conséquences du COVID-19.

    Rappelons que le président Duda, heureusement réélu, avait alors déclaré : « Pendant toute l'époque communiste on imposait aux enfants l'idéologie communiste. C'était du bolchévisme. Aujourd'hui on tente de leur inculquer une nouvelle idéologie, c'est une sorte de néo-bolchévisme… On essaie de nous faire croire que LGBT ce sont des gens alors que c'est seulement une idéologie, et même plus destructrice de l'être humain. »

  • Sainte-Sophie en Syrie

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    De sources « proches du gouvernement syrien », on apprend qu’une église Sainte-Sophie, réduction de la grande église de Constantinople, va être construite en Syrie, dans la région de Hama, en réponse à la profanation d’Erdogan.

    Selon des informations invérifiables pour le moment, la pose de la première pierre aurait même déjà eu lieu, à al-Suqaylabiyah, ville orthodoxe qui comptait 20.000 habitants avant le conflit, en présence de députés russes. Les plans seraient conçus dans la base militaire russe de Latakieh.

    Le terrain aurait été donné par Nadel al Abdullah, le chef d’une milice orthodoxe pro-Assad, et l’initiative serait appuyée par le député russe Vitaly Milonow, connu notamment pour avoir demandé officiellement en 2016 que le nom d’Istanbul soit remplacé par Constantinople sur les cartes imprimées en Russie, et qui affirme que les orthodoxes russes sont prêts à financer la construction en Syrie de cette réplique de Sainte-Sophie. Il souligne que Bachar el-Assad n'a jamais pensé convertir les temples d'une religion déterminée en lieux de culte d'autres religions.

    (Photo : Poutine et Assad à la cathédrale grecque-orthodoxe de Damas le 7 janvier dernier, jour de Noël pour les orthodoxes russes.)

  • Superstition

    Nombreux sont les saints qui ont enchaîné et tué un dragon. C’était, notamment, le symbole de la victoire du christianisme sur le paganisme.

    Dans les légendes de nombreux pays, le dragon (le mot grec veut dire grand serpent) terrorisait les populations, qui lui rendaient donc un culte et lui livraient des vierges ou des enfants pour l’apaiser. Aussi à la fin de l’Ancien Testament on voit Daniel tuer un dragon. Le psaume 103 rappelle que Dieu a créé le dragon pour se moquer de lui, et le psaume 73 que Dieu lui-même l’a tué... et l’a donné à manger aux Ethiopiens (ce dragon-là était donc le crocodile, comme celui de sainte Marthe si l’on en croit l’hypothèse du P. Faillon).

    Aujourd’hui on ne croit plus en ces fariboles de l’obscurantisme. D’ailleurs on ne croit plus en rien. C’est donc le moment de réinventer les pires superstitions. Ce n’est plus un très grand dragon qui terrorise, c’est un tout petit virus. Mais la terreur est la même et le culte est aussi exigeant. Les grands-prêtres si rationnels qui nous gouvernent (et plus encore, si c’était possible, qui gouvernent les médias), ne pouvant plus offrir d’enfants (le Moloch du droit à l’avortement les a déjà pris) ont offert quelques vieux par la grâce du Rivotril. Mais surtout il fallait imposer la dictature du dieu virus. Et elle connaît aujourd’hui un regain, avec l’obligation du port du masque. Or il s’agit réellement, clairement, évidemment, d’une superstition. Voyez celui-ci, tout seul dans son jardin, avec un masque. Voyez celui-là, tout seul dans sa voiture, avec un masque. Comment craignent-ils d’être « contaminés » ? Qui craignent-ils de « contaminer » ? Et je vois ces braves gens, contaminés par la propagande de la nouvelle religion, qui déambulent dans les rues avec un masque, dans des villages et des bourgs où il n’y a pas eu la moindre contamination depuis le début de l’épidémie. Et qui sont persuadés de faire acte de vertu. D’être des saints de la nouvelle religion.

    C’est une nouvelle illustration de la vérité selon laquelle quand on ne croit plus à la vraie religion on tombe dans la superstition, surtout quand on se croit rationnel, et d’autant plus esclave qu’on se croit « libéré ».

    Mais comme pour tout, il y a le bon côté des choses, qui permet de sourire un peu. Sans masque. Puisque, évidemment, je ne célèbre pas mardi-gras en été, il m’est interdit par la nouvelle religion d’entrer dans les boutiques. Il faut donc faire autrement pour acheter à manger. C’est l’occasion de découvrir des marchés que je ne connaissais pas, avec de sympathiques commerçants – ceux-là qui n’ont pas de masques et qui ne sont donc pas des adeptes de la nouvelle religion, et le montrent de façon ostensible et, redisons-le, souriante, ce que ne peuvent pas faire les sinistres adeptes masqués de la nouvelle religion.

