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Le blog d'Yves Daoudal - Page 613

  • Trump

    Le 22 janvier est le jour de 1973 où la Cour suprême américaine légalisa le meurtre de l’enfant à naître, par l’arrêt Roe contre Wade. C’est pourquoi chaque année autour de cet anniversaire a lieu la Marche nationale pour la vie à Washington. Marche soutenue par Donald Trump, qui en 2018 a décrété que le 22 janvier serait la Journée nationale de la sainteté de la vie. Il a réitéré son décret en 2019, et hier pour 2020 :

    Chaque personne - née ou à naître, pauvre, brisée, handicapée, infirme, âgée - a une valeur propre. Bien que chaque parcours soit différent, aucune vie n'est sans valeur ou sans importance ; les droits de tous doivent être défendus. À l'occasion de la Journée nationale de la sainteté de la vie humaine, notre nation réaffirme fièrement et fermement son engagement à protéger le précieux don de la vie à chaque étape, de la conception à la mort naturelle.

    Récemment, nous avons constaté une diminution du nombre total et du taux d'avortements dans notre pays. De 2007 à 2016, dernière période d'analyse, le nombre et le taux d'avortements ont diminué respectivement de 24% et de 26%. Le taux de grossesses chez les adolescentes - dont la grande majorité est non désirée - a presque continuellement diminué au cours du dernier quart de siècle, contribuant au taux d'avortement le plus bas chez les adolescentes depuis la légalisation de l'avortement en 1973. Tous les Américains devraient célébrer cette baisse du nombre et du taux d'avortements, qui représente des vies sauvées. Mais il reste encore beaucoup à faire et, en tant que Président, je continuerai de lutter pour protéger la vie des enfants à naître. J'ai signé une loi en vertu du Congressional Review Act qui permet aux États et autres bénéficiaires d'exclure de leurs projets selon le Titre X [du budget fédéral : Title X Family Planning Program] les organisations qui pratiquent des avortements. Mon gouvernement a également édicté des règlements : pour veiller à ce que les projets de planification familiale selon le titre X soient clairement séparés de ceux qui pratiquent, encouragent ou recommandent l'avortement comme méthode de planification familiale ; pour protéger les droits à l’objection de conscience des travailleurs et des organisations de soins de santé, y compris en ce qui concerne l'avortement ; et pour veiller à ce que le gouvernement fédéral n'oblige pas les employeurs qui s'opposent, sur la base de convictions religieuses ou morales, à fournir une assurance pour les contraceptifs, y compris ceux qui, selon eux, provoquent des avortements précoces. De plus, j'ai appelé le Congrès à agir pour interdire les avortements tardifs de bébés qui peuvent ressentir la douleur.

    Mon gouvernement est également en train de constituer une coalition internationale pour détruire le concept de l'avortement comme droit humain fondamental. Jusqu'à présent, 24 nations représentant plus d'un milliard de personnes ont rejoint cette cause importante. Nous nous opposons à tous les projets qui tentent de faire valoir un droit mondial à l'avortement sur demande jusqu’à terme, financé par les contribuables. Et nous ne nous lasserons jamais de défendre la vie innocente – dans notre pays ou à l'étranger.

    En tant que nation, nous devons rester fermement attachés à la vérité profonde que toute vie est un don de Dieu, qui confère à chaque personne une valeur et un potentiel incommensurables. D'innombrables Américains sont des défenseurs infatigables de la vie et des champions des plus vulnérables d'entre nous. Nous sommes reconnaissants à ceux qui soutiennent les femmes qui vivent des grossesses inattendues, à ceux qui soignent les femmes qui ont subi un avortement et à ceux qui accueillent des enfants dans leurs foyers par le biais de la famille d'accueil et de l'adoption. À l'occasion de la Journée nationale de la sainteté de la vie humaine, nous célébrons le merveilleux cadeau de la vie et renouvelons notre détermination à bâtir une culture où la vie est toujours vénérée.

