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Culture de mort - Page 198

  • Obsédés

    Les lobbies homosexuels s'étant plaints auprès de Valérie Pécresse que certaines affiches de la campagne contre l'homophobie avaient été déchirées, le ministre de l'Enseignement supérieur a décidé d'écrire aux présidents des universités et écoles du supérieur pour souligner le caractère officiel de cette campagne, dont la deuxième phase vient de débuter.

    En juin, deux premières affiches avaient été diffusées à 40.000 exemplaires, dans les lieux universitaires et aux associations. Cette fois, il s'agit de quatre affiches, diffusées dans les établissements universitaires, les commerces de proximité des grandes villes et remises aux associations, ainsi que d'une campagne sur internet jusqu'au 13 novembre.

  • « Etudiants Pro-Vie »

    A lire sur le site de L'Univers, une interview de Benjamin Izarn, qui a fondé la première association française pro-vie spécifiquement étudiante, « Etudiants Pro-Vie » (EPV), sur le modèle des "Students for Life".

    Extrait :

    Dr Doublier-Villette :
    Trois mois après le lancement qui eut lieu juste avant les vacances d'été, avez-vous déjà quelques réactions ?

    Benjamin Izarn :
    Tout d'abord, un immense sentiment de joie: nous n'avions pas imaginé que tant et tant de jeunes pouvaient s'engager pour la Vie! En l'espace de trois mois nous avons créé des équipes à Paris, Bordeaux, Toulouse, Nanterre, Toulon, Nîmes, Lille, Ars... Des jeunes osent enfin lever le tabou sur une politique du tout avortement, osent dénoncer une culture de mort, osent réclamer des alternatives à l'IVG...

  • La « pilule du lendemain » suspendue au Pérou

    L'archevêque de Lima, au Pérou, le cardinal Juan Luis Cipriani, salue la décision prise par le tribunal constitutionnel péruvien de suspendre la « pilule du lendemain ».  

    « Je me réjouis de la décision du tribunal constitutionnel, qui est extrêmement honnête et parle clairement des aspects qui ont motivé sa décision. Cette sentence révèle une recherche de vérité par des moyens scientifiques et légaux. L'Etat est en devoir de veiller sur la conception de l'être humain », a déclaré le cardinal Cipriani. « Il faut faire en sorte que le pays aille de l'avant. Consacrons-nous à la recherche du bien commun. Nous ne pouvons pas soutenir une méthode abortive ».

    « Que soit béni cet Etat qui, avec sa Constitution, défend la vie de l'enfant dès ses premiers instants », a-t-il ajouté.

  • Hommage au Professeur Lejeune en Argentine

    Le 5e Congrès de la fédération des associations de médecins catholiques latino-américains, s'est déroulé à Buenos Aires du 16 au 18 octobre.

    Lors de la séance inaugurale, le président du Consortium des Médecins catholiques de Buenos Aires, le docteur Alejandro Nolazco, a rendu hommage au professeur Jérôme Lejeune, qu'il a défini de « sage, savant et saint ». Il a invité à prier Dieu pour que « son procès de béatification (ouvert il y a deux ans) aboutisse et qu'ainsi, son exemple pour la défense de la vie humaine naissante cesse d'être considéré comme privé ». Il a souhaité qu'il « soit possible de le suivre et de le proposer de manière publique à tous nos collègues » grâce à « cette reconnaissance de la part des autorités de l'Eglise ».

  • L’Espagne catholique contre l’avortement

    Plus d'un million d'Espagnols ont manifesté samedi à Madrid contre le projet de libéralisation de l'avortement du gouvernement socialiste aux cris de "l'avortement non! la vie oui"

    La manifestation a été convoquée par le Forum de la famille, qui avait fait descendre des centaines de milliers de manifestants dans la rue en 2005 pour protester contre la loi autorisant le mariage homosexuel. "Elle ne vise pas qu'à réclamer le retrait de la nouvelle loi, le message de fond est que le débat ne sera pas clos tant qu'il y aura un seul avortement en Espagne", a déclaré son président, Benigro Blanco, dans un entretien au quotidien ABC.

    Selon un sondage publié le 5 octobre par La Vanguardia, 46 % des Espagnols désapprouvent la nouvelle législation, contre 44 % qui y sont favorables. Un an plus tôt, les "pour" étaient près de 60 %.

