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Le blog d'Yves Daoudal - Page 107

  • La persécution

    Un audit de la soi-disant université nationale de Donetsk (qui est à Vinnytsia depuis 2014) a mis au jour des détournements de fonds de quelque 300.000 euros sous l’ancien recteur Roman Hryniuk. Lequel avait été choisi par le SBU pour faire l’« examen linguistique » destiné à faire condamner le métropolite Jonathan de Toulchine et Bratslav (à cinq ans de prison). Hryniuk avait découvert que l’évêque avait critiqué le patriarche de Constantinople et avait utilisé des cartes du XVIIIe siècle montrant que Kiev n’avait pas accès à la mer Noire, ce qui « violait l’intégrité territoriale de l’Ukraine ». Sic.

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    Le commissaire aux droits de l’homme du Parlement ukrainien, Dmytro Loubinets, affirme qu’il « n’y a pas de violations des droits des croyants » en Ukraine, et accuse le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, de « mensonge » lorsqu’il affirme que le projet de loi d’interdiction de l’Eglise orthodoxe ukrainienne vise à interdire l’Eglise orthodoxe ukrainienne. Et d’ajouter que les dirigeants ukrainiens ne « méritent aucune critique » en la matière.

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    Le SBU fait savoir qu’il a notifié au métropolite de Lougansk Panteleimon (« in absentia », alors qu’il est bel et bien à Lougansk… mais hors de portée du SBU) sa mise en examen pour avoir « aidé et encouragé l’Etat agresseur », à savoir la Russie. Mais Lougansk est aujourd’hui la capitale d’une République de la Fédération de Russie. On lui reproche précisément d’avoir été présent en septembre 2022 à la cérémonie d’union et d’avoir participé à la table ronde dirigée par les autorités de la ville.

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    Alors que la télévision a montré des images d’une église de la laure supérieure des Grottes de Kiev vide de fidèles lors de la nuit de Noël, Abraham Lotych, interrogé par un journaliste, a répondu : « C’est très simple : il est préférable d'avoir seulement deux ou trois personnes, mais tout à fait adéquates, celles qui n'attendent pas les missiles russes, qui sont pro-ukrainiennes ». Il a ajouté qu’il avait confiance que « la vraie vie monastique renaîtra une fois que ces épreuves seront terminées ». (Abraham Lotych est le seul moine de la Laure des Grottes de Kiev qui ait fait défection. Il a donc été nommé « vicaire intérimaire de la Laure » par l’Eglise du pouvoir : il règne sur la Laure supérieure dont les moines ont été chassés.)

    L’Eglise du pouvoir veut néanmoins montrer qu’elle a des fidèles : elle organise le voyage en car pour assister à la liturgie de la Purification qui sera célébrée par son chef le 2 février à la Laure. Mais c’est la première fois que des orthodoxes ukrainiens célébreront la Purification un 2 février. L’affluence n’est pas garantie. Il sera demandé aux participants non seulement de s’inscrire mais de payer un acompte de 200 hryvnias, car « il y a eu de nombreux cas malheureux où des personnes se sont inscrites et ne sont pas venues, à cause desquelles un bus vide s'est rendu à la Laure ».

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    Oleksandr Tchepoura est le chef de l’association « Contrôle populaire des communautés unies » à Ivano-Frankivsk. C’est lui qui a notamment dirigé la prise de la cathédrale à la tête des pillards faisant usage de gaz lacrymogène, et qui a personnellement enfoncé les portes. Pour cela il avait reçu un certificat de félicitations du chef de l’Eglise du pouvoir. Il s’avère qu’il est aussi un escroc. Il avait servi d’intermédiaire dans une collecte qui avait permis d’acheter cinq véhicules pour l’armée. Lorsqu’on lui a demandé où en était cette affaire il a répondu qu’il ne pouvait pas en parler parce qu’il était au front. Mais il a été vu en ville et on a retrouvé les cinq véhicules dans sa cour.

