Alors que le Sénat tchèque doit voter mercredi sur le traité de Lisbonne, le Premier ministre démissionnaire Mirek Topolanek a déclaré que son pays se retrouverait « à la périphérie de l'Union européenne » s'il ne ratifiait pas le traité. Il a osé ajouter que sans ratification, Prague risquait de se retrouver à nouveau dans la sphère d'influence de Moscou...