    Il faut lire l'article du Figaro intitulé « La Navarre catholique, enclave antiavortement en Espagne », qui est à la fois un pamphlet contre les manifestants de la vie et un manifeste pour le « droit » à l'avortement. C'est un exemple parfait de ce qu'est devenu Le Figaro, le « journal personnel de Nicolas Sarkozy », comme dit Jean-Marie Le Pen.

  • L’université Notre-Dame : de pire en pire

    L'université Notre Dame (Indiana) a financé le voyage des étudiants de la Progressive Students Alliance à Washington, pour qu'ils participent le 11 octobre à la « Marche nationale pour l'égalité », parade homosexuelle de promotion du « droit au mariage » entre paires du même sexe.

    (Americatho)

  • SOS Mamans

    L'association SOS MAMANS (UNEC) vient de faire paraître son « Journal de bord - Septembre 2009 »

    Septembre 2009

    Quelle rentrée ! Nous avons pu sauver, depuis le 1 septembre 18 fois 'mère et bébé'. Le 7 septembre :  Sandrine (20 ans, il fallait la loger d'urgence), et Véronique (pareil) ; le 10 septembre : Carole (17 _ ans, Paris, chassée de chez elle) ; le 17 septembre : Amada (20 ans, nous avons pu la réacheminer vers sa famille en Sicile), Gilhane (17 ans, de Lille, chassée de chez elle parce qu'elle attend un bébé d'un copain noir), et  Anelys (21 ans, de Dordogne, il fallait la loger d'urgence) ; le 21 septembre : Irina (de Russie, réacheminée vers sa famille à l'est) et Ilga (20 ans, russe, logée par nous) ; le 23 septembre :  Roxana et Nikita (2 jeunes filles de 15 et 17 ans, reniées par les géniteurs dont un fut l'amant de sa mère) ; le 26 septembre :  Ursula (étudiante, 20 ans, son père la boxa violemment à cause de sa grossesse imprévue, amenée à l'hôpital) ; le 29 septembre :  Anastasia (16 ans, biélorusse, vint pour devenir 'mannequin' et se retrouva placée en bordel, torturée par ses souteneurs ukrainiens il fallait vite la réacheminer vers sa famille à l'est) ; le 5 octobre :  Salma (17 ans, logée) ; le 7 octobre : Ingrid (22 ans, étudiante autrichienne, éjectée par sa logeuse à Paris, il fallait la loger d'urgence le même soir) ; le 8 octobre : Marouchka (21 ans, lettone, venue à Paris par une 'agence de mannequins', violée et répudiée par son 'photographe', perdue dans les rues de Paris, vite renvoyée en Lettonie) ; le 10 oct. : 2 amies Carole et Sandrine (18 ans, victimes d'une 'tournante' de 6 voyous, enceintes d'eux) ; 11 octobre : Anelys (16 ans, sauvée du lit de la clinique d'avortement...).

    Mais aussi 16 naissances de bébés sauvés antérieurement, chaque fois avec visite en maternité, prime de naissance 225 Euro, chocolat, fleurs et première peluche) : Thomas (1 septembre), Mindy (2 sept.), Karim (8 sept.), Sylvain (9 sept.), Pattie (11 sept.), les jumeaux Dilor et Rodolphe (14 sept.), Sergej (15 sept.), Lister et Amélie (18 sept.), Millicent (19 sept.), Lydie (25 sept.),   Yul (28 sept.), Ali (29 sept.), Clara (2 oct.), Lucrèce (8 oct.).

