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Antiracisme - Page 21

  • Ça va devenir difficile…

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    Ceci est une affiche publicitaire pour l'ouverture du grand centre commercial Okabé, au Kremlin-Bicêtre.

    Le souci de la « diversité » est pleinement respecté. Comme dirait Anne Lauvergeon, on a évité le « mâle blanc ». L'affiche est donc vertueusement antiraciste.

    Mais elle a « choqué » l'auteur du blog « Dans la rue » du site Rue89 (gardien intransigeant de la pensée unique). Car il y voit une ressemblance avec les anciennes publicités Banania, donc du « racisme »...

    (Via François Desouche)

     

  • Agression de Perpignan : l'AGRIF assurera la défense de la famille attaquée

    Lu sur le blog de Bernard Antony :

    Alors qu'un père de famille était intervenu pour faire cesser les troubles et tapages causés par des voyous du quartier, ces derniers ont attaqué le domicile de la famille obligeant la mère et son bébé de 8 mois à se réfugier dans les toilettes tandis que la bande de sauvages tentait de défoncer la porte du jeune couple, son mari s'apprêtant à faire face aux assaillants déchaînés. Menaces de mort et de viol, injures racistes ont fusé.

    Un seul suspect a été arrêté puis relâché parce qu'il n'a que 15 ans. Bien sûr...

    Choquée par cette violente agression, la famille va déménager. "C'est fou mais c'est à nous de partir" déclare le père de famille.

    Evidemment, ils ne pourront pas compter sur la Halde pour les défendre, ce ne sont que des Français de souche.
    L'AGRIF a donc décidé de prendre à sa charge la défense de ce jeune couple et désigné un avocat pour que les coupables soient recherchés, punis et que cette famille soit indemnisée pour le préjudice moral et matériel qu'elle a subi.

    Y.B.

    (Voir l'article du Midi Libre)

  • L’humour selon les magistrats de la cour d’appel de Paris

    Dépêche AFP

    L'Agrif a été déboutée mercredi par la cour d'appel de Paris des poursuites qu'elle avait engagées contre Charlie Hebdo après la publication de son numéro "Spécial Pape" de septembre 2008.

    L'Alliance générale contre le Racisme et pour le Respect de l'Identité française et chrétienne (Agrif) estimait que l'hebdomadaire satirique avait "incité à la haine" envers les chrétiens, en publiant "deux petits libelles éminemment toxiques".

    Dans le premier, titré "Fondamentaux", on pouvait lire: "Messe en latin, éducation religieuse, moeurs rigoureuses... Benoît XVI est pour un retour aux fondements du catholicisme. Nous aussi: que l'on redonne les chrétiens à bouffer aux lions".

    Le second passage poursuivi était une "devinette": "De quel ouvrage pornographique est tirée cette phrase : +On lui amènera des petits enfants pour qu'il les touche+ ? Réponse : l'évangile selon Saint Marc. Et c'est juste après que ce gros cochon de Jésus-Christ s'exclame: +Laissez venir à moi les petits enfants+".

    Le 2 juin 2009, le tribunal correctionnel de Paris avait débouté l'Agrif, la condamnant même à verser un euro de dommages et intérêts à Charlie Hebdo pour procédure abusive.

    Mercredi, les magistrats de la cour d'appel ont confirmé le débouté. "Ironiquement et volontairement outranciers, inconvenants peut-être, les passages incriminés ne peuvent pas tromper sur le but poursuivi : faire rire le lecteur, lequel ne peut se méprendre sur leur sens et leur portée", ont-ils jugé dans leur arrêt.

    Pour la cour, "il ne saurait être sérieusement soutenu que ces propos délibérément provocants et dans la ligne éditoriale générale de cet hebdomadaire satirique, incitent de quelque façon que ce soit le public à (...) la haine".

    "S'ils peuvent heurter quelques sensibilités, ces passages, imprégnés de l'humour sommaire en vigueur dans les cours de récréation, ne dépassent pas les limites permises de la liberté d'expression", a-t-elle conclu.

    En revanche, elle a infirmé la condamnation de l'Agrif pour procédure abusive, estimant qu'une association ne pouvait être condamnée juste pour "absence du sens de l'humour".

    [L'Agrif se pourvoit en cassation.]

    Rappel : dimanche 11 avril, grande Journée du 25e anniversaire de l'Agrif à Villepreux.

  • Jeannette Bougrab à la Halde

    CPS.RYT47.230310170750.photo00.photo.default-341x512.jpgNicolas Sarkozy a nommé Jeannette Bougrab, conseiller d'Etat, membre de l'UMP, à la tête de la Halde.

    La jurisprudence Lauvergeon est respectée : Jeannette Bougrab n'est pas un « mâle blanc ». Toutefois, elle est fille de harkis. Ça compte quand même ?

    Assurément, elle est plus jolie à regarder que Louis Schweitzer. Mais à part ça, on ne peut pas s'attendre à ce qu'elle améliore une institution qui est intrinsèquement perverse.