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    Samedi dernier, le métropolite Théodose de Tcherkassy a consacré une église, dédiée à saint Nicolas, dans le village de Novaya Dmitrovka. Il a dit notamment : « Chaque temple naît deux fois. Sa première naissance est matérielle et progressive, lorsqu'il est construit, et la seconde naissance du temple est spirituelle, lorsqu'il est sanctifié par la grâce de l'Esprit Saint. Un village sans temple est comme un homme sans cœur. Et aujourd'hui même, le cœur spirituel de ce village bat à plein régime. »

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    La cour d’appel du Nord-Ouest a confirmé aujourd’hui le jugement qui ordonne à l’Eglise orthodoxe ukrainienne de « restituer » à l’Etat le monastère de Tchervon (région de Jitomir). La décision a été immédiatement annoncée par le ministère de la Culture, qui « lutte constamment pour la restitution du patrimoine historique ukrainien à l'État », à avoir pour en chasser les moines et les fidèles.

  • Foudre de guerre

    On savait que Zelensky, avant de devenir le représentant en Ukraine du complexe militaro-industriel anglo-saxon, n’avait participé à aucun des mouvements soi-disant populaires ukrainiens conduisant à la « révolution orange » de 2004 et la « révolution de Maïdan » de 2014.

    On savait aussi que le grand stratège de la guerre qui doit détruire la Russie n’a jamais fait son service militaire obligatoire. On apprend maintenant qu’il n’a pas répondu à QUATRE convocations de l’armée, quatre « notifications de mobilisation » : le 15 avril 2014, le 23 juin 2014, le 15 août 2014, le 10 mai 2015 (document ci-dessous du ministère ukrainien de la Défense, daté du 13 avril 2019, une semaine avant son élection…).

    Il est vrai qu’en 2014 Zelensky poursuivait en… Russie sa carrière d’acteur… russe : il venait de tourner le film russe « Love in Vegas », dernier volet d’une trilogie dont les deux premiers étaient intitulés « Love in the big city » (1 et 2). Il y jouait le personnage de « Igor Zelenski ». Auparavant il avait joué le rôle de Napoléon dans un navet russe ridiculisant l’empereur.

    C’est pourquoi il n’avait pas le temps de répondre aux convocations de l’armée, d’autant qu’il n’était pas là. Il s’est rattrapé depuis en envoyant la fine fleur de la jeunesse ukrainienne se faire massacrer pour le compte de la famille Biden et quelques autres.

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  • Profession de foi

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    Le Premier ministre britannique se fait prendre en photo par Zelensky avec un Ukrainien non identifié mais qui occupe forcément un poste important dans la clique ukronazie. Sur ses doigts on voit tatoué :  "Boga Niet": Il n'y a pas de Dieu.

  • Bénédiction

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    Par exemple :

    Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez le royaume des Cieux devant les hommes ; car vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous ne laissez pas entrer ceux qui désirent entrer. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous dévorez les maisons des veuves, en faisant de longues prières ; c’est pourquoi vous recevrez un jugement plus rigoureux. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et, après qu’il l’est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne deux fois pire que vous. Malheur à vous, guides aveugles (…) Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu’au dedans, vous êtes pleins de rapines et d’impureté. (…) Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous êtes semblables à des sépulcres blanchis, qui, au dehors, paraissent beaux aux hommes, mais qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture. (…) Serpents, race de vipères, comment échapperez-vous au jugement de la géhenne ?

    (Matthieu 23)

  • Saint Paul premier ermite

    Apolitykon de saint Paul de Thèbes, par Georges Fanaras, chantre de l'église Saint-Georges d'Asvestochóri (Thessalonique).

    Θείου Πνεύματος, τὴ ἐπινεύσει, πρῶτος ὤκησας, ἐν τὴ ἐρήμω, Ἥλιου τὸν ζηλωτὴν μιμησάμενος καὶ δι' ὀρνέου τραφεῖς ὡς ἰσάγγελος, ὑπ' Ἀντωνίου τῷ κόσμῳ ἐγνώρισαι. Παῦλε ὅσιε, Χριστὸν τὸν Θεὸν ἱκέτευε, δωρήσασθαι ἠμὶν τὸ μέγα ἔλεος.

