Aux Etats-Unis, un article dénonce « une tendance dangereuse à la transphobie et aux préjugés à l'égard des enfants transgenres et de genre divers » (sic), particulièrement les lois qui dans certains Etats interdisent les interventions médicamenteuses et chirurgicales de « changement de genre » chez les enfants, mutilations chimiques et physiques qu'ils osent appeler « soins d’affirmation de genre », SAG. Les auteurs entendent « démontrer comment le refus des SAG est préjudiciable aux enfants et équivaut à une négligence médicale et à un abus psychologique sanctionnés par l'État ».
C’est ce qu’on entend un peu partout de la part de divers pervers et tarés. Mais cet article est paru dans le bulletin de l’Académie américaine de pédiatrie, la plus grande association pédiatrique américaine…
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En Ecosse, qui veut être le pays le plus taré de la terre, on est passé à la vitesse supérieure : un projet de loi entend punir de sept ans de prison les parents qui s’opposeraient au « changement de genre » de leur enfant, c’est-à-dire qui simplement refuseraient de l’appeler par le nouveau prénom qu’il se choisit et les pronoms dont il se réclame pour s’identifier…
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En Allemagne, l’école maternelle Saint-Roch de Kerpen, près de Cologne, avait installé une salle de masturbation où les enfants pourraient « se retirer dans un espace protégé en fonction de leurs besoins, afin de se découvrir et de se satisfaire physiquement (ce qui n'est pas autorisé dans les espaces publics et en présence d'autres personnes) ». Il était précisé : « Lorsqu'un jeune enfant joue avec ses parties génitales et les touche avec un plaisir évident, il ne sait rien des tabous sociaux, de ce qui ne se fait pas, et encore moins que ce qu'il fait est considéré comme indécent ou sale. Il explore et découvre son corps et s'attarde volontiers là où il se sent particulièrement bien. Si l'on freine son enfant dès ce stade et qu'on lui fait comprendre qu'il ne doit pas se toucher "là en bas", on risque de causer de gros dégâts, car l'enfant apprend : "Il y a quelque chose dans mon corps qui n'est pas correct, pas bon et qui est en quelque sorte indécent ou dégoûtant". »
Il s’agit d’enfants entre 3 et 7 ans.
En raison des réactions, ce texte a été retiré du site internet, et l’école a fait savoir qu’on l’avait « mal interprété ». Sic.
Commentaires
La pédomanie est la prochaine conquête du lgbtisme.
Sources ? Notamment pour l’affaire rhénane
Ach! Oskar gross Einkredul!
https://www.bild.de/regional/nordrhein-westfalen/koeln-aktuell/kerpen-kita-bot-kindern-masturbations-raum-an-86715564.bild.html
Petite fôte frapp "Kerpen" et nicht "Kempen"
Fous poufez ecrire direktriz
Kath. Kindergarten St. Rochus
Leiterin: Frau Effertz
Heerstr. 154
D-50169 Kerpen
Telefon : 02237 - 8700
E-Mail : Kita@st-rochus.de
:
Ach! Oskar, gross erreur traduktion, pas "salle de masturbation" mais "salle de musculation", il faut renforcer muskles kleine soldaten dès la maternelle
Le plan OMS pour 2030 sexualisation de 0 à 16 ans a été mis en place un peu trop en avance à Kerpen. Pas très futés. Mais "Libération" a affirmé que c'était fake-kaka. OMS très bien, très bon, très sûr. Ouf, j'ai eu peur.
Merci pour la correction Kerpen. C'est le genre de faute qui m'étonnera toujours, car je suis allé voir sur Google où était Kerpen. J'ai tapé Kerpen sur Google après avoir tapé Kempen sur mon fichier...
Elles ne sont qu'à 70 km l'une de l'autre et dans le même district de Cologne et il y a fort à parier que "l'éducation sexuelle" au profit des pédophiles, pédérastes, pédomaniaques dans les écoles maternelles (surtout "catholiques) sera la même.
C'est pour cela qu'en France l'obligation scolaire commence à 3 ans. Pourquoi pas à la naissance?
