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Le blog d'Yves Daoudal - Page 292

  • Michael Yeadon

    Le Dr Michael Yeadon est depuis longtemps la bête noire de la tyrannie « vaccinale » : ancien directeur scientifique et vice-président de Pfizer, il sait de quoi il parle. Le 21 novembre il a pris la parole à l’assemblée du Conseil mondial de la santé. Il a dit de nouveau que « la tyrannie totalitaire et très probablement la dépopulation sont dans l'esprit de la bande de personnes maléfiques qui dirigent l'escroquerie appelée pandémie de Covid-19 ».

    Et il a appelé ses auditeurs à lutter contre cette tyrannie en plusieurs étapes.

    La première est d’informer tous ceux que l’on peut contacter, et pour ce faire de se renseigner soi-même, de connaître les mensonges afin de pouvoir les dénoncer.

    La deuxième est de refuser l'identification numérique obligatoire :

    « Si un nombre suffisant d'entre nous refusent simplement et croisent les bras, alors ils ne pourront pas réussir, mais ils rendront les choses incommodes. Refusez donc l'identification numérique obligatoire, même si cela vous incommode. Si l'on vous dit, par exemple, que nous manquons de viande et d'œufs, et que nous devons introduire un système de rationnement, auquel vous ne pourriez accéder qu'avec une identification numérique, je vous suggère fortement de le rejeter et de ne pas avoir de viande et d'œufs. Je vous promets que si vous laissez faire ça, ce sera pas de viande et d’œufs aujourd'hui, pas de nourriture demain, et rien du tout l'année prochaine. »

    La troisième étape est de « refuser les vaccins génétiques » : « Je ne fais désormais confiance à aucun produit de cette industrie qui a été récemment approuvé, et ce parce que j'ai peur que les régulateurs des médicaments soient partout corrompus. »

    La quatrième étape consiste à refuser les monnaies numériques des banques centrales (CBDC). Il explique la différence entre l'utilisation d'une carte de crédit ou de débit et une CBDC : 

    « Lorsque vous payez quelque chose avec une carte de débit ou de crédit, l'ordinateur du commerçant ne fait que demander : Ce titulaire de carte est-il solvable ? Il n'envoie pas tout l'inventaire de ce que vous achetez à un ordinateur central. Il demande simplement : Avez-vous 90 $ ou 100 £ pour la transaction ? Avec les monnaies numériques, en revanche, ils vérifient : Mike a-t-il déjà mangé trois saucisses cette semaine ? Est-il trop loin de son domicile ? A-t-il dit du mal du gouvernement ? Et cela peut être fait en temps réel, d'où la nécessité de la 5G, de sa bande passante et de sa vitesse. »

    La cinquième mesure consiste à lutter contre la suppression de l'argent liquide. Yeadon a exhorté ses auditeurs à « faire toutes les transactions que vous pouvez » avec de l'argent liquide – « même si vous sacrifiez le 1% de remboursement sur votre carte, qui est le pot-de-vin pour vous garder accroché à ce système ».

    Pour les élites, ajoute-t-il, il ne s'agit pas seulement d'argent et de contrôle : elles ont également intérêt à réduire « la taille de la population humaine ».

    « Je pense à ces très anciennes fondations avec lesquelles de riches familles ont travaillé, vous savez, des gens qui ont une vision qui est d'amener le monde dans cette direction du totalitarisme, du transhumanisme et de la dépopulation. Et progressivement, sur une longue période, probablement par le biais du FEM et de quelques autres acronymes de trois et quatre lettres, ils ont carrément planté des gens, des gens qui les soutiennent, ils les ont plantés à des postes dans les grandes entreprises, dans les gouvernements, dans les universités et les médias. »

    Michael Yeadon a déclaré qu'il pense maintenant qu'il est possible que les injections Covid fassent « partie de la réduction de la population », et que la « pandémie » était planifiée bien avant qu'elle ne se produise. « Et j'ai des preuves absolues, que vous pouvez trouver en ligne, pour au moins 25 ans de planification, de mesures de contrôle des pandémies virales. Ces choses vont de pair avec le changement climatique et une prétendue surpopulation. »

  • Died suddenly

    Un documentaire intitulé "Died Suddenly" (mort subitement), sorti sur Rumble, a été visionné plus de trois millions de fois en moins de 24 heures.