    Inspiré par le Saint-Esprit, tu as été le premier à faire ta demeure dans le désert, imitant le zèle d’Elie, et nourri par un oiseau comme un égal aux anges ; par Antoine tu as été révélé au monde. Saint Paul, supplie le Christ Dieu de nous donner la grande miséricorde.

  • Deuxième dimanche après l'Epiphanie

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    Duccio, 1311.

    Le troisième Mystère de l’Épiphanie nous montre la consommation des plans de la divine miséricorde sur le monde, en même temps qu’il nous manifeste une troisième fois la gloire de l’Emmanuel. L’Etoile a conduit l’âme à la foi, l’Eau sanctifiée du Jourdain lui a conféré la pureté, le Festin Nuptial l’unit à son Dieu. Nous avons chanté l’Époux sortant radieux au-devant de l’Épouse ; nous l’avons entendu l’appeler des sommets du Liban ; maintenant qu’il l’a éclairée et purifiée, il veut l’enivrer du vin de son amour.

    Un festin est préparé, un festin nuptial ; la Mère de Jésus y assiste ; car, après avoir coopéré au mystère de l’Incarnation du Verbe, il convient qu’elle soit associée à toutes les œuvres de son Fils, à toutes les faveurs qu’il prodigue à ses élus. Mais, au milieu de ce festin, le vin vient à manquer. Jusqu’alors la Gentilité n’avait point connu le doux vin de la Charité ; la Synagogue n’avait produit que des raisins sauvages. Le Christ est la vraie Vigne, comme il le dit lui-même. Lui seul pouvait donner ce vin qui réjouit le cœur de l’homme, et nous présenter à boire de ce calice enivrant qu’avait chanté David.

    Marie dit au Sauveur : « Ils n’ont point de vin. » C’est à la Mère de Dieu de lui représenter les besoins des hommes, dont elle est aussi la mère. Cependant, Jésus lui répond avec une apparente sécheresse : « Femme, qu’importe à moi et à vous ? Mon heure n’est pas encore venue. » C’est que, dans ce grand Mystère, il allait agir, non plus comme Fils de Marie, mais comme Fils de Dieu. Plus tard, à une heure qui doit venir, il apparaîtra aux yeux de cette même Mère, expirant sur la croix, selon cette humanité qu’il avait reçue d’elle. Marie a compris tout d’abord l’intention divine de son Fils, et elle profère ces paroles qu’elle répète sans cesse à tous ses enfants : Faites ce qu’il vous dira.

    Or, il y avait là six grands vases de pierre, et ils étaient vides. Le monde, en effet, était parvenu à son sixième âge, comme l’enseignent saint Augustin et les autres docteurs après lui. Durant ces six âges, la terre attendait son Sauveur, qui devait l’instruire et la sauver. Jésus commande de remplir d’eau ces vases ; mais l’eau ne convient pas pour le festin de l’Epoux. Les figures, les prophéties de l’ancien monde étaient cette eau ; et nul homme, jusqu’à l’ouverture du septième âge, où le Christ, qui est la Vigne, devait se communiquer, n’avait contracté l’alliance avec le Verbe divin.

    Mais lorsque l’Emmanuel est venu, il n’a qu’une parole à dire : « Puisez maintenant. » Le vin de la nouvelle Alliance, ce vin qui avait été réservé pour la fin, remplit seul maintenant les vases. En prenant notre nature humaine, nature faible comme l’eau, il en a ménagé la transformation ; il l’a élevée jusqu’à lui, nous rendant participants de la nature divine ; il nous a rendus capables de contracter l’union avec lui, de former ce seul corps dont il est le Chef, cette Église dont il est l’Époux, et qu’il aimait de toute éternité d’un si ardent amour, qu’il est descendu du ciel pour célébrer ces noces avec elle.