    PAR CONSÉQUENT, MOI, DONALD J. TRUMP, président des États-Unis d'Amérique, en vertu de l'autorité que me confèrent la Constitution et les lois des États-Unis, proclame par la présente le 22 janvier 2020 Journée nationale de la sainteté de la vie humaine. Aujourd'hui, j'appelle le Congrès à se joindre à moi pour protéger et défendre la dignité de chaque vie humaine, y compris celles qui ne sont pas encore nées. J'appelle le peuple américain à continuer de prendre soin des femmes pendant les grossesses inattendues et à soutenir l'adoption et le placement familial de manière plus significative, afin que chaque enfant puisse avoir un foyer aimant. Et enfin, je demande à chaque citoyen de cette grande nation d'écouter le bruit du silence provoqué par une génération perdue pour nous, puis d'élever la voix pour toutes les personnes touchées par l'avortement, visibles et invisibles.

    EN FOI DE QUOI, j'ai apposé ma signature ce vingt et unième jour de janvier de l'an de notre Seigneur deux mille vingt, et deux cent quarante-quatrième de l'Indépendance des États-Unis d'Amérique.

    DONALD J. TRUMP

    Addendum

    Il participera en personne (et non par un message vidéo) ce vendredi à la Marche nationale pour la vie à Washington. C'est une grande première.

  • Saint Vincent

    Oraison de la liturgie mozarabe :

    Benedicimus te, omnipotens Deus, qui beatissimum Vincentium Martyrem tuum, sicut quondam tres pueros, ab ignis incendia liberasti : cum ejus utique membris adhibita flamma, etsi esset quae exureret, non tamen esset quae vinceret; ejus ergo precibus rorem misericordiae tuae nostris infunde visceribus, ut madefacto igne carnalis incendii, flamma in nobis tepescat peccati; quae etsi a nobis naturaliter non desistat, quaesumus, ne fragilitatem nostram materialiter succensam comburat; sed ita gratia naturae subveniat, ut quod origine caremus, munere restinguere valeamus. Amen.

    Nous vous bénissons, ô Dieu tout-puissant, qui avez délivré le bienheureux Vincent, votre Martyr, de l’embrasement du feu, comme autrefois les trois enfants, en sorte que la flamme, appliquée sur ses membres, pouvait le brûler, mais non le vaincre : daignez, par ses prières, répandre sur nos cœurs la rosée de votre miséricorde, afin que le feu de l’incendie charnel en étant humecté, la flamme du péché s’attiédisse en nous ; et que, si nous n’en devons pas être délivrés naturellement dans nos sens, du moins elle ne consume pas notre fragilité, que matériellement elle provoque ; mais que votre grâce subvienne assez à la nature pour que nous puissions, par votre secours, éteindre une flamme dont l’origine n’est pas venue de nous. Amen.

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    Saint Vincent de Saragosse, par Thomas Giner, 1466, pour la chapelle Saint-Vincent de la cathédrale de Saragosse. Peinture aujourd’hui très incorrecte : c’est Vincent Matamore… Mais, contrairement à ce qui se passe à Saint-Jacques de Compostelle, le clergé n’a pas besoin de masquer le bas par des fleurs : le tableau est au musée du Prado (et les associations antiracistes n’ont pas encore pensé à le faire… brûler…)

  • Sainte Agnès

    Hymne de saint Ambroise (traduction dom Guéranger), chantée par la Chapelle musicale de la cathédrale de Milan, en 1974 (sans doxologie…).


    podcast

    Agnes beatae virginis
    Natalis est, quo spiritum
    Coelo refudit debitum,
    Pio sacrata sanguine.

    C’est la fête d’Agnès, l’heureuse vierge, le jour où, sacrée par son sang, elle rendit au ciel son âme faite pour le ciel.

