« A Kherson, les sympathies pour la Russie compliquent sa réintégration dans l’Ukraine ».
Et pourtant la plupart de ceux qui avaient des sympathies pour la Russie (la grande majorité de la population restée après la prise de la ville) sont partis de l’autre côté du Dniepr avant que l’armée russe abandonne la ville. Le Washington Post le reconnaît d’ailleurs : ayant eu à leur disposition une liste de personnes qui avaient demandé une aide, une retraite, un passeport, un emploi, à l’administration russe, les journalistes se sont rendus aux adresses d’une trentaine d’entre eux : tous les appartements étaient vides.