    Tout au long du film, le spectateur découvre divers témoignages d'embaumeurs du monde anglophone qui attestent tous d'une prolifération de caillots fibreux trouvés dans les veines de nombreuses personnes décédées qui avaient été « vaccinées » contre le covid.

    L'un des embaumeurs présentés dans le film est Robert Hirschmann, qui depuis des mois parle publiquement de son expérience de découverte d'excroissances fibreuses chez les défunts. En plus de décrire les types de caillots qu'il a trouvés, il montre sa collection de caillots qu'il a retirés des corps, et les images sont frappantes.

    L'une des raisons pour lesquelles il s'est intéressé à ce que l'on pouvait trouver chez les personnes « vaccinées » est qu'il a découvert que leur sang avait souvent une texture étrange. « On dirait que le sang est sale, dit-il, presque comme s'il y avait de petits grains de sable. »

    Un autre embaumeur dit de même que cela ressemble à « du sang sur du sable de plage, il collait à la table ».

    Lorsqu'on a demandé à Hirschmann pourquoi lui et tant d'autres embaumeurs ont décidé de se manifester, il a expliqué que s'ils ne le faisaient pas, alors personne ne le pourrait. « Les morts ne peuvent pas parler pour eux-mêmes. »

    Le film présente également plusieurs lanceurs d’alerte de l'armée américaine qui s'inquiètent de ce qui pourrait arriver aux troupes à long terme. Le lieutenant-colonel Theresa Long déclare : « Depuis 15 ans que je suis médecin et que je soigne des soldats, je n'ai jamais vu une telle litanie d'affections débilitantes et potentiellement mortelles chez les soldats. Ces conditions comprennent des accidents vasculaires cérébraux, des accidents ischémiques transitoires, des péricardites, des myocardites, des rythmes cardiaques erratiques, des arythmies, l'apparition et la progression rapides de divers cancers, dont le cancer des testicules, le cancer de l'œsophage, des tumeurs cérébrales, des tumeurs neuroendocrines, des tumeurs de la colonne vertébrale, dysfonctionnement de la thyroïde, sclérose en plaques, troubles cognitifs, insomnie grave et persistante, suppression du système immunitaire, caillots sanguins non provoqués dans la veine splénique et la veine porte, nécrose vasculaire, dysfonctionnement du foie, irrégularités menstruelles et fausses couches. »

    Il est peut-être dommage que le film prête ensuite le flan à l’accusation de complotisme en martelant que le « vaccin » fait partie d’un plan de dépopulation mondiale. Cela risque d'entacher sa crédibilité aux yeux de nombreuses personnes.

  • Chasse aux sorcières

    Le Huffington Post est un agent important de la dictature médiatique de la pensée unique. Il avait demandé à une journaliste un article détaillant les 20 citations les plus transphobes de J.K. Rowling (Harry Potter). La journaliste a lu attentivement toute l’œuvre de J.K. Rowlings, pendant trois mois, y compris ses tweets (puisque tout est parti d’un tweet, en fait d’un simple « like »), et elle n’a « pas trouvé un seul message réellement transphobe ».

    Et elle insiste :

    Trois mois de recherche dédiée et je ne trouve pas une seule citation véritablement transphobe de JK Rowling qui résiste à l’examen minutieux de l’intégrité journalistique. Les violences que JK a endurées sont impardonnables. (…) Honte à ceux qui l’ont accusée sous prétexte de “faire du journalisme” alors que vous deviez savoir, au fond de vous, que vous ne faisiez que monter des pièges à clics et attiser la haine. Honte à ceux qui ont suivi cette propagande sans esprit critique. Vous brûlez la mauvaise sorcière. Je suis avec JK Rowling.

