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  • Aux Etats-Unis

    Le gouverneur de l’Oklahoma, Kevin Stitt, a signé hier trois lois adoptées par les deux chambres : Les médecins avorteurs devront être diplômés en obstétrique et gynécologie, l’avortement sera sur la liste des « comportements non professionnels » pour les médecins non diplômés, l’avortement est interdit à partir du moment où les battements du cœur sont détectés. Le « Centre pour les droits reproductifs » dénonce « des lois extrêmes destinées à supprimer l’accès à l’avortement ». Sic. Le gouverneur de l’Oklahoma devrait également signer bientôt une loi assurant que l’avortement sera interdit « immédiatement » après l’annulation par la Cour suprême de l’arrêt Roe contre Wade. Selon l’institut Guttmacher (lobby pro-avortement), une dizaine d’Etats auraient déjà cette loi.

    Le gouverneur du Montana, Greg Gianforte, a également signé hier trois textes de loi : l’avortement est interdit après 20 semaines de grossesse, les avorteurs devront donner aux femmes la possibilité de voir une échographie avant de tuer leur bébé, l’avortement médicamenteux ne pourra pas être pratiqué par des produits abortifs envoyés par la poste.

  • Vérifié

    Depuis qu’on entend tous les jours, et d’abord dans la bouche du ministre de l’Education, l’horrible expression « en présentiel », je me disais que j’allais chercher depuis quand elle existe. Et puis j’oublie… Ayant vu que le gouvernement « prépare une rentrée 100% en présentiel à l’université », je me suis décidé. Le résultat est sans appel autant que sans surprise : l’expression n’existe pas, le mot non plus. Dans aucune des sources du Centre national de ressources textuelles et lexicales. C’est un pur barbarisme, ce qui n’étonne pas dans une société barbare avec un gouvernement de barbares.

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  • Saint Pierre Canisius

    Petit extrait de son célèbre catéchisme, qui eut plus de 200 éditions dans les pays germaniques de son vivant.

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  • Le délire des tyrans

    Dernière recommandation en date (hier) du Haut Conseil de santé publique :

    « Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé, toutes les personnes réunies peuvent ôter leur masque si elles ont toutes bénéficié d'un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à six du nombre de personnes. »

  • Perversité

    Deux femmes québécoises se sont « mariées » en 2010, ont décidé d’avoir un enfant qu’elles ont eu grâce aux services d’un ami, et ont été toute deux déclarées « mères » de l’enfant comme le prévoit la « loi ». Puis elles se sont séparées (dès 2012), et en 2019 celle qui n’est pas la mère a voulu faire déclarer par la justice qu’elle « n’est pas la mère de l’enfant né de sa conjointe » et qu’elle est seulement « la conjointe d’une épouse qui a eu un enfant pendant le mariage ».

    Le juge a rejeté la demande, parce qu’il y a « un délai de prescription d’un an maximum »…

  • Bon, ben vive la techno…

    Je n’aurais jamais pensé, avant la « pandémie », qu’un jour je trouverais sympathiques des jeunes se trémoussant au son basique et outrageusement amplifié de la « musique » techno. C’est pourtant ce qui se passe chaque fois que j’entends parler ou que je vois des images de jeunes sans masques réunis pour faire la fête en contravention avec la dictature sanitaire.

    La première fois ce fut je crois lors de l’épisode de Rennes, où des jeunes furent coupables de concentrer et répandre le virus de façon criminelle. Mais bien sûr il n’y eut pas la moindre contamination parmi les fêtards ou leurs proches.

    Hier c’était aux Buttes Chaumont, en plein Paris. Au départ c’était juste un anniversaire, puis l’ambiance fit que bientôt ils étaient plusieurs centaines…

    Il paraît que les crétins en masse des « réseaux sociaux » manifestent leur sinistrement vertueuse et téléguidée indignation. Mais c’est surtout la réaction du gouvernement qui est insupportable :

    « Ce sont des images qui ne sont pas admissibles. Je comprends que des Français qui font des efforts depuis des mois, tous les jours, qui respectent tous les jours soient en colère devant ces images-là. Il faudra trouver les organisateurs et les poursuivre. On a poursuivi en justice pour mise en danger de la vie d'autrui plusieurs centaines de personnes depuis le début de cette crise. C'est important que les règles soient appliquées. »

    Le propos est du porte-parole du gouvernement. Une fois de plus (comme désormais tous les jours en toute occasion), on martèle cette absurde « mise en danger de la vie d’autrui ». C’est scandaleux d’accuser quelqu’un de mettre en danger la vie d’autrui parce qu’il a dansé sans masque dans un jardin public. Il faut ne plus avoir la moindre notion des réalités, et vivre dans sa bulle de dictature idéologique d’un hygiénisme devenu proprement délirant.