    O sort admirable que le nôtre ! Dieu a daigné, comme dit l’Apôtre, montrer les richesses de sa gloire sur des vases de miséricorde ». Les urnes de Cana, figures de nos âmes, étaient insensibles, et nullement destinées à tant d’honneur. Jésus ordonne à ses ministres d’y verser l’eau ; et déjà, par cette eau, il les purifie ; mais il pense n’avoir rien fait encore tant qu’il ne les a pas remplies jusqu’au haut de ce vin céleste et nouveau, qui ne devait se boire qu’au royaume de son Père. Ainsi la divine charité, qui réside dans le Sacrement d’amour, nous est-elle communiquée ; et pour ne pas déroger à sa gloire, l’Emmanuel, qui veut épouser nos âmes, les élève jusqu’à lui. Préparons-les donc pour cette union ; et, selon le conseil de l’Apôtre, rendons-les semblables à cette Vierge pure qui est destinée à un Époux sans tache.

    Saint Matthieu, Évangéliste de l’humanité du Sauveur, a reçu de l’Esprit-Saint la charge de nous annoncer le mystère de la foi par l’Etoile ; saint Luc, Évangéliste du Sacerdoce, a été choisi pour nous instruire du mystère delà Purification par les Eaux ; il appartenait au Disciple bien-aimé de nous révéler le mystère des Noces divines. C’est pourquoi, suggérant à la sainte Église l’intention de ce troisième mystère, il se sert de cette expression : Ce fut le premier des miracles de Jésus, et il y MANIFESTA sa gloire. A Bethléem, l’Or et l’Encens des Mages prophétisèrent la divinité et la royauté cachées de l’Enfant ; sur le Jourdain, la descente de l’Esprit-Saint, la voix du Père, proclamèrent Fils de Dieu l’artisan de Nazareth ; à Cana, Jésus agit lui-même et il agit en Dieu : « car, dit saint Augustin, Celui qui transforma l’eau en vin dans les vases ne pouvait être que Celui-là même qui, chaque année, opère un prodige semblable dans la vigne. » Aussi, de ce moment, comme le remarque saint Jean, « ses Disciples crurent en lui », et le collège apostolique commença à se former.

    Dom Guéranger

  • Les sanctions, ça marche

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  • Ukrodélire

    Zelensky en Estonie : « Nous avons détruit 12 avions russes et 26 hélicoptères en une seule journée grâce aux fonds occidentaux. »

    Mais aucun organe ukrainien n’a fait état d’un tel exploit. Alors des journalistes ont demandé à Youri Ignat, le porte-parole de l'armée de l'air des forces armées ukrainiennes, ce qu’il en était. Il a répondu, embarrassé, qu’il ne savait pas « avec certitude » de quelle destruction d’avions et d’hélicoptères avait parlé le Président. « Peut-être s'agit-il de la destruction d'avions sur les aérodromes, et non abattus en vol », a-t-il hasardé…

    Voici la tête de Zelensky après son discours à Tallinn :

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  • Gonzalo Lira

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    Ceux qui suivent l’actualité en Ukraine ont entendu parler de Gonzalo Lira, un journaliste américain qui vivait à Kharkov, qui a été arrêté par le SBU et incarcéré parce qu’il critiquait le gouvernement ukrainien. Torturé en prison, laissé sans soins après une grave infection pulmonaire, Gonzalo Lira est mort. Il avait 55 ans.

    « Je ne peux pas accepter la façon dont mon fils est décédé. Il a subi des tortures, a été mis au secret pendant 8 mois et 11 jours, et l’ambassade des États-Unis n’a rien fait pour l’aider. La responsabilité de cette tragédie incombe au dictateur Zelensky avec l’aval du président américain sénile Joe Biden », a écrit son père.

