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Antiracisme - Page 20

  • Schweitzer l’imposteur

    Le Canard enchaîné affirme que la présidente de la Halde, Jeannette Bougrab a fait voter en mai par le collège de l’institution une délibération visant à doubler son indemnité mensuelle, qui passerait de 6.900 à 14.000 euros.

    Jeannette Bougrab dément cette information et porte plainte contre Le Canard enchaîné.

    En réponse à une question d’un député socialiste, le ministre des Relations avec le Parlement Henri de Raincourt précise que Jeannette Bougrab gagne “6.135 euros par mois" comme son prédécesseur, et ajoute :

    "Une délibération de la Halde a effectivement été prise mais pour une raison très simple, pour créer le poste de président puisque le prédécesseur de l'actuel responsable n'a jamais été agent en tant que tel de cette institution".

    Ah bon ? Alors Louis Schweitzer était un imposteur. Car sur le site de la Halde, et dans toutes ses interventions publiques, il se présentait comme le « président » de la Halde. Non seulement il n’en était pas le président, mais il n’en était même pas un « agent », dit Raincourt. Et alors, à quel titre nous faisait-il régulièrement la leçon ? Et à quel titre le non-président non-agent se faisait-il rétribuer par la Halde ?

  • Les Schtroumpfs pourpres

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    L'un des albums des Schtroumpfs n'avait jamais été publié aux Etats-Unis : "Les Schtroumpfs noirs". Parce que les Schtroumpfs noirs sont méchants. Donc c'est du racisme.

    Il vient d'être publié, sous le titre "Les Schtroumpfs pourpres". Toutes les planches ont été retouchées pour que les méchants soient pourpres (ce qui avait déjà été fait pour le dessin animé)...

    (via F. Desouche)

  • Hortefeux condamné pour injure raciale...

    "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes".

    Pour avoir dit cela, sur le ton de la plaisanterie, Brice Hortefeux est condamné pour « injure raciale », à une amende de 750 euros et à verser 2.000 euros de dommages et intérêts au MRAP, qui demande sa démission en soulignant que c'est la première fois qu'un ministre est condamné pour racisme...

    Peut-être que Brice Hortefeux va commencer à comprendre ce qu'est l'antiracisme.

  • Le racisme anti-blanc est devenu ordinaire

    A propos de l'agression d'Annecy, L'essor savoyard note :

    « Habitués de la place des Romains, ils choisissaient leur victime au faciès et prenaient soin de cibler ceux qu'ils appellent des "Gaulois", c'est-à-dire des français "pure souche". »

    A propos de l'agression au parc Astérix, dans Le Parisien :

    « Je n'ai pas de mots pour décrire ce qui s'est produit. Ces jeunes font la loi, ils nous passent devant, nous traitent de sales Blancs et tabassent ma famille ! Que voulez-vous que je dise de plus ? « 

    «  Ils ont donné des coups de pied, des coups de poing aux deux jeunes qui se trouvaient à terre. Les coups pleuvaient sans relâche. Les victimes n'ont eu comme seule possibilité que de se rouler en boule en attendant la fin des coups. Véronique, la mère, a tenté de s'interposer, mais elle a été jetée à terre », a expliqué un gendarme...


  • Le racisme anti-blanc poursuivi à Montpellier

    Un avocat de Montpellier, Alain Ottan, est passé vendredi devant la commission de discipline des avocats de la cour d'appel, parce qu'il avait contesté un jugement de cour d'assises en disant que le jury était « blanc, exclusivement blanc », et que cela expliquait pourquoi le gendarme poursuivi pour la mort de Mourad avait été acquitté.

    Le bâtonnier n'ayant pas bougé, c'est le parquet général qui a engagé la poursuite disciplinaire. « La liberté d'expression a aussi ses limite, Me Ottan a fait du racisme au nom de l'antiracisme », a déclaré l'avocat général.

    Me Ottan est défendu par Me Philippe Expert et par Me Michel Tubiana, ancien président de la Ligue des droits de l'homme. Il risque quelques mois de suspension.

  • La bureaucratie épiscopale française s’y met aussi…

    C'est aujourd'hui la 6ème Journée mondiale contre l'homophobie, décrétée en 2006 par le « comité Idaho » (International Day against Homophobia and Trans). Cette année, c'est sur le thème "Religions, homophobie, transphobie" avec le lancement d'un "appel international aux religions".

    Plusieurs associations LGBT participant à la campagne ont sollicité la Commission Justice et Paix de la Conférence des Evêques de France. Et ensemble, elles ont élaboré deux prières universelles, qui devaient être dites hier dans les paroisses :

    En cette veille de journée mondiale contre l'homophobie et la transphobie, donne-nous Seigneur de savoir dénoncer toute forme de violence.

    En cette veille de journée contre l'homophobie et la transphobie, donne-nous Seigneur de défendre la dignité inconditionnelle de chaque être humain.