    Et c’est tellement insupportable que, face à cela, tout ce qui est un tant soit peu contraire à cette immonde boursouflure dictatoriale devient sympathique : qui que ce soit, d’où que ça vienne.

  • Saints Clet et Marcellin

    Priez pour nous, saints Pontifes, et jetez un regard paternel sur l’Église de la terre qui fut si agitée en vos temps, et qui est si loin de jouir du calme en ceux où nous vivons. Le culte des idoles a reparu, et si elles ne sont pas aujourd’hui de pierre ou de métal, la violence de ceux qui les adorent n’est pas moindre que celle dont étaient animés les païens des premiers siècles. Les dieux et les déesses devant lesquels on veut voir le monde entier se prosterner, on les appelle Liberté, Progrès, Civilisation moderne. Pour établir le culte de ces nouvelles divinités, on décrète la persécution contre ceux qui refusent de les adorer, on renverse la constitution chrétienne des États, on altère les principes de l’éducation de l’enfance, on rompt l’équilibre des éléments sociaux, et un grand nombre de fidèles sont entraînés par l’attrait de ces nouveautés funestes. Préservez-nous de cette séduction, bienheureux martyrs ! Ce n’est pas en vainque Jésus a souffert ici-bas et qu’il est ressuscité d’entre les morts. Sa royauté était à ce prix ; mais nul n’échappe à son sceptre souverain. C’est afin de lui obéir que nous ne voulons d’autre Liberté que celle qu’il a fondée par son Évangile, d’autre Progrès que celui qui s’accomplit dans la voie qu’il a tracée, d’autre Civilisation que celle qui résulte de l’accomplissement des devoirs qu’il a établis entre les hommes. C’est lui qui a créé l’humanité, qui en a posé les lois et les conditions ; c’est lui qui l’a rachetée et rétablie sur ses bases. Devant lui seul nous fléchissons le genou ; ne permettez pas, bienheureux martyrs, que jamais nous ayons le malheur de nous abaisser devant les rêves de l’orgueil humain, quand bien même ceux qui les exploitent auraient la force matérielle à leur service.

    Dom Guéranger

    On notera que le propos de dom Guéranger est encore plus d’actualité aujourd’hui qu’en son temps, car de nouvelles idoles sont apparues, et si elles sont les filles ou les avatars de celles qui régnaient au XIXe siècle, elles sont encore plus tyranniques, et plus destructrices : c'est désormais la nature humaine qui est niée.

  • 3e dimanche après Pâques

    Módicum, et non vidébitis me, allelúia : íterum módicum, et vidébitis me, quia vado ad Patrem, allelúia, allelúia.

    Encore un peu de temps et vous ne me verrez plus, alléluia ; et encore un peu de temps et vous me verrez, parce que je m’en vais auprès du Père, alléluia, alléluia

    L’antienne de communion reprend des paroles de Jésus dans l’évangile de ce jour. C’est, dit dom Baron, « le Christ glorieux qui, dans l’intimité de la communion, les redit à ceux qui le reçoivent en leur donnant un sens particulier d’intimité : Vous qui me recevez dans votre âme, vous ne me voyez pas de vos yeux de chair car je suis remonté vers mon Père, mais vous me reverrez, parce que celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle, je me manifesterai à lui et je le ressusciterai au dernier jour, car là où je suis, je veux qu’il soit aussi. »

    Solesmes 1960 :

  • Saint Fidèle de Sigmaringen

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    Saint Fidèle de Sigmaringen terrassant l'hérésie (calviniste), par Tiepolo (années 1750). En compagnie de saint Joseph de Leonessa, canonisé le même jour par Benoît XIV, le 29 juin 1746. Ça c'était avant...

  • Saint Georges

    Tropaire de saint Georges le Tropaiophore, par Dimitrios Papagiannopoulos.

    Ὡς τῶν αἰχμαλώτων ἐλευθερωτής, καὶ τῶν πτωχῶν ὑπερασπιστής, ἀσθενούντων ἰατρός, βασιλέων ὑπέρμαχος, Τροπαιοφόρε Μεγαλομάρτυς Γεώργιε, πρέσβευε Χριστῷ τῷ Θεῷ, σωθῆναι τὰς ψυχὰς ἡμῶν.

    Libérateur des captifs, toi qui assures aux pauvres ta protection, en qui les malades trouvent aussi leur médecin et les rois leur défenseur, saint Georges, victorieux et grand martyr, prie le Christ Dieu de sauver nos âmes.