    Cela fait beaucoup en 6 semaines, et trop de dépenses. La caisse est négative, et le mois d'octobre ne fait que commencer... Tout est entre les mains de Dieu. Notre comptabilité est très spéciale, car littéralement suspendue aux nuages... de grâces qui viennent ou ne viennent pas sous forme de chèques. Nous étions de nouveau, à 2 ou 3 reprises, devant des nouvelles mamans en nous trouvant pratiquement sans un sous dans la caisse. Devons-nous leur dire : « Allez-y, avortez, car nous ne pouvons plus vous aider, nous avons déjà trop de mamans» ? Impossible ! Jusqu'à présent Dieu nous a toujours aidés à trouver des solutions et des donateurs tombés du ciel. Mais faudra-t-il, un jour apprendre de 'marcher sur les cadavres' ? De refuser notre aide à des jeunes mamans manque de moyens? Beaucoup de missionnaires doivent savoir ce que c'est quand ils ont, par exemple, une petite léproserie avec seulement 20 lits et qu'il faut laisser mourir des dizaines d'autres malades dans le village... N'est-ce pas notre Seigneur Lui-même qui, sur la Croix, a bien dû entrevoir des millions d'âmes comme ils se perdent dans l'enfer, en dépit de son don extrême ? Faudra-t-il passer par là, nous aussi ? Le salut passe par la Croix, nous a enseigné St Jean de la Croix : « Si vous saviez que seule la Croix vous unira à votre Seigneur, vous la Lui demanderiez à genoux ! » Quel chemin !

    Dimanche 11 octobre 2009

    Certains nous reprochent de sauver des bébés étrangers, des Juifs, des Musulmans. C'est insensé. Bien sûr, nous avons tous des préférences, mais face à la vie elle-même il n'y a qu'une seule réponse possible : OUI ! Exactement comme ces pompiers qui, du haut de leur échelle, jettent l'eau avec leur lance dans les flammes sans demander auparavant : « Est-ce qu'il y a des noirs ici ? » Nous sommes les pompiers des bébés. Dès que Dieu donne la vie, ils sont nos frères et sœurs, et nous devons être prêts à donner notre vie pour sauver la leur. Comme Lui l'a fait, sur la Croix ! C'est le premier degré de l'amour, c'est le niveau de notre association SOS MAMANS. Mais il y a un deuxième degré, beaucoup plus élevé, c'est : « Aime tes ennemis ! » Ceci n'est probablement possible qu'aux âmes individuelles. Quel incroyable programme, quel défi, notre christianisme ! Quel don de Dieu ! Un tel programme est impossible voire impensable aux Juifs, Musulmans et autres bouddhistes et Hindous. C'est souvent le témoignage décisif de leur conversion au christianisme, surtout pour les Musulmans. Comme une de nos mamans musulmanes nous l'a crûment dit, bien après la naissance de son fils que nous avions sauvé de l'avortement: « Les Chrétiens aident, les Musulmans n'aident pas. C'est pourquoi nous venons vers vous ! » Désarmant ! Pourtant nous ne sommes pas la Banque de France.

    Encore un point qui nous préoccupe : l'amour. Qu'est-ce l'amour ? Est-il divisible ? Car certains nous reprochent que, si nous ne sauvons pas les bébés expressément au nom du Christ et en amenant ces bébés au baptême, tous nos agissements de sauvetage ne valent rien, sont purement humains, des signes de 'solidarité' par sentiments superficiels, rien de plus, et surtout sans valeur pour l'éternité, ni pour les sauveurs ni pour les sauvé(e)s. D'où notre question : l'amour est-il divisible ? Peut-il y avoir deux amours différents, l'un naturel, l'autre surnaturel ? Dieu est amour, chante la liturgie du Jeudi Saint, et même : « Ubi Deus ibi Caritas » (Là où est Dieu est l'Amour). Nous serions enclins d'extrapoler même : Ubi Caritas ibi Deus (Là où est l'Amour est Dieu). Un seul vrai acte d'amour, n'a-t-il pas en soi une portée surnaturelle, car divine ? A l'homme seul il est impossible d'aimer.