    Matura martyrio fuit,
    Matura nondum nuptiis,
    Nutabat in viris fides,
    Cedebat et fessus senex.

    Elle fut mûre pour le martyre avant de l’être pour les noces, dans un temps où la foi chancelait au cœur même des hommes, où le vieillard lassé cédait au tyran.

    Metu parentes territi
    Claustrum pudoris auxerant:
    Solvit fores custodiae
    Fides teneri nescia.

     Ses parents, dans la crainte de la perdre, la gardaient plus sévèrement encore que ne la retenait la bienséance du sexe ; elle force les portes de sa retraite: sa foi ne saurait demeurer captive.

    Prodire quis nuptam putet.
    Sic laeta vultu ducitur,
    Novas viro ferens opes,
    Dotata censu sanguinis.

    On croirait voir s’avancer une épouse, tant son visage est radieux; elle apporte à l’Époux de nouvelles richesses ; le prix de sa dot est dans son sang.

    Aras nefandi numinis
    Adolere tedis cogitur:
    Respondet: Haud tales faces
    Sumpsere Christi virgines.

    On veut la contraindre à allumer la torche aux autels d’un dieu sacrilège ; elle répond : « Ce ne sont pas là les flambeaux que portent les vierges du Christ.

    Hic ignis exstinguit fidem,
    Haec flamma lumen eripit:
    Hic, hic ferite, ut profluo
    Cruore restinguam focos.

    « Votre feu éteint la foi, votre flamme détruit la lumière ; frappez, frappez ici : mon sang versé éteindra vos brasiers. »

    Percussa quam pompam tulit ?
    Nam veste se totam tegit,
    Curam pudoris praestitit,
    Ne quis retectam cerneret.

    Pour recevoir le coup, comme elle dispose sa parure ! Soigneuse de la pudeur, elle se drape dans ses vêtements, afin qu’aucun œil ne la contemple immodeste.

    In morte vivebat pudor,
    Vultumque texerat manu ;
    Terram genuflexo petit,
    Lapsu verecundo cadens.

    Cette pudeur la suit dans la mort ; sa main voilait son visage, elle tombe à genoux sur Ta terre, et sa chute encore est empreinte de modestie.

    Gloria tibi Domine,
    Gloria Unigenito,
    Una cum Sancto Spiritu
    In sempiterna saecula. Amen.

    Gloire à vous, Seigneur, gloire au Fils unique, avec le Saint-Esprit, dans les siècles éternels. Amen.

  • Flop

    La quatrième édition de la « Marche des femmes » (en bonnets roses) contre Trump a réuni quelque… 6000 personnes à Washington.

    Il y en avait 500.000, paraît-il, la première fois.

  • Choose France

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    The macronite Republic doesn’t speak french. For the third time.

  • En Norvège

    Le parti du progrès (« populiste ») claque la porte du gouvernement norvégien, mettant ainsi celui-ci en minorité au Parlement.

    La raison (ou la goutte qui fait déborder le vase) : le « rapatriement » d’une « Norvégienne » d’origine pakistanaise membre du Front al-Nosrah puis de l’Etat islamique, après le « rapatriement » d’une autre femme jihadiste et de ses deux enfants.

    « La coupe est pleine… Nous nous sommes déclarés en permanence prêts à rapatrier des enfants innocents mais nous ne faisons pas de compromis avec des personnes qui ont rejoint des organisations terroristes et qui œuvrent activement à la destruction des valeurs sur lesquelles la Norvège s'est construite », a déclaré Siv Jensen, présidente du parti du progrès et jusqu’ici ministre des Finances.

  • Les belles histoires d’Infomigrants

    Extraits :

    « Je m’appelle Alif, j’ai 27 ans et cela fait trois ans que je fais des allers-retours, au gré de mes expulsions, entre la France et l’Albanie, mon pays d’origine. J’ai été déboutée du droit d’asile en France, tout comme mes parents et mes deux frères.