  • Même le Washington Post…

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    « A Kherson, les sympathies pour la Russie compliquent sa réintégration dans l’Ukraine ».

    Et pourtant la plupart de ceux qui avaient des sympathies pour la Russie (la grande majorité de la population restée après la prise de la ville) sont partis de l’autre côté du Dniepr avant que l’armée russe abandonne la ville. Le Washington Post le reconnaît d’ailleurs : ayant eu à leur disposition une liste de personnes qui avaient demandé une aide, une retraite, un passeport, un emploi, à l’administration russe, les journalistes se sont rendus aux adresses d’une trentaine d’entre eux : tous les appartements étaient vides.

  • Subversion russe au monastère

    Le « Service de sécurité d’Ukraine » (SBU) a mené une perquisition hier à la laure des Grottes de Kiev, le plus prestigieux monastère d’Ukraine (mais… russe). Le SBU a dit que c’était une mesure de « contre-espionnage », menée « conjointement avec la police nationale et la garde nationale », pour « contrer les activités subversives des services spéciaux russes en Ukraine » et « pour empêcher l’utilisation de la laure comme “centre du monde russe” ».

    Ce n’était rien d’autre en fait qu’une des récurrentes actions d’intimidation des services ukrainiens contre les monastères et évêchés d’obédience russe. Mais celle-ci était spectaculaire compte tenu de la notoriété mondiale du monastère.

    Le SBU a ensuite produit des photos prouvant les terrifiantes actions subversives des services spéciaux russe au sein du monastère : trois billets de 1000 roubles (à l’effigie de Sviatoslav, prince de Kiev…), deux cartes de visite russes et trois numéros de la modeste publication « Le messager russe ».

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    Comme par hasard, Zelensky, dont la frénésie législative ne faiblit pas (quand on est assuré d’avoir 100% des voix il n’y a pas de raison de s’en priver), a introduit hier au Parlement un projet de loi interdisant l’Eglise orthodoxe russe en Ukraine...

  • Jusqu’au 5e mois

    L’organisation Pro Civitate Christiana d’Assise est un « laboratoire de la foi et de l’avenir » qui publie notamment une revue intitulée Rocca, connue pour ses positions « progressistes ». Signe des temps, un article du 15 avril de cette année est passé inaperçu, qui affirmait que l’avortement n’était pas un péché s’il était commis pour une « bonne raison » avant le quatrième-cinquième mois de grossesse, parce que jusque-là on ne peut pas parler de personne humaine… Article de Mgr Luigi Bettazzi, évêque d’Ivrée de 1966 à 1999.

    Après tout, en Italie on connaît depuis très longtemps les positions, et de l’évêque (qui a maintenant 99 ans), et de la revue d’Assise. Donc on n’y a guère prêté d’attention.

    Mais la revue a décidé qu’on n’en resterait pas là. Et dans son numéro du 5 novembre un théologien, Giannino Piana, a repris les arguments de l’évêque, dans un article intitulé « Au cœur du mystère de l’origine de la vie. Quand on devient une personne. »

    Giannino Piana, ancien professeur d’éthique à l’université de Turin, est l’auteur de près d’une quarantaine d’ouvrages, dont le plus connu est l’Introduction à l’éthique chrétienne.

    Piana reconnaît que la thèse « s’oppose à la doctrine traditionnelle de l’Église », mais, dit-il, « l’authentique tradition chrétienne ne peut pas et ne doit pas être pensée comme un bloc monolithique, qu’il faudrait transmettre de manière momifiée et répétitive ». Parce qu’au contraire « c’est une tradition ouverte et innovative, constamment en croissance » et que « le courage de changer, dans le plein respect de la substance évangélique, est le chemin à suivre pour la rendre plus crédible et universalisable ».

