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« En ce Jour de la Victoire contre le nazisme, nous nous battons pour une nouvelle victoire. » Ainsi commence le message de Zelensky sur son compte Instagram, agrémenté de dix photographies. La première montrant un soldat qui arbore… l’emblème de la division de Panzer SS Totenkopf…
La photo a été retirée une demi-heure plus tard, et il n’y en a donc plus que 9.
Mais on peut toujours la voir sur les copies du message qui avaient déjà été publiées sur les réseaux sociaux…
En outre, au moment où j’écris, elle figure toujours sur le message du ministère ukrainien de la Défense…
Extraits d’un article de The Economist, 7 mai 2022.
Aidé par le contrôle des capitaux et les taux d’intérêt élevés, le rouble est désormais aussi haut qu’il l’était avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie fin février.
La Russie semble suivre le rythme des paiements de ses obligations en devises étrangères.
L’économie réelle est également étonnamment résiliente.
Contrairement aux attentes, l’économie russe ne souffre pas des sanctions occidentales.
Au premier trimestre 2022, les revenus du gouvernement provenant des hydrocarbures ont augmenté de plus de 80 % en glissement annuel.
"Ce 9 mai, l'histoire retiendra qu'à Moscou, une armée d'agression défilait et qu'ici à Strasbourg, capitale de la réconciliation de l'Europe, des centaines de citoyens se réunissaient pour refonder notre union." Clément Beaune, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes.
Ce sont "deux modèles" qui "s'affirment face à face".
Je voudrais souligner le danger, la tentation du formalisme liturgique : rechercher les formes, les formalités plutôt que la réalité, comme nous le voyons aujourd'hui dans ces mouvements qui essaient de revenir en arrière et de nier le Concile Vatican II. Alors la célébration est récitation, c'est quelque chose sans vie, sans joie.
(…)
J'insiste encore une fois sur le fait que la vie liturgique, et son étude, doivent conduire à une plus grande unité ecclésiale, et non à la division. Quand la vie liturgique est un peu une bannière de division, il y a l'odeur du diable là-dedans, le trompeur. Il n'est pas possible d'adorer Dieu et en même temps de faire de la liturgie un champ de bataille pour des questions qui ne sont pas essentielles, voire pour des questions dépassées et de prendre parti, à partir de la liturgie, pour des idéologies qui divisent l'Église. L'Évangile et la Tradition de l'Église nous appellent à être fermement unis sur l'essentiel, et à partager les différences légitimes dans l'harmonie de l'Esprit.
(…)
Il est vrai que toute réforme crée des résistances. Je me souviens, j'étais un petit garçon, quand Pie XII a commencé avec la première réforme liturgique, la première : on peut boire de l'eau avant la communion, en jeûnant pendant une heure.... "Mais c'est contre la sainteté de l'Eucharistie !", ils déchiraient leurs vêtements. Ensuite, la messe des vêpres : "Mais, voyons, la messe c’est le matin !". Puis, la réforme du Triduum pascal : "Mais comment, le samedi le Seigneur doit ressusciter, maintenant ils le reportent au dimanche, au samedi soir, le dimanche ils ne sonnent pas les cloches.... Et que deviennent les douze prophéties ?" Toutes ces choses scandalisaient les personnes à l’esprit fermé. Cela se produit encore aujourd'hui. En effet, ces esprits fermés utilisent les schémas liturgiques pour défendre leur propre point de vue. Utiliser la liturgie : c'est le drame que nous vivons dans des groupes ecclésiaux qui s'éloignent de l'Église, remettent en cause le Concile, l'autorité des évêques, afin de préserver la tradition. Et la liturgie est utilisée pour cela.
Ayant traversé l'obscurité de la lettre, * tu parvins à la suprême clarté par l'esprit; * et recevant le flot de lumière de l'au-delà, * Grégoire, flambeau de l'Eglise, tu donnas * les richesses de la théologie à tous les croyants; * et sous les éclairs de tes paroles tu réduisis * les sombres nuages des hérésies; * aussi tu demeures là où résonnent les chants joyeux, * intercédant sans cesse avec les Anges * pour le salut de nos âmes.
Grégoire, second Théologien, * initié de la divine clarté, * écrivain lumineux de la sainte Trinité, * enseignant l'ineffable et divine nature de merveilleuse façon * et désormais jouissant de Dieu en toute clarté, * souviens-toi de ceux qui te vénèrent, * défends l'Eglise, que tu formas; * car ton message s'est répandu * jusqu'aux limites de l'univers, * lui apprenant à glorifier la Trinité consubstantielle.
De ta langue ayant cultivé * dans les sillons du cœur le bon grain semé par Dieu, * tu enrichis l'Eglise entière de la plus haute théologie, * puis au feu de l'Esprit * tu brûlas l'ivraie, c'est-à-dire les hérésies, * pour te nourrir avec amour de la divine philosophie, * Père des Pères, Pasteur des Pasteurs, * flambeau du sacerdoce et fierté de tous les croyants, * Grégoire, bienheureux Théologien * que glorifie tout l'univers.
Ayant approché tes saintes lèvres * de la coupe de sagesse, tu puisas, * Grégoire, la théologie, ce flot divin * auquel tu fis communier * en abondance tous les croyants; * et tu barras le cours des hérésies * funeste aux âmes et plein de blasphèmes contre Dieu; * car l'Esprit saint put trouver en toi * le timonier capable de chasser, * de repousser comme souffle de vent les assauts des impies * en prêchant la Trinité consubstantielle.