    Je travaille dans un magasin solidaire à Grisolles, près de Toulouse. Je trie des vêtements issus de dons et je les vends. Je suis logée sur place : il y a une grande maison où vivent 23 autres sans-papiers comme moi. J’ai une chambre pour moi toute seule. Comparé au reste de ma famille, je ne suis pas à plaindre.

    Mes parents vivent dans la rue, sous une tente, à Toulouse avec mes deux nièces âgées de deux ans et quatre ans. Mon petit frère de 24 ans, lui, dort devant la gare d’Austerlitz, à Paris. La journée, il travaille de manière clandestine dans le secteur du bâtiment. C’est dur, mais qu’est-ce que tu veux qu’il fasse ? Quant à mon grand frère de 31 ans, il a été renvoyé en Albanie, comme nous tous à un moment ou à un autre, mais il n’est pas revenu en France.

    Je suis mieux lotie qu’eux, certes, mais c’est très difficile pour moi aussi. J’ai des problèmes avec mon supérieur hiérarchique, un sans-papiers lui aussi. Il me met mal à l’aise, il est toujours après moi. Le 15 décembre, il m’a dit : ‘Viens, je dois te parler’ et il m’a embrassée. Puis il m’a dit : ‘Tu restes un peu, comme ça, avec moi. Et tu me fais un bisou’. Je pleure beaucoup depuis.

    J’ai raconté à mes parents ce qu’il se passait avec mon chef. Ils m’ont dit de faire attention. De toute façon, je n’ai pas de solution : j’irais où si je partais de là où je suis ?

    Dans la vie de tous les jours, je suis très prudente dans mes déplacements. J’ai peur que la police me contrôle. Je ne sors pas beaucoup. Je travaille toute la semaine et le lundi, je me repose ou bien je prends le train pour Toulouse pour aller voir mes parents et mes nièces. Eux ne viennent pas chez moi car mon chef refuse que j’aie de la visite.

    Nous avons pris l’avion pour Marseille tous les sept - mes parents, mes deux frères, ma belle-sœur, ma nièce et moi. En France, nous avons tout de suite demandé l'asile et, quelques semaines plus tard, nous avons obtenu une place en Cada (Centre d’accueil de demandeur d’asile) près d’Albi. C’était bien : on était tous dans une maison. Là, j’ai fait la connaissance de Z., un réfugié afghan qui vivait juste à côté du Cada. Nous sommes tombés amoureux. Lui avait un statut et un travail.

    En mars dernier, Z. a été arrêté par la police. Il est accusé d’avoir tué un autre Afghan lors d’une rixe, mais je suis sûre qu’il est innocent. Ce soir-là, il était sorti aider des amis à lui à se défendre face à un groupe d’hommes qui les provoquaient. Il n’aurait pas dû y aller.

    Cela fait bientôt un an que je n‘ai pas vu Z. Pour moi, ce n’est pas possible d’aller au parloir vu que je n'ai pas de papiers. On se parle par téléphone. J’ai mal, je pleure, mais je ne lui ne dis jamais ça. Il n’aime pas que je sois triste pour lui. J'espère qu'il sortira vite. »

    N.B. Infomigrants est ouvertement un site d’aide aux clandestins. Il a été créé par « France Médias Monde » (France 24, RFI, MCD), Deutsche Welle, ANSA, et il est cofinancé par l’UE. Il dit que « pour s’adresser au plus grand public possible, il se décline en trois langues, français, arabe et anglais ». En fait il est aussi en pachto et en dari, deux langues d’Afghanistan (deux pompes aspirantes).

  • Déséquilibré…

    Alors qu’elle sortait d’une église du Caire, le 13 janvier, Katren a été attaquée en pleine rue par un musulman qui lui a mis la main sur les yeux et lui a dit : « Allahou Akbar, je vais te tuer parce que tu ne couvres pas tes cheveux. » Il lui a fait trois profondes entailles dans le cou. Katren a été sauvée par des clients du café devant lequel la scène s’est produite (et a été filmée par la caméra de surveillance). Il a fallu 68 points de suture pour refermer les plaies.

