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tchèques - Page 6

  • Klaus préside

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    Le président tchèque Vaclav Klaus a présidé aujourd'hui le sommet UE-Japon.

    Le sujet : la préparation du nouveau document international sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre destiné à remplacer le protocole de Kyoto...

    Vaclav Klaus, José Manuel Barroso et le Premier ministre japonais Taro Aso ont conclu que l'UE et le Japon coopéreraient sur ce document.

    Vaclav Klaus a précisé que la discussion a été centrée sur les technologies d'économie d'énergie.

    Il en a profité pour rappeler qu'il ne croyait pas au réchauffement climatique global...

  • Scénario « catastrophe »

    Le journal suédois Svenska Dagbladet écrit que le résultat du vote du Sénat tchèque sur le traité de Lisbonne est « extrêmement incertain », et que si une majorité des deux tiers n'est pas trouvée, le traité sera irrémédiablement mort.

    Les raisons sont que le Sénat va voter sur fond de chaos politique et que l'ODS est divisé. Quand les députés ont voté la ratification du traité, souligne le journal, la moitié des députés ODS ont voté contre, alors que le Premier ministre Topolanek pouvait encore faire pression sur eux, et qu'il a aujourd'hui perdu son influence.

    Si le traité est rejeté, le processus de ratification prendra fin immédiatement, insiste Svenska Dagbladet. Les répercussions politiques d'un tel revers seraient immenses, conclut le journal.

    Oh oui, oh oui, oh oui. On peut toujours rêver...

  • Topolanek minable

    Alors que le Sénat tchèque doit voter mercredi sur le traité de Lisbonne, le Premier ministre démissionnaire Mirek Topolanek a déclaré que son pays se retrouverait « à la périphérie de l'Union européenne » s'il ne ratifiait pas le traité. Il a osé ajouter que sans ratification, Prague risquait de se retrouver à nouveau dans la sphère d'influence de Moscou...

  • Dédommagement des Tchèques emprisonnés sous le communisme

    Le gouvernement tchèque a adopté le principe du dédommagement des personnes qui ont été injustement incarcérées sous le régime communiste. Environ 700 millions de couronnes (un peu plus de 26 millions d'euros) seront versés à ces personnes au titre de « congés payés », comme si elles avaient été employées pendant leur emprisonnement. Le ministre de l'Intérieur a déclaré qu'il s'agissait de reconnaître le courage des hommes et des femmes qui ont été arbitrairement détenus parce qu'elles militaient pour la liberté et la démocratie. Il a ajouté que la loi devait être votée aussi tôt que possible parce que le nombre des bénéficiaires était en diminution constante...

    Cette loi s'appuie sur celle qui a déclaré le régime communiste illégitime.

    Une loi similaire avait déjà permis de dédommager les personnes qui avaient été internées dans des camps de travail forcé.

  • Rapprochement tchéco-slovaque…

    La République tchèque et la Slovaquie se sont entendues pour avoir une représentation commune dans les institutions financières internationales. Seize ans après la partition de la Tchécoslovaquie, les deux Etats voisins auront un seul et même représentant au Fonds monétaire international et un autre à la Banque mondiale. Les intérêts des deux pays seront défendus par un représentant slovaque au FMI et par un représentant tchèque à la Banque mondiale. Les fonctions tourneront tous les quatre ans. L'accord entre Prague et Bratislava a été signé par le ministre tchèque des Finances, Miroslav Kalousek, et le gouverneur de la Banque nationale tchèque, Zdenek TÛma, avec leurs partenaires slovaques, samedi, à Washington. Miroslav Kalousek a justifié cet accord par la volonté des deux parties de réaliser des économies.

    (Radio Prague)

  • Vaclav Klaus

    Le président tchèque Vaclav Klaus présidera le sommet UE-Japon à Prague le 4 mai, et le Premier ministre désigné Jan Fischer sera invté au déjeuner de travail, indique le bureau présidentiel.

    D'autre part, Vaclav Klaus a annoncé qu'il nommera le nouveau gouvernement d'experts dirigé par Jan Fischer le 8 mai.

  • Des nouvelles de Vaclav Klaus

    Vaclav Klaus déclare au quotidien tchèque Mlada fronta Dnes qu'il « accordera » son rôle, au sein de la présidence tchèque du Conseil européen, en fonction de la situation : « Ça dépend du moment où le gouvernement de Jan Fischer commencera à fonctionner... »

    Mais il souligne qu'il présidera les trois sommets prévus de l'UE avec la Russie, avec la Chine, et avec le Japon.

    Il ajoute qu'il y a « beaucoup d'autres événements qui sont moins mis en lumière : il y aura une réunion avec les ministres des Affaires étrangères des pays d'Amérique latine, au cours de laquelle je ferai un discours, et au je convierai à un dîner. Ces sujets sont moins remarqués par les médias. »

    Son porte-parole Radim Ochvat a confirmé que le président pourrait s'impliquer dans d'autres événements.

    Le ministre de l'Environnement du gouvernement sortant (et président des Verts), Martin Bursik, craint que Vaclav Klaus n'interfère dans les négociations européennes concernant le changement climatique. La situation ne peut être sauvée que si les discussions ne sont pas menées par Klaus mais par le nouveau Premier ministre, dit-il. « L'objectif stratégique est de faire en sorte que le président reste aussi loin que possible de ce sujet. » S'il doit y avoir un conseil des ministres, ce sera seulement à la mi-mai, quand le nouveau gouvernement sera en place...

    Mais c'est déjà Vaclav Klaus qui a présidé le sommet UE-Etats-Unis, sur le climat, il est vrai totalement occulté par le discours d'Obama.

  • Pour être technique, c’est technique…

    On s'acheminait vers un gouvernement « technique » en République tchèque pour attendre les prochaines élections.

    Les dirigeants des partis politiques ont trouvé hier un consensus sur le nouveau gouvernement : le Premier ministre sera Jan Fischer : c'est le directeur de l'Office national des statistiques...

  • Victime collatérale

    La crise politique en République tchèque met en péril la loi antidiscriminations, qui aurait dû être votée avant l'adhésion du pays à l'Union européenne. En mai 2008, Vaclav Klaus avait opposé son veto et le texte est retourné au Parlement. Le 4 février dernier, les députés ont reporté le vote du texte pour la quatrième fois. Il devient probable qu'ils ne le voteront pas avant les élections anticipées qui auront lieu en octobre. Dès lors le texte sera caduc, a expliqué hier le médiateur de la République Otakar Motejl à une table ronde organisée par Le Lobby féminin tchèque (oui, c'est son nom) : la Constitution ne permet pas d'achever les processus législatifs entamés par le parlement précédent. La préparation du nouveau texte prendra alors 18 mois au minimum. Il a rappelé que la République tchèque risque des sanctions et des plaintes de la part de la Commission européenne, cette loi étant censée faire partie de l'acquis législatif des Etats lors de l'adhésion à l'UE.

  • Vaclav Klaus seul à bord

    La démission du gouvernement tchèque a pour conséquence que Vaclav Klaus devient le seul représentant officiel de son pays. Et donc le président en exercice du Conseil européen...

    Ainsi, c'est lui qui présidera le sommet UE-Russie qui aura lieu en mai prochain à Chabarovsk. Information confirmée par le ministre des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg à l'issue de la première journée de la réunion informelle à Hluboká.