    « Gonzalo Lira était un citoyen américain, mais l’administration Biden a clairement soutenu son emprisonnement et sa torture », écrit Tucker Carlson, qui avait parlé de l’affaire début décembre, donnant la parole au père qui avait annoncé la mort inéluctable de son fils si on le laissait dans les geôles de Zelensky. D’autant que Victoria Nuland, aujourd’hui vice-ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis, poursuivait le journaliste de sa haine personnelle.

    Lors d’un point de presse, le porte-parole du Département d’Etat, interrogé sur l’affaire, avait répondu : « Les Etats-Unis soutiennent la liberté d’expression partout dans le monde. » Et comme on lui demandait s’il allait donc faire quelque chose pour obtenir la libération du journaliste, il était resté muet.

    Parmi les rares réaction à cette ignominie, celle de Donald Trump Junior :

    « Ainsi nous permettons maintenant à nos assistés sociaux étrangers comme Zelensky d'assassiner nos citoyens et nos journalistes ??? J'attendrais l'indignation de nos médias, mais je sais qu'elle ne viendra pas. »

    Elon Musk a demandé des informations à Biden et à Zelensky. Il n’a pas reçu de réponse.

    En décembre, le père de Gonzalo Lira avait déjà dénoncé, chez Tucker Carlson, les conditions de détentions de son fils, et surtout le fait que le gouvernement américain ne faisait rien. Elon Musk s’était exclamé : « Un citoyen américain est en prison en Ukraine après que nous ayons envoyé plus de 100 milliards de dollars ? Président Zelensky, s'il vous plaît, informez le peuple américain à ce sujet. Quel est le statut de ce journaliste américain, Joe Biden ? » Sans réponse…

  • Tarés pervers

    Aux Etats-Unis, un article dénonce « une tendance dangereuse à la transphobie et aux préjugés à l'égard des enfants transgenres et de genre divers » (sic), particulièrement les lois qui dans certains Etats interdisent les interventions médicamenteuses et chirurgicales de « changement de genre » chez les enfants, mutilations chimiques et physiques qu'ils osent appeler « soins d’affirmation de genre », SAG. Les auteurs entendent « démontrer comment le refus des SAG est préjudiciable aux enfants et équivaut à une négligence médicale et à un abus psychologique sanctionnés par l'État ».

    C’est ce qu’on entend un peu partout de la part de divers pervers et tarés. Mais cet article est paru dans le bulletin de l’Académie américaine de pédiatrie, la plus grande association pédiatrique américaine…

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    En Ecosse, qui veut être le pays le plus taré de la terre, on est passé à la vitesse supérieure : un projet de loi entend punir de sept ans de prison les parents qui s’opposeraient au « changement de genre » de leur enfant, c’est-à-dire qui simplement refuseraient de l’appeler par le nouveau prénom qu’il se choisit et les pronoms dont il se réclame pour s’identifier…

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    En Allemagne, l’école maternelle Saint-Roch de Kerpen, près de Cologne, avait installé une salle de masturbation où les enfants pourraient « se retirer dans un espace protégé en fonction de leurs besoins, afin de se découvrir et de se satisfaire physiquement (ce qui n'est pas autorisé dans les espaces publics et en présence d'autres personnes) ». Il était précisé : « Lorsqu'un jeune enfant joue avec ses parties génitales et les touche avec un plaisir évident, il ne sait rien des tabous sociaux, de ce qui ne se fait pas, et encore moins que ce qu'il fait est considéré comme indécent ou sale. Il explore et découvre son corps et s'attarde volontiers là où il se sent particulièrement bien. Si l'on freine son enfant dès ce stade et qu'on lui fait comprendre qu'il ne doit pas se toucher "là en bas", on risque de causer de gros dégâts, car l'enfant apprend : "Il y a quelque chose dans mon corps qui n'est pas correct, pas bon et qui est en quelque sorte indécent ou dégoûtant". »

    Il s’agit d’enfants entre 3 et 7 ans.

    En raison des réactions, ce texte a été retiré du site internet, et l’école a fait savoir qu’on l’avait « mal interprété ». Sic.