    On ne fera pas l'injure à la Commission Justice et Paix de la Conférence des Evêques de France de prétendre qu'elle ne saurait pas que la condamnation des actes homosexuels est une claire manifestation d'homophobie. On doit donc en conclure que selon la Commission Justice et Paix de la Conférence des Evêques de France les actes homosexuels sont des actes licites du point de vue catholique.

    Je ne sais pas combien de paroisses ont célébré hier les droits des homosexuels.

    Pour ma part je ne connais en la matière que le Catéchisme de l'Eglise catholique :

    2357 L'homosexualité désigne les relations entre des hommes ou des femmes qui éprouvent une attirance sexuelle, exclusive ou prédominante, envers des personnes du même sexe. Elle revêt des formes très variables à travers les siècles et les cultures. Sa genèse psychique reste largement inexpliquée. S'appuyant sur la Sainte Écriture, qui les présente comme des dépravations graves (cf. Gn 19, 1-29 ; Rm 1, 24-27 ; 1 Co 6, 10 ; 1 Tm 1, 10), la Tradition a toujours déclaré que " les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés " (CDF, décl. " Persona humana " 8). Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d'une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d'approbation en aucun cas.

    2358 Un nombre non négligeable d'hommes et de femmes présente des tendances homosexuelles foncières. Cette propension, objectivement désordonnée, constitue pour la plupart d'entre eux une épreuve. Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse. On évitera à leur égard toute marque de discrimination injuste. Ces personnes sont appelées à réaliser la volonté de Dieu dans leur vie, et si elles sont chrétiennes, à unir au sacrifice de la croix du Seigneur les difficultés qu'elles peuvent rencontrer du fait de leur condition.

    2359 Les personnes homosexuelles sont appelées à la chasteté. Par les vertus de maîtrise, éducatrices de la liberté intérieure, quelquefois par le soutien d'une amitié désintéressée, par la prière et la grâce sacramentelle, elles peuvent et doivent se rapprocher, graduellement et résolument, de la perfection chrétienne.

    Et je renvoie aussi à ce que dit le Christ du scandale et de ceux qui en sont responsables (Matthieu 18, 5-7 ; Luc 17, 1-2).

  • Houria Bouteldja mise en examen pour racisme

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'AGRIF

    Sur plainte de l'AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja, présidente de l'association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l'égard des Français. Il s'agissait de l'emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ».

    Le juge d'instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c'est-à-dire celui de son lieu de domicile.

    Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

    Par ailleurs, la procédure contre le livre « Nique la France » édité par l'association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française est en cours.

    [Rappelons que le propos de Houria Bouteldja était oral, et que « souchien » peut aussi s'écrire « sous-chiens ».]

  • Le « mois de l’autre » en danger ?

    En Alsace, chaque année, est organisé « le mois de l'autre ». C'est le grand rendez-vous alsacien contre le racisme, pour la tolérance et le vivre ensemble, etc., à destination des lycéens et des apprentis. Inventé par la « droite »...

    L'édition 2010l s'est terminée mardi dernier. Les élus socialistes protestent contre l'absence, pour la première fois, lors de la journée de clôture, du président du conseil régional, du premier vice-président délégué à la représentation, et de la présidente de la commission Lycées, Education, Formation initiale. Ils dénoncent aussi le fait que les subventions allouées à cette opération ne cessent de baisser depuis deux ans...

    On se souvient qu'Adrien Zeller, l'inventeur de la chose, avait trouvé amer que Lilian Thuram demande 20.000 € pour une intervention d'une heure et demie. Cela a peut-être fait réfléchir la « droite » sur les idéaux de l'antiracisme...

    (Via Novopress)

  • LE MRAP rejoint le combat de l’AGRIF !

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'AGRIF

    Par communiqué du 27 avril 2010, le MRAP 66 annonce qu'il se porte aux côtés du jeune couple odieusement agressé dans le centre ville de Perpignan avec injures à caractère racial et menaces de mort, échappant in extremis au pire.

    Devant l'exaspération qui monte dans une population livrée à la sauvagerie de bandes incontrôlées, le MRAP, pour la première fois de son histoire, découvre l'existence du racisme anti-blanc avec 25 ans de retard sur l'AGRIF.

    Dès le 21 avril 2010, l'AGRIF, sollicitée en ce sens, a annoncé avoir bien évidemment accepté de prendre en charge la défense de ce jeune couple aujourd'hui défendu par son avocat de Perpignan.

    Bernard Antony s'est rendu à cette occasion à Perpignan le 26 avril pour conférer avec la famille et l'avocat.

    L'AGRIF note avec satisfaction que, par communiqué du 27 avril 2010, le MRAP 66 annonce vouloir rejoindre le combat contre le racisme anti-blanc dans cette affaire emblématique.

    L'AGRIF espère que ce communiqué du MRAP 66 ne soit pas une simple posture médiatique face à une agression qui a suscité une énorme indignation populaire, mais qu'elle soit au contraire et enfin annonciatrice d'une prise de conscience de la réalité quotidienne de plus en plus vécue par le peuple français.