  • Sainte Marthe

    Entre Arles et Avignon, villes de la province Viennoise, près des bords du Rhône, entre des bosquets infructueux et les graviers du fleuve, était un désert rempli de bêtes féroces et de reptiles venimeux. Entre autres animaux venimeux, rôdait çà et là, dans ce lieu, un terrible dragon, d'une longueur incroyable et d'une extraordinaire grosseur. Son souffle répandait une fumée pestilentielle ; de ses regards sortaient comme des flammes ; sa gueule, armée de dents aiguës, faisait entendre des sifflements perçants et des rugissements horribles. Il déchirait avec ses dents et ses griffes tout ce qu'il rencontrait, et la seule infection de son haleine suffisait pour ôter la vie à tout ce qui l'approchait de trop près. On ne saurait croire le carnage qu'il fit en se jetant sur les troupeaux et sur leurs gardiens, quelle multitude d'hommes moururent de son souffle empoisonné. Comme ce monstre était le sujet ordinaire des conversations, un jour que la sainte annonçait la parole de DIEU à une grande foule de peuple qu'elle avait réunie, quelques-uns parlèrent du dragon ; et, les uns avec la sincérité de véritables suppliants, les autres pour tenter la puissance de Marthe, se mirent à dire : Si le Messie que cette sainte fille nous prêche a quelque pouvoir, que ne le montre-t-elle ici ? Car si ce dragon venait à périr, on ne pourrait dire que c'eût été par aucun moyen humain. Marthe leur répondit : Si vous êtes disposés à croire, tout est possible à l'âme qui croit. Alors tous ayant promis de croire, elle s'avance à la vue de tout le peuple qui applaudit à son courage, se rend avec assurance dans le repaire du dragon, et par le signe de la croix qu'elle fait, elle apaise sa férocité. Ensuite ayant lié le col du dragon avec la ceinture qu'elle portait, et se tournant vers le peuple, qui la considérait de loin : Que craignez-vous, leur dit-elle ? Voilà que je tiens ce reptile, et vous hésitez encore ! Approchez hardiment au nom du Sauveur, et mettez en pièces ce monstre venimeux ! Ayant dit ces paroles, elle défend au dragon de nuire à qui que ce soit par son souffle ou sa morsure ; puis elle reproche son peu de foi au peuple, en l'animant à frapper hardiment. Mais tandis que le dragon s'arrête et obéit aussitôt, la foule ose à peine se rassurer. Cependant on attaque le monstre avec des armes, on le met en pièces, et chacun admire de plus en plus la foi et le courage de sainte Marthe, qui, tandis qu'on perce l'énorme dragon, le tient immobile par un lien si fragile, sans aucune difficulté, et sans éprouver aucun sentiment d'effroi. Cet endroit désert était auparavant appelé Nerluc (ou bois noir) ; mais dès ce moment on le nomma Tarascon, du dragon qu'on appelait Tarasque ; et les peuples de la Province Viennoise, témoins de ce miracle, ou en ayant appris la nouvelle, crurent dès lors au Sauveur, et reçurent le baptême, glorifiant DIEU dans les miracles de sa servante, qui fut chérie et honorée autant qu'elle en était digne par tous les habitants de la province.