    On croirait lire du Bergoglio… Mais ce n’est que le baratin convenu de la clique antichrétienne au pouvoir dans l’Eglise de Rome.

    Piana reprend un argument que j’avais déjà vu il y a longtemps, je ne sais plus où : quand Dieu crée l’homme, il façonne son corps avec de la terre, puis il souffle dans ses narines et il devient être vivant. Il y a donc deux temps, et il en est de même dans le ventre de la mère. Mais cet argument ne tient pas une seconde : l’embryon est bel et bien vivant, et même si l’on ose dire que ce n’est qu’un « amas de cellules », ce sont des cellules vivantes… Et qui vivent de leur vie propre.

    Piana détermine ensuite quel est donc le moment où le souffle de vie fait une personne humaine de ce qui était « préalable ». En s’appuyant sur « une scientifique moderne », dont il ne dit pas le nom, il affirme que l’on ne peut pas encore parler d’être humain quand les membres sont formés, quand on entend battre le cœur, mais seulement lorsque le fœtus est en mesure de « pouvoir vivre en tant qu’être humain et respirer de manière autonome », ce qui ne se produit qu’à partir du quatrième ou du cinquième mois, « comme Jean-Baptiste qui au sixième mois tressaillait dans le sein d’Elisabeth au salut de Marie ».

    Et l’on ose se référer à l’évangile… Mais cet évangile dit le contraire de ce que prétend la « scientifique moderne » citée par Piana : certes c’est au moment de la salutation de Marie que tressaille Jean-Baptiste, mais le contexte (le commentaire d’Elisabeth) montre bien que c’est parce qu’il a reconnu la présence du Seigneur dans le sein de Marie. Le Seigneur qui est alors un embryon de quelques jours à peine. (Et c’est ainsi que l’iconographie l’a toujours compris.)

    Piana reprend ensuite l’argumentation de l’évêque sur le « ressenti » de la femme, « caractérisé par une implication existentielle unique » dans la connaissance du « processus humain au cours duquel on devient une personne », que l’on ne peut « nullement enfermer dans des schémas prédéfinis » et qui « se présente comme ouvert de façon pérenne ».

    C’est le relativisme et l’individualisme poussés à l’extrême. A leur extrême criminel. Il n’y a plus rien d’objectif. C’est la femme qui décide, selon son ressenti, jusqu’à quel moment son fœtus peut être éliminé parce qu’il n’est pas encore un être humain…

    Bref, conclut Piana, ce qui est certain est « qu’il faudrait déplacer bien plus loin le moment où commence la vie personnelle par rapport à l’acte de la fécondation et qu’on ne peut pas parler d’avortement au sens strict si on ne se trouve pas à une distance considérable de cet événement ».

    Si Giannino Piana quittait parfois son bureau pour aller dans les lieux où se pratique l’élimination de ce qui est préalable à l’être humain, il découvrirait peut-être (notamment chez lui en Italie) pourquoi de plus en plus de médecins refusent de pratiquer des avortements…