Saine réaction
https://elternaktion.com/2021/02/23/doktorspiele-haben-in-kitas-nichts-zu-suchen-interview-mit-psychiater-dr-c-spaemann/
A titre d'info :
Assemblée Nationale. Question nº 6107, du 07 mars 2023. - Nombre de changement de sexe à l'état civil depuis 1993
JOAN 5 Décembre 2023, p. 10955
Ministère interrogé : Justice
Ministère attributaire : Justice
rubrique : état civil
QUESTION
Mme Marine Hamelet interroge M. le garde des sceaux, ministre de la justice, sur le nombre annuel de changement d'état civil, en particulier depuis la promulgation de la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle, adoptée le 18 novembre 2016. Depuis cette loi, il est possible pour les Français dits « transgenres » de changer leur sexe à l'état civil sans avoir recours à la chirurgie stérilisante ou à une expertise médicale, ce qui était auparavant une exigence légale. Cependant, les données précises sur le nombre de changements d'état civil effectués depuis l'adoption de cette loi ne sont pas facilement accessibles. Par conséquent et compte tenu du contexte sociétal, Mme la députée demande à M. le ministre que soient rendues publiques les statistiques précises du nombre de personnes faisant chaque année des demandes de changement de sexe à l'état civil ainsi que le nombre annuel de celles qui ont été acceptés et qui ont abouties. En cas de refus opposé à ces demandes, elle lui demande également de clarifier les motifs y ayant conduits. Elle lui demande de différencier dans sa réponse chiffrée les demandes se faisant avant une opération médicale chirurgicale ou médicamenteuse, de celles se faisant après une telle opération. Enfin, elle lui demande d'établir l'évolution du nombre de demandes par an, par rapport à l'année précédente, depuis 1993, année ayant suivi la mise en place de ce dispositif accordant le changement de sexe (Cass. ass. plén., 11 déc. 1992, nº 91-11.900), après la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l'homme ; cela permettra de disposer de statistiques solides sur 30 ans dès 2023.
RÉPONSE
La loi nº 2016-1547 du 28 novembre 2016 de modernisation de la justice du XXIe siècle (dite « loi J21 ») a introduit dans le code civil un nouvel article 61-5, qui a permis de dissocier le changement de sexe à l'état civil du changement de sexe d'un point de vue médical. Outre que les éléments de faits qui permettent de justifier le changement de sexe à l'état civil ne font plus référence à aucun élément médical, une disposition spéciale prévoit que « le fait de ne pas subir des traitements médicaux, une opération chirurgicale ou une stérilisation ne peut motiver le refus de faire droit à la demande » (article 61-6 alinéa 3 du code civil). Cette évolution législative a été accompagnée de la création d'un code statistique spécifique, à la fin de l'année 2017, afin d'enregistrer les demandes de modification de la mention du sexe dans les actes d'état civil. Conformément à l'alinéa 2 de l'article 726 du code de procédure civile, ce code (dénommé code NAC – nature des affaires civiles) permet d'identifier la nature de l'affaire dont la juridiction est saisie, en l'espèce une demande de modification de la mention du sexe dans les actes de l'état civil (code NAC 11E), ainsi que la nature de la décision rendue. Il ne permet pas d'identifier, de manière plus précise, le contenu de la demande ou les motifs qui ont conduit à la décision prise par le tribunal. La Chancellerie ne dispose ainsi de statistiques qu'à compter de l'année 2018 et il ne lui est pas possible, au sein de ces données, de distinguer suivant la situation du demandeur ou de connaître les motifs des décisions de refus. Il ressort des statistiques dont dispose le ministère de la justice que : - s'agissant des demandes de modification de la mention du sexe dans les actes d'état civil, les juridictions ont été saisies en 2018 de 391 demandes contre 911 demandes en 2019, 1175 en 2020, 1646 en 2021 et 1811 demandes en 2022 ; - s'agissant des décisions statuant sur une demande de modification de la mention du sexe dans les actes d'état civil, sur les 156 décisions rendues en 2018, 3 étaient des décisions de rejet ; en 2019, sur 753 décisions rendues, 6 étaient des décisions de rejet ; en 2020, sur 928 décisions, 9 étaient des décisions de rejet ; en 2021 sur 1459 décisions, 15 étaient des décisions de rejet et, en 2022, sur 1614 décisions, 15 étaient des décisions de rejet. Le taux d'acceptation des demandes est ainsi de 98,1% en 2018 et se maintient autour de 99% pour les années suivantes.
Voici des textes OMS pour l'Europe, celui de 2010 pondu à Cologne (ils sont en avance sur l'agenda 2030). Avertissement: masturbation à tous les (ét)âges:
Standards pour l'éducation sexuelle en Europe
Un cadre de référence pour les décideurs
politiques, les autorités compétentes en matière d'éducation et de santé et les spécialistes
Version originale
Centre fédéral allemand pour l'éducation à la santé BZgA Cologne 2010
Version française
SANTE SEXUELLE Suisse Lausanne 2013
https://www.sante-sexuelle.ch/assets/docs/Standards-OMS_fr.pdf
Mettez les preuves sous le nez des pédophiles de "Libération", ils continueront à écrire que c'est du "fake".