    Le désert de Tarascon ayant été ainsi délivré par la puissance de DIEU de tous les reptiles qui l'infestaient, sainte Marthe s'y choisit une demeure, changeant en un séjour agréable et délicieux ce lieu auparavant redouté et détestable. Elle s'y fit donc construire une maison ou plutôt un oratoire, qu'elle s'étudia plus à décorer par ses vertus et ses œuvres prodigieuses que par d'inutiles ornements. Elle y demeura retirée l'espace de sept ans. Durant tout cet intervalle, les racines des herbes et les fruits des arbres étaient toute sa nourriture ; encore ne se permettait-elle d'user de ces aliments qu'une seule fois chaque jour. Ainsi en agissait-elle envers elle-même ; mais pour le prochain, sa conduite était tout autre. Car pensant que ce jeûne continuel, s'il n'avait été accompagné de la charité, ne serait qu'un supplice inutile pour elle et un tourment pour les personnes qui partageaient sa retraite, elle n'oublia pas l'hospitalité qu'elle avait tant exercée autrefois. Jamais sans quelque pauvre, elle aimait à leur distribuer ce qu'on lui donnait à elle-même ; toujours les indigents avaient part à sa table ; se réservant pour elle-même les herbes les plus grossières, elle leur distribuait avec une tendre sollicitude et avec sa charité accoutumée les aliments que leurs besoins réclamaient, et elle faisait tout cela avec une satisfaction et des soins qu'elle eût été loin d'avoir si c'eût été pour elle-même. Elle pensait dans cette action que celui qu'elle avait reçu si souvent autrefois tandis qu'il était sur la terre, et qu'il voulait bien éprouver la faim et la soif, n'a plus besoin comme alors d'assistances temporelles, mais que c'est dans les pauvres qu'il veut être soulagé maintenant. Elle se souvenait, cette servante de JÉSUS-CHRIST, de ce qu'il dira aux siens : Ce que vous avez fait au moindre des miens, vous l'avez fait à moi-même. Et c'est pourquoi, comme elle avait servi d'abord le chef de l'Église, elle s'appliquait alors à assister ses membres, ayant pour tous le même amour et la même prévenance. Or, comme DIEU aime celui qui donne de bon cœur, sa bonté ne lui manqua point, et, il pourvut à tout en lui ouvrant comme une source intarissable, dont l'abondance toujours nouvelle remplaçait continuellement, sans qu'elle s'en mit en peine, les provisions que sa bienfaisance épuisait chaque jour. Car voyant que par un effet de sa générosité naturelle elle trouvait tant de plaisir dans les charités qu'elle faisait, la piété des fidèles ne manquait pas de fournir au-delà de ce qu'il lui fallait pour qu'elle pût exercer sa libéralité. Du reste, les riches eux-mêmes, qui accouraient à elle en grand nombre, ne s'en allaient pas non plus les mains vides ; ils en rapportaient toujours quelque bienfait soit pour le corps, soit pour l'âme. Son vêtement était grossier ; pendant ces sept années elle porta sur sa chair même un sac et un cilice avec une ceinture de crins de cheval toute remplie de nœuds ; et sa chair, s'étant corrompue, était rongée par les vers. Patience incomparable, que de vouloir, quoique vivante, être déjà la pâture des vers. Toujours elle était nu-pieds, et avait la tête couverte d'une tiare blanche de poils de chameau. Des branches d'arbres et des sarments sur lesquels elle étendait une couverture lui servaient de lit, et une pierre qu'elle mettait sous sa tête lui tenait lieu d'oreiller. Au milieu de tels délices, sainte Marthe, mille fois martyre, soupirait vers les cieux. Son esprit, entièrement possédé de DIEU, se perdait en lui dans ses oraisons, auxquelles elle employait même le temps de la nuit ; et, les genoux en terre, sans jamais se lasser, elle adorait, régnant dans les cieux, celui qu'elle avait vu dans sa maison soumis à nos misères. Elle allait aussi fréquemment dans les villes et les bourgades voisines, prêchant la foi du Sauveur, et revenait à sa solitude, chargée du fruit de ses travaux après cette divine moisson : car ce qu'elle enseignait par ses paroles, elle l'établissait aussitôt par des miracles et des prodiges ; ou bien aussi, en chassant les démons des corps des possédés par sa seule prière et l'imposition de ses mains ; et enfin, en faisant, par la puissance du Saint-Esprit, toutes sortes de miracles.

    Chapitres 41 et 42 de la « Vie de sainte Marie-Madeleine et de sainte Marthe sa sœur », texte attribué à Raban Maur, traduction d’Etienne-Michel Faillon, prêtre sulpicien né en 1799 à Tarascon. (Il fait remarquer en note que Strabon parlait déjà de Tarascon au premier siècle avant Jésus-Christ, et donc que c’est la Tarasque qui tient son nom de la ville, et non l’inverse. Il suggère d’autre part que le dragon pourrait être un crocodile du Nil apporté par les Romains pour les jeux du cirque d’Arles ou de Nîmes. Mais la légende et le culte de sainte Marthe datent d’un temps où il était courant que les saints maîtrisent de terribles dragons…)

  • Saints Nazaire et Celse, Victor, et Innocent Ier

    Cas sans doute unique dans l’année, la liturgie de ce jour fait mémoire des saints des trois premières citations du martyrologe pour le 28 juillet.

    Nazaire et Celse sont des martyrs de Néron à Milan, dont le culte a été popularisé par saint Ambroise qui découvrit leurs corps en 395.

    Victor est le premier pape berbère, mort en 199, honoré du titre de martyr bien qu’il ne soit guère probable qu’il ait péri de mort violente.

    Innocent Ier est un pape de l’époque de saint Augustin (et il prend la défense de saint Jean Chrysostome persécuté par l’empereur). Non seulement il n’a pas le titre de martyr comme les précédents, mais en outre il est mort un… 12 mars (comme le précise le martyrologe...).

    La collecte ne peut donc qu’être très générale, mais c’est une belle prière :

    Sanctórum tuórum nos, Dómine, Nazarii, Celsi, Vittóris et Innocéntii conféssio beáta commúniat : et fragilitáti nostræ subsídium dignánter exóret.

    Que la bienheureuse profession de foi de vos saints Nazaire, Celse, Victor et Innocent nous fortifie, Seigneur : et qu’elle obtienne de votre bonté des secours pour notre faiblesse.

    C’est aussi en ce jour que le martyrologe romain, peu prolixe sur les vieux saints bretons, commémore saint Samson premier évêque de Dol, l’un des « sept saints fondateurs » de la Bretagne.

  • L'entonnoir d'or

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