  • Saint Clément Ier

    Saint Clément, disciple de saint Pierre, régna comme pape de 90 à 101 ; saint Paul le mentionne (Phil., 4, 3) comme son compagnon. Sa lettre aux Corinthiens est une vénérable relique de ce Père Apostolique. Le bréviaire raconte ceci à son sujet : Son zèle pour les âmes le fit bannir par l’empereur Trajan en Chersonèse (presqu’île de Crimée), où il trouva 2000 chrétiens que ce même empereur y avait exilés. En arrivant parmi eux, saint Clément se mit à les consoler : “Tous criaient d’une seule voix : Priez pour nous, saint Clément, afin que nous soyons dignes des promesses du Christ. Il leur dit : Ce n’est pas à cause de mes mérites que le Seigneur m’a envoyé à vous pour me faire partager votre couronne” (5e répons). Comme ils se plaignaient d’être forcés d’aller chercher de l’eau potable à six milles de distance, il leur donna ce conseil : “Prions tous le Seigneur Jésus-Christ d’ouvrir une source pour ses confesseurs” (Ant. de Magn. aux 1res vêpres). “Pendant que saint Clément priait, l’Agneau de Dieu lui apparut, sous les pieds duquel coulait une source d’eau vive” (4e répons). A ce miracle, “tous les païens des environs embrassèrent la foi” (Ant.). Lorsque Trajan en eut connaissance, il donna l’ordre de jeter Clément à la mer avec une ancre au cou : “Quand il commença à se diriger vers la mer, le peuple s’écria d’une voix forte : Seigneur Jésus-Christ, sauvez-le. Mais Clément disait en pleurant : Père, recevez mon esprit” (Ant. de Ben.). Les chrétiens allèrent sur le rivage prier Dieu de leur rendre le corps. Alors, la mer s’étant retirée à trois milles, ils trouvèrent le corps du saint dans un sarcophage de pierre, placé à l’intérieur d’une petite chapelle de marbre, et à côté de lui l’ancre. “Vous avez, Seigneur, préparé dans la mer une demeure à votre martyr Clément, à la manière d’un temple de marbre fabriqué par la main des anges” (6e répons). Le corps de ce saint fut apporté plus tard, sous Nicolas 1er (858-67), à Rome par les deux apôtres des Slaves, les saints Cyrille et Méthode, et déposé dans l’église qui lui est dédiée (Saint Clément). Cette église est l’une des plus vénérables de Rome parce qu’elle montre encore parfaitement l’ancienne ordonnance liturgique de la primitive Église.

    Dom Pius Parsch (les références sont celles de l’office avant 1960, mais les textes se retrouvent dans l’office de 1960.)

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    La découverte des reliques de saint Clément, ménologe de Basile II, autour de l’an Mil.

  • Ubu woke

    Des individus se sont rendus coupables de « white facing » en badigeonnant de blanc le visage de la statue de Victor Hugo à Besançon.

    La mairie porte plainte. Pourtant c’est elle qui a repeint en noir le visage de Victor Hugo, ce qui sur toute scène de théâtre serait considéré comme un odieux et intolérable « black facing ».

    Evidemment la mairie est verte, couleur privilégiée des délires en tout genre. Mais peut-être que la mairesse verte croit vraiment que Hugo était noir…

    Celui qui était noir était le sculpteur, Ousmane Sow, mort en 2016. Sa veuve parle ainsi de la restauration de la statue : « Le visage original était de couleur chair. On dirait un Victor Hugo noir, ce qui n'a jamais été l'intention d'Ousmane. »

    On le dirait d’autant plus que sa barbe et ses cheveux ont été repeints en blanc, ce qui est moche et ne correspond pas tout à l’harmonie de couleurs originelle (même s’il faisait quand même un peu clodo…).

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  • Coupe du monde

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    Trois supporters ukrainiens auraient été arrêtés après avoir affublé la mascotte d’une moustache à la Hitler en lui faisant dire Sieg Heil…

    Cette jeune femme est une supporter britannique :

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    Cette jeune femme est une supporter iranienne :

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  • Sainte Cécile

    Les messes de Sainte Cécile et de sainte Agnès ont le même alléluia, qui reprend une phrase de l’évangile. La fin explicite que l’époux de la parabole est « le Christ Seigneur ».

    Allelúia, allelúia. Quinque prudéntes vírgines accepérunt óleum in vasis suis cum lampádibus : média autem nocte clamor factus est : Ecce, sponsus venit : exite óbviam Christo Dómino. Allelúia.

    Allelúia, allelúia. Les cinq vierges sages prirent de l’huile dans leurs vases avec leurs lampes ; or au milieu de la nuit un cri se fit entendre : Voici l’époux qui vient ; allez au-devant du Christ Seigneur. Alléluia.

    Par les moines de Solesmes.