    Un exemple : une fois nous avions une jeune femme prostituée enceinte devant nous, Anastasia, et il fallait tout de suite la mettre à l'abri car ses souteneurs étaient déjà à ses trousses dans les rues de Paris voulant la punir et la faire avorter de force. Nous avons foncé sur un taxi stationné en face, en expliquant en 2 phrases la chose. Merveille, le chauffeur a tout de suite répondu : « Ah, quel hasard ! Dans _ heure je termine mon service et je partirai en Lorraine chez ma belle-mère pour le week-end. Pas de problème, je peux l'abriter là-bas pour quelques jours ! » Anastasia y a finalement passé plusieurs mois d'une heureuse grossesse. Ce chauffeur de taxi a été retrouvé - par quels moyens ? - par les gangsters quelques mois plus tard, et par vengeance ils ont brûlé sa voiture. Il ne s'en est jamais plaint auprès de nous. Cet homme, une fois arrivé au ciel, n'entrera-t-il pas au paradis ? Nous en sommes sûrs, « Dieu est Amour », et tout acte de vraie charité ne peut être fait qu'en Lui. « Venez, bénis de mon Père, j'avais faim et vous m'avez nourri, nu et vous m'avez vêtu... » (Apocalypse). Et les élus à demander : « Seigneur, quand est-ce que nous vous avons nourri, vêtu... ? » Et Jésus : « Chaque fois que vous avez nourri, vêtu... un de ces plus petits, c'est à Moi que vous l'avez fait ! » Voilà tout le secret de la charité chrétienne.

    Lundi 12 octobre 2009

    Bilan à ce jour : nous sommes à 569 bébés sauvés, dont 47 encore à naître. Nous hébergeons actuellement 29 mamans enceintes. Bilan caisse: déficitaire de 2560 Euros, avancés par des amis.

    Cher lecteur, chère lectrice de notre « Journal de bord » de SOS MAMANS (UNEC), vous faites partie de nos donateurs ou coopérants, et nous nous faisons une joie de partager avec vous par le biais des extraits de notre 'Journal de bord', nos joies et nos peines. Ce 'Journal' devient un monument de l'espérance,  prouvant que le crime de l'avortement peut être vaincu par la charité chrétienne.  Nous sommes fiers et heureux de vous savoir de nos côtés. Restez y, s'il-vous-plaît! Vous faites véritablement partie de l'équipe de SOS MAMANS, merci, et en avant!

    SOS MAMANS (UNEC), BP 70114, 95210 Saint-Gratien, T/F 0134120268, sosmamans@wanadoo.fr

  • Mgr Sarah et l’idéologie du genre

    Mgr Robert Sarah, archevêque émérite de Conakry et secrétaire de la Congrégation romaine pour l'évangélisation des peuples, a fait une remarquable intervention sur l'idéologie du genre, le 7 octobre, au cours du synode sur l'Afrique.

    Sa conclusion : « Au nom de la non-discrimination, cette idéologie crée de graves injustices et compromet la paix. L'Afrique doit se protéger de la contamination du cynisme intellectuel de l'Occident. Il est de notre responsabilité pastorale d'éclairer la conscience des Africains quant aux dangers de cette idéologie meurtrière. »

  • Romero dit n’importe quoi

    Jean-Luc Romero, réélu président de l'Association "pour le droit de mourir dans la dignité", a indiqué que le PS s'était engagé à déposer un projet de loi légalisant l'euthanasie "dans les semaines à venir":

    "Le groupe socialiste, avec le soutien de certains députés UMP, doit déposer, lors d'une niche parlementaire, un projet de loi sur la légalisation de l'euthanasie."

    Premièrement, les groupes parlementaires déposent des propositions de loi (seul le gouvernement dépose des projets de loi).

    Deuxièmement, il y a, tous les ans, au moins une proposition de loi sur l'euthanasie, qui n'a jusqu'ici jamais trouvé sa "niche".

  • Espagne: feu vert à la libéralisation de l'avortement

    Le gouvernement socialiste espagnol a approuvé hier en conseil des ministres le projet de loi de libéralisation de l'avortement, qui permettra notamment aux jeunes filles de 16 ans d'avorter librement sans le consentement de leurs parents.

    "Nous voulons offrir aux mineures la plus haute protection et le plus strict respect de leurs droits fondamentaux" (sic), a commenté Mme de le Vega, vice-présidente du gouvernement.

    Si le projet est adopté tel quel, les femmes vivant en Espagne pourront désormais avorter librement dans un délai de 14 semaines. L'avortement sera autorisé de manière exceptionnelle jusqu'à 22 semaines de grossesse en cas de "risque pour la vie et la santé" de la mère ou "de graves anomalies du foetus". Il pourra enfin être pratiqué sans limite de temps en cas de "maladie extrêmement grave et incurable du foetus", après avis d'un comité médical.

    Une grande manifestation doit avoir lieu contre le projet le 17 octobre à Madrid.