Gloire au Père… La lyre de l'Esprit, * l'émondeur des hérésies, * la suave douceur de la vraie foi, * le second Théologien se penchant sur la poitrine du Christ, * celui qui vit le Verbe de ses yeux de docteur, * le sage guide des Pasteurs, * nous, les brebis de l'Eglise, * invoquons-le par des hymnes saintes et disons-lui: * Grégoire, c'est toi * le bon pasteur donnant sa vie * comme le Christ, ton Maître, pour nous; * et tu exultes en compagnie de saint Paul, * intercédant pour nos âmes.
Il y avait quelque sorte d'ambiguïté dans ce discours du Sauveur : « Encore un peu, et vous ne me verrez plus », etc. On pouvait entendre : Dans peu vous cesserez de me voir, car je vais mourir : et dans peu vous me reverrez, car je ressusciterai ; les ombres de la mort ne me peuvent pas retenir, et il faut que je retourne à mon Père. Durant le temps que je serai dans le tombeau, le monde triomphera, et il croira être venu à bout de ses desseins, et vous serez dans la désolation et dans l'oppression, comme un troupeau dispersé. Mais à ma résurrection qui suivra de près, la joie vous sera rendue, et la confusion à vos ennemis. C'est ainsi qu'on pouvait entendre ces prompts passages de la privation à la vue et de la vue à la privation. Mais la suite nous fait voir que Jésus-Christ regarde plus loin : nous cesserons de le voir, non précisément à cause qu'il ira à la mort, mais à cause qu'il montera aux cieux, à la droite de son Père : et nous le reverrons pour ne le plus perdre, lorsqu'il viendra des cieux une seconde fois pour nous y ramener avec lui. Ainsi ce qu'il appelle un peu de temps, c'est tout le temps de la durée de ce siècle, tant à cause que ce temps finit bientôt pour chacun de nous, qu'à cause qu'en le comparant à l'éternité qui doit suivre, c'est moins qu'un moment.
Apprenons donc que selon le langage du Sauveur, qui est celui de la vérité, tout ce qui est temps n'est qu'un point, et moins que rien, et que ce qui dure, ce qui est véritablement, c'est l'éternité qui ne passe jamais. Comptons pour rien tout ce qui passe. Il y a près de dix-sept cents ans depuis l'ascension de Notre-Seigneur ; et tout cela devant Jésus-Christ, « qui est le Père du siècle futur », n'est peut-être qu'une très petite partie de tout le temps qui se trouvera du jour de l'Ascension à la fin du monde, que Jésus-Christ a compté pour rien. Les siècles sont donc moins que rien : mille ans valent moins qu'un jour selon cette mesure. Que serait-ce donc que les souffrances de cette vie, si nous avions de la foi ? Nos sens nous trompent : tout le temps n'est rien : tout ce qui passe n'est rien : accoutumons-nous à juger du temps par la foi. Selon cette règle, qu'est-ce que dix ans, qu'est-ce qu'une année, et un mois, et un jour de peine ? Et cependant cette heure nous paraît si longue. Gens de peu de foi, quand serons-nous chrétiens ? Quand jugerons-nous du temps par rapport à l'éternité ?
Le Spiegel avait publié la vidéo où Natalia Ousmanova raconte son expérience dans les sous-sols d’Azovstal. Puis le Spiegel l’a retirée, parce que Natalia ne dit pas ce qu’il faut dire.
On remarquera que le Spiegel avait été d’abord plus honnête que le Guardian et divers autres journaux et chaînes américaines qui avaient fait leur une sur Natalia mais avaient soigneusement censuré ses propos.
Il semble en fait que ces médias aient simplement repris les informations de Reuters, comme les journaux font chez nous avec l’AFP.
Dmitry Polyanskiy, vice-représentant permanent de la Russie à l’Onu, a ouvertement accusé Reuters, hier, lors d’une réunion informelle du conseil de sécurité, d’avoir censuré les propos de Natalia Ousmanova parce qu’elle critiquait les forces ukrainiennes. Et il a posé des questions écrites à ce sujet au ministère ukrainien de la Défense et à l’état-major ukrainien. Et il a dit :
« Reuters, en fait, a lourdement censuré ce qu'elle a dit en réalité. Comment les téléspectateurs occidentaux apprendront-ils la vérité, en particulier lorsque les chaînes de télévision russes, comme nous le savons tous, sont bannies des pays occidentaux ? Qui diffuse de la propagande ici ? Jugez vous-même ! »
(Natalia Ousmanova ne dit pas autre chose que ce que disent nombre d'autres rescapées d'Azovstal. Mais comme ces témoignages-là sont recueillis par des médias russes ou pro-russes ils sont irrecevables pour tous ceux qui croient au récit officiel ukrainien, qui est la vérité médiatique imposée en occident.)
Suite à la visite hier à Kherson du président de la République de Donetsk Denis Pouchiline et du secrétaire général du parti Russie unie Andrei Tourtchak, le vice-président de la nouvelle administration de l’oblast de Kherson Kirill Stremousov a déclaré que la région allait reprendre l’ancien blason. C’est celui qui avait été approuvé le 3 octobre 1803 : sur champ doré, un aigle bicéphale noir couronné tenant dans ses pattes une branche de laurier et une flamme. Au centre, un écu d’azur avec une croix d’or byzantine.
Le blason imposé par l’Ukraine ressemblait à un billet en euros…