    L’agresseur a été arrêté. Puis sa mère est arrivée avec un certificat médical attestant que son fils est un déséquilibré…

    Le même homme avait déjà tenté de tuer une chrétienne en 2017. Il n’avait pas été inquiété.

  • Saint Sébastien

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    Sebastiani Martyris,
    Concivis almi, supplices
    Diem sacratam vocibus
    Canamus omnes debitis.

    En ce jour dédié à l’honneur de Sébastien Martyr, notre concitoyen illustre, rendons-lui gloire dans nos chants unanimes.

    Athleta Christi nobilis,
    Ardens amore praelii,
    Linquit tepentem patriam,
    Pugnamque Romae festinat.

    Ce noble athlète du Christ, plein de l’ardeur du combat, abandonne sa patrie, qui pour lui a moins de dangers, et vient dans Rome affronter la lutte.

    Hic cultor alti dogmatis,
    Virtute plenus coelica,
    Idola damnans, inclyti
    Trophaea sperat martyris.

    C’est là que, sectateur d’une doctrine sublime, repoussant l’idolâtrie, il aspire aux trophées d’un glorieux martyre.

    Loris revinctus plurimis;
    Qua stipes ingens tollitur,
    Vibrata tela suscipit
    Umbone nudo pectoris.

    Des nœuds multipliés l’enchaînent au tronc d’un arbre ; c’est là que sa poitrine, comme un bouclier suspendu, sert de but aux traits des archers.

    Fit silva corpus ferrea;
    Sed aere mens constantior
    Ut molle ferrum despicit :
    Ferrum precatur, saeviat.

    Les flèches se réunissent sur son corps comme une forêt ; mais son âme, plus ferme que l’airain, insulte à la mollesse du fer, et demande à ce fer d’être plus meurtrier.

    Manantis unda sanguinis
    Exsangue corpus nunciat;
    Sed casta nocte Femina
    Plagas tumentes recreat.

    A voir le sang qui baigne le corps du Martyr, on croirait qu’il a expiré ; mais une chaste femme est venue panser ces plaies enflammées.

    Coeleste robur militi
    Adacta praebent vulnera;
    Rursum tyrannum provocans,
    Exspirat inter vulnera.

    Ces blessures profondes inspirent un courage céleste au soldat du Christ ; il va provoquer encore le tyran, et bientôt il expire sous les coups meurtriers.

    Nunc coeli in arce considens,
    Bellator o fortissime,
    Luem fugando, civium
    Tuere clemens corpora.

    Maintenant, assis dans les hauteurs du ciel, vaillant guerrier ! éloignez la peste, et gardez même les corps de vos concitoyens.

    Patri, simulque Filio,
    Tibique, Sancte Spiritus,
    Sicut fuit, sit jugiter
    Saeclum per omne gloria. Amen.

    Au Père, au Fils, et à vous, Esprit Saint, comme toujours, soit à jamais gloire dans tous les siècles. Amen.

    Hymne du bréviaire ambrosien, traduction dom Guéranger.

  • 2e dimanche après l’Epiphanie

    L’Alléluia de ce dimanche reprend la mélodie de celui du 3e dimanche de l’Avent, et le texte permet de lui donner toute sa dimension contemplative et extatique, qui est ici remarquablement exprimée, avec sobriété et simplicité, par les moniales de Kergonan sous la direction du chanoine Jean Jeanneteau.

    Allelúia, allelúia. Laudáte Dóminum, omnes Angeli ejus : laudáte eum, omnes virtútes eius. Allelúia.

    Alléluia, alléluia. Louez le Seigneur, vous tous ses anges ; louez-le, toutes ses puissances. Alléluia.