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Culture de mort - Page 197

  • L'euthanasie à l'Assemblée nationale

    Une proposition de loi sur l'euthanasie, quoique rejetée en commission, a réussi à venir en discussion à l'Assemblée nationale grâce aux « niches parlementaires ».

    On a un aperçu du niveau d'obscurcissement de la conscience avec cette intervention telle que la relate l'AFP :

    Il faut "aider à mourir comme en d'autres circonstances on peut aider à naître", a indiqué la socialiste Marie-Odile Bouillé, sage-femme de profession. Elle s'est dit "frappée que les arguments avancés contre l'aide à mourir ressemblent à ceux avancés", il y a plus de 30 ans, "contre le droit à l'avortement".

    Le débat a tourné court quand le gouvernement et le groupe UMP ont décidé de reporter le vote du texte : les députés socialistes ont alors quitté l'hémicycle.

  • Vol d'une « œuvre d'art »

    C'était une croix en bois, de 2 mètres de haut et 2,50 mètres de large, sur laquelle reposait un linceul rose fixé par des barbelés ainsi qu'un écriteau, comme un titulus au centre de la croix. Sur l'écriteau était inscrite une citation du dramaturge Bernard-Marie Koltès, mort du sida en 1989 : "Tu serais content ici, les Brésiliennes sont sacrément entreprenantes, quel cauchemar ! Heureusement qu'elles ont des frères ! Que Dieu me pardonne !"

    Cette « installation » avait été demandée à l'« artiste » Mathieu Cailotto, étudiant aux Beaux-arts de Metz, par le lobby Couleurs gaies, qui l'avait exposée devant ses locaux, en plein centre de Metz. Et voilà qu'elle a subitement disparu.
    « Elle est restée plus d'un mois visible. On estime que l'objectif de l'œuvre a été atteint », dit le président de Couleurs gaies.

    L'objectif, c'est-à-dire la provocation anti-chrétienne à gros sabots.

    L'« artiste » avait proposé son projet aux organisateurs de l'hommage à Koltès. Cela devait être exposé sur le parvis de l'église Sainte-Thérèse... Mais les organisateurs n'avaient retenu que la fin de la citation : « Que Dieu me pardonne », que Mathieu Cailotto avait réalisée en barbelés roses (sans croix)...

  • L’amoralité du Comité Consultatif national « d'éthique »

    Un bon communiqué du cardinal archevêque de Paris Mgr Vingt-Trois :

    Le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) vient de rendre un avis (n°107) sur les questions éthiques liées au diagnostic anténatal. Cet avis ouvre la possibilité du dépistage de la trisomie 21 lors du diagnostic pré-implantatoire (DPI).

    Le DPI constitue une transgression éthique grave puisqu'il vise à éliminer des embryons non-conformes. Cette transgression a été acceptée par le législateur, en l'encadrant strictement pour la seule détection de maladies génétiques d'une « particulière gravité », reconnues incurables au moment du diagnostic. Le fait d'élargir cette recherche à la trisomie 21 constitue un pas supplémentaire vers une utilisation eugénique du DPI. Rien n'empêchera de l'étendre demain à la recherche d'autres affections, voire à la satisfaction de désirs personnels.

    C'est un signal extrêmement négatif adressé aux personnes atteintes de la trisomie 21 et à leurs familles. Sans cacher les difficultés rencontrées par les personnes trisomiques, il faut rappeler qu'il ne s'agit pas d'une anomalie mortelle. Ne sommes-nous pas devant un refus insidieux de nos sociétés modernes de l'accueil des personnes handicapées ?

    A l'approche de la révision des lois de bioéthique, l'avis du CCNE ne va pas sans inquiéter sur les risques de dérives eugéniques, risques soulignés à la fois par le rapport du Conseil d'Etat et par celui des Etats généraux de la bioéthique.

     

    Addendum

    Dans un communiqué, la Fondation Jérôme Lejeune dénonce, l'année même du cinquantenaire de la découverte de la trisomie 21, "une étape supplémentaire qui confirme la volonté d'éradiquer le plus tôt possible tout être humain atteint de trisomie 21 et renforcera l'eugénisme". Elle "interpelle solennellement la représentation nationale : 13 ans après l'installation d'un dispositif de dépistage systématique des enfants trisomiques, et le constat qu'il a entraîné un eugénisme radical, les citoyens ne pourront se contenter de bons sentiments sur la nécessité d'accueillir et d'insérer les personnes handicapées dans notre société. Il sera demandé aux représentants de la nation cohérence et courage et à l'Etat de prendre des mesures fortes et concrètes, sauf à entériner le choix collectif de l'éradication des enfants trisomiques."

