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Perversité

Deux femmes québécoises se sont « mariées » en 2010, ont décidé d’avoir un enfant qu’elles ont eu grâce aux services d’un ami, et ont été toute deux déclarées « mères » de l’enfant comme le prévoit la « loi ». Puis elles se sont séparées (dès 2012), et en 2019 celle qui n’est pas la mère a voulu faire déclarer par la justice qu’elle « n’est pas la mère de l’enfant né de sa conjointe » et qu’elle est seulement « la conjointe d’une épouse qui a eu un enfant pendant le mariage ».

Le juge a rejeté la demande, parce qu’il y a « un délai de prescription d’un an maximum »…

Commentaires

  • Ça réclame l'égalité à cor et à cri, mais ça refuse de payer la pension alimentaire.

    Quand la société accepte de se soumettre aux caprices changeants des individus, quelle perte d'énergie!

  • "Quand la société accepte de se soumettre aux caprices changeants des individus, quelle perte d'énergie!"
    Créer des caprices chez les individus et y soumettre toute la société, c'est l'art de la propagande.

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