    Et elle est la femme de l'emploi : elle a commencé sa carrière politique comme secrétaire nationale de l'UMP, du temps de Juppé, et avait pondu un rapport sur « les discriminations dans l'accès au marché de l'emploi ». Dans une interview à Têtu, en mai 2006, elle s'est déclarée favorable au mariage homosexuel et à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels. En 2007 elle fut candidate de la diversité aux législatives à Barbès-Clignacourt-Montmarte. Evidemment battue dans ce bastion de gauche, elle se dit déçue qu'on ait voulu la cantonner à un rôle « d'animateur de réunions communautaires » pour Nicolas Sarkozy, et annonça qu'elle s'éloignait de la politique partisane pour se consacrer à l'écriture...

    En janvier dernier, elle était déjà devenue présidente du conseil d'administration de l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE), par décret présidentiel.

  • La victoire de Catholic Care

    Une agence d'adoption catholique britannique, Catholic Care, vient d'obtenir de la Haute Cour une décision qui lui permet de refuser de placer des enfants auprès de couples homosexuels.

    A priori, cet arrêt est pourtant contraire à la loi anti-discrimination. Et, en vertu de cette loi, plusieurs associations ont été contraintes de cesser leur activité pour ne pas être obligées de confier des enfants à des homosexuels.

    Mais Catholic Care a remarqué qu'un article de la loi permettait aux agences de fournir des services aux couples d'une orientation sexuelle donnée : un article destiné à permettre aux associations homosexuelles de ne pas offrir leurs services aux « hétérosexuels ». Sic. Catholic Care a demandé, en vain, que la portée de cet article soit précisée. Alors elle a saisi la justice. Et elle a fini par obtenir raison...

    (Plus de détails sur le blog de Jeanne Smits)

  • Jurisprudence Lauvergeon

    Michèle André, sénateur socialiste, présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat, déplore, dans un communiqué, « avec un certain nombre de personnalités et l'opinion publique (sic) les récentes nominations exclusivement masculines au Conseil constitutionnel et à la Cour des comptes ». « Dans ce contexte, le poste laissé vacant à la tête de la HALDE par M. Louis Schweitzer offre l'occasion d'entamer un rééquilibrage nécessaire. Par conséquent, elle suggère que la présidence de la HALDE et les prochaines nominations à des postes de responsabilité soient confiées à des femmes pour aller vers une société de partage à part égale entre les hommes et les femmes. »

    C'est la jurisprudence Lauvergeon. Malek Boutih ne remplit qu'une condition. Il faut trouver un Malek Boutih femelle.

  • Pas clair…

    Gérard Longuet a déclaré hier que pour lui il n'y a « pas de Français de souche ».

    Puis il a contesté le choix de Malek Boutih pour présider la Halde car selon lui il y faut quelqu'un qui soit issu du « corps français traditionnel » :

    "La Halde, cela veut dire que c'est la France qui s'ouvre aux populations nouvelles. (...) Il vaut mieux que ce soit le corps français traditionnel qui se sente responsable de l'accueil de tous nos compatriotes. (...) Si vous mettez quelqu'un de symbolique, extérieur, vous risquez de rater l'opération."

    On sait que cette déclaration a suscité la polémique : il est interdit de parler de « corps français traditionnel ».

    Mais je me demande où peut être ce « corps français traditionnel » s'il n'existe pas de Français de souche...

  • SOS Racisme, le Mrap et la Licra au secours de l’islamisme

    affiche FN.jpg

    La Licra a demandé l'interdiction de cette affiche, collée initialement à Marseille. Elle a été déboutée par le tribunal de grande instance de Marseille, qui a invoqué la nullité de l'assignation devant cette juridiction en raison de la domiciliation de la Licra.

    Le Mrap a demandé hier au tribunal de Nanterre d'interdire les mêmes affiches. Le tribunal rendra sa décision vendredi. A l'audience, l'avocat du MRAP, Me Khaled Lasbeur, a évoqué un risque d'"émeutes", de "manifestations" et d'"effusions de sang", si les affiches ne sont pas retirées. Sic.

    SOS Racisme, associée au journaliste et écrivain algérien Mohamed Sifaoui, a engagé une action pénale contre Jean-Marie Le Pen, au motif que l'affiche serait "raciste". L'audience aura lieu le 6 mai.

    D'autre part, l'Algérie a protesté "officiellement" auprès de la France contre cette affiche du FN, selon le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci. "C'est à l'Etat français de prendre les dispositions qui s'imposent lorsque des symboles de pays étrangers sont mis à genoux", a-t-il dit.

    "Nous déplorons avec force l'usage indigne et dégradant d'un drapeau national à des fins électoralistes", a déclaré aujourd'hui le ministère français des Affaires étrangères lors de son point de presse régulier. Il a jugé "légitimes" les protestations d'Alger "quant à l'usage extrêmement choquant qui est fait du drapeau algérien".

  • Le vrai bilan de la Halde

    La Halde a reçu en 2009 10.546 réclamations, en hausse de 21% par rapport à 2008.

    1.752 ont été instruites. Ce qui veut dire que 83,4 % des réclamations passent au panier : même les fanatiques de la Halde les jugent abusives ou sans objet.

    1.043 ont été réorientées vers d'autres institutions ou juridictions.

    232 ont fait l'objet de procédures judiciaires. Le budget de la Halde étant de près de 12 millions d'euros, chaque procédure a coûté 51.700 € au contribuable.

    En outre, la majorité des procès ont eu lieu devant les prud'hommes, qui de toute façon auraient donné raison au plaignant sans intervention de la Halde, puisqu'il s'agit d'indiscutables discriminations au regard de la loi.