  • Pression socialiste pour le « mariage » homosexuel

    Une dépêche de l'AFP:

    Hélène Mandroux, maire PS de Montpellier, a lancé samedi un appel des maires "pour l'ouverture du mariage aux couples du même sexe", aux côtés de Patrick Bloche, député-maire PS du 11e arrondissement de Paris, co-auteur et rapporteur du Pacs qui fête ses dix ans d'existence.

    "Il est temps de franchir un nouveau palier", a déclaré l'élue devant environ 800 personnes depuis la place du marché aux fleurs, haut lieu de la communauté gay montpelliéraine, située face à la préfecture de l'Hérault.

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  • Le « mariage » homosexuel en Argentine

    Gabriela Seijas, juge au tribunal du contentieux administratif de Buenos Aires, a ordonné hier aux officiers du registre d'état-civil de la capitale argentine de célébrer le "mariage" de deux homosexuels séropositifs, Alejandro Freyre, 39 ans, et José Maria Di Bello, 41 ans.

    Elle a considéré que "la loi doit traiter tout le monde avec le même respect selon leurs singularités", et a déclaré inconstitutionnels deux articles du code civil dont l'un mentionne le consentement nécessaire entre "un homme" et "une femme".

    Le jugement est susceptible d'appel, mais le maire de Buenos Aires, Mauricio Macri (de "droite"...), a déclaré qu'il ne ferait pas appel. "Le monde va dans cette direction", a-t-il dit.

  • L’éducation selon Ségolène, et selon le ministre

    Ségolène Royal a annoncé hier qu'elle allait envoyer dans les lycées de sa région des "chèques-contraception" qui seront distribués par les infirmières scolaires. Chaque carnet, gratuit, offre un ticket qui permet "d'aller faire une consultation médicale gratuite", un deuxième "pour accéder à l'achat de contraceptifs", un autre "pour faire des analyses médicales" et un dernier "pour faire une visite de contrôle".

    Elle va le faire sans avoir l'aval du ministère de l'Education. "Je vais le faire quand même", a-t-elle assuré, "malgré le blocage du ministère de l'Education nationale", qu'elle ne "comprend pas".

    Peu après, le ministre Luc Chatel a déclaré que "l'Education nationale ne peut en aucun cas se subtituer au planning familial", "le seul qui est autorisé à prescrire à des mineurs de la contraception sans l'avis de leurs parents".

  • Salon de la procréation médicalement assistée...

    Le week-end dernier s'est tenu à Londres le premier salon de la procréation médicalement assistée (PMA). Quatre vingt exposants et une quarantaine d'experts ont répondu aux questions des 3.000 visiteurs.

    En gage de souvenir, les participants pouvaient repartir avec des kits d'ovulation ou des tests de fertilité. Notons que ce marché est en pleine expansion au Royaume-Uni comme dans beaucoup d'autres pays.

    (La Tribune de Genève, via Gènéthique)

  • Festival de novlangue

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    « Académie de Paris - Les lycéens du Conseil de la Vie Lycéenne organisent un concours lycéen contre les discriminations.

    « En réalisant une affiche, une photo ou un clip vidéo illustrant la lutte contre toute représentation négative de l'autre, les élèves des lycées parisiens favoriseront une vision positive du « vivre ensemble » et de la tolérance.

    « La lutte contre les discriminations et les représentations négatives est une des priorités de notre académie. En outre, apprendre à vivre ensemble, à se respecter mutuellement et à s'enrichir des différences est également l'une des missions assignées à notre école. »

    On remarquera sur l'affiche l'égalité entre les couples normaux et les paires homosexuelles. Egalité qui implique le "mariage" homosexuel, lequel est pourtant toujours illégal.

  • La Cour européenne des droits de l’homo

    Le tribunal administratif de Besançon a annulé les décisions du conseil général du Jura qui avait refusé à deux reprises l'adoption d'un enfant par Emmanuelle B. et Laurence R., une paire de lesbiennes. Le conseil général est désormais tenu de leur octroyer un agrément d'adoption.

    Emmanuelle B. s'était tournée vers la Cour européenne des droits de l'Homme qui avait condamné la France pour discrimination sexuelle en octobre 2008.

    En bref, l'adoption par des homosexuels est illégale en France, mais elle est légale quand même parce que la loi est illégale au regard de la Convention européenne des droits de l'homme.

    Une semaine avant l'audience du tribunal administratif, la Halde avait apporté son soutien aux deux femmes.

    Telle est la dictature supranationale de l'antidiscrimination. Elle va être renforcée à partir du 1er décembre par l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne et de sa charte des « droits » fondamentaux.

  • SOS Tout-Petits

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    LISTE DES ROSAIRES  de SOS TOUT PETITS

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