A lire sur le site de l’AGRIF.
Conclusion :
"Aujourd’hui, le péril pour la liberté de l’intelligence, de la foi, du respect de la dignité humaine sans discrimination, bien plus qu’un pitre provocateur, s‘appelle Manuel Valls."

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A lire sur le site de l’AGRIF.
Conclusion :
"Aujourd’hui, le péril pour la liberté de l’intelligence, de la foi, du respect de la dignité humaine sans discrimination, bien plus qu’un pitre provocateur, s‘appelle Manuel Valls."

L’avocat et célèbre blogueur juriste Maître Eolas, interrogé par le Nouvel Observateur :
Le Conseil d'Etat pouvait, en vertu de son pouvoir d'appréciation, considérer que la tenue du spectacle de Dieudonné faisait courir des risques de troubles à l'ordre public, pourquoi pas. Mais il va beaucoup plus loin. Il retient l'atteinte à la dignité de la personne humaine du fait du contenu du spectacle. C'est une première.
Le Conseil d'Etat admet que si un ministre de l'Intérieur estime que ce que vous allez dire va porter atteinte à la dignité de la personne humaine, il peut vous interdire de le dire. Nous sommes maintenant dans un régime préventif de la liberté d'expression, et c'est une boîte de Pandore qui est ouverte. Dans son ordonnance, le Conseil d'Etat souligne que "l'exercice de la liberté d'expression est une condition de la démocratie". Et quelques lignes plus loin, il commet un attentat contre cette liberté d'expression.
Les voies de recours internes sont épuisées, mais les avocats de Dieudonné ont six mois pour saisir la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Et la décision du Conseil d'Etat ne tiendra pas. La France est déjà classée 3e pour les atteintes à la liberté d'expression, avec 25 condamnations, devant la Russie. Elle n'est pas près de nous rattraper…
Les combats en Syrie entre les « rebelles » et les « jihadistes » auraient fait près de 500 morts ces derniers jours.
Titre du Figaro :
"Les infidélités supposées de François Hollande font jaser la presse étrangère"
Des infidélités à qui ? A une ancienne maîtresse par rapport à une nouvelle maîtresse ? A la maîtresse d’avant l’ancienne maîtresse ?
Pour qu’il y ait infidélité, il faut qu’il y ait eu mariage. Mais même le Figaro a oublié le sens des mots.
Tout est donc consommé. Bethléem n’est plus seulement le lieu de la naissance du Rédempteur, elle est encore le berceau de l’Église ; et combien le Prophète avait raison de s’écrier : « O Bethléem ! tu n’es pas la moindre entre les villes de Juda ! » Comme il nous est aisé de comprendre l’attrait qui porta saint Jérôme à dérober sa vie aux honneurs et aux délices de Rome, aux applaudissements du monde et de l’Église, pour venir s’ensevelir dans cette grotte, témoin de tant et de si sublimes merveilles ! Qui ne désirerait aussi vivre et mourir dans cette retraite bénie du ciel, toute sanctifiée encore de la présence de l’Emmanuel, tout embaumée des parfums de la Reine des Anges, toute retentissante de l’écho des concerts célestes, toute remplie du souvenir des Mages, nos pieux ancêtres !
Rien n’étonne ces heureux Princes en entrant dans l’humble séjour. Ni la faiblesse de l’Enfant, ni la pauvreté de la Mère, ni le dénuement de l’habitation, rien ne les émeut. Loin de là, ils comprennent tout d’abord que le Dieu éternel, voulant visiter les hommes, et leur montrer son amour, devait descendre jusqu’à eux, et si bas, qu’il n’y eût aucun degré de la misère humaine qu’il n’eût sondé et connu par lui-même. Instruits par leur propre cœur de la profondeur de cette plaie d’orgueil qui nous ronge, ils ont senti que le remède devait être aussi extrême que le mal ; et dans cet abaissement inouï, ils ont reconnu tout d’abord la pensée et l’action d’un Dieu. Israël attend un Messie glorieux et tout éclatant de gloire mondaine ; les Mages, au contraire, reconnaissent ce Messie à l’humilité, à la pauvreté qui l’entourent ; subjugués par la force de Dieu, ils se prosternent et adorent, dans l’admiration et l’amour.
Dom Guéranger
Anne de Bretagne est morte le 9 janvier 1514 : il y a exactement 500 ans.
Pour l’occasion, la Poste émet (pour la première fois) un timbre à son effigie. Un timbre à 0,66 €, ce qui est le prix du timbre pour une lettre de moins de 20 grammes au tarif normal.
Non seulement c’est l’occasion d’honorer la dernière duchesse de Bretagne, mais c’est aussi une façon de ne pas utiliser le timbre de la Femen faite répugnante icône de leur République.
Asianews signale que 160 bébés ont été sauvés de l’avortement en 2013 dans un refuge appelé « Le grâce d’être né », à Pasig, une des grandes villes de la région métropolitaine de Manille, aux Philippines.
Le refuge a été créé en 2009 ; il fonctionne grâce à des dons et au bénévolat de médecins et infirmières catholiques.
L’AGRIF appuie les trois manifestations prochainement organisées, pour la défense de la famille (Manif pour tous), le respect de la vie (Marche pour la vie) et les libertés (Jour de colère). Naturellement, Chrétienté-Solidarité se joint à cet appel.
Dans le même mouvement de résistance chrétienne et humaine, l’AGRIF appelle à une grande manifestation nationale, le samedi 8 février, pour exiger la dissolution du groupuscule terroriste et raciste anti-chrétien des Femen.
Un collectif d’appel, dont la liste sera rendue publique samedi 11 janvier, est en cours d’organisation.
Telle est la couverture du Nouvel Observateur de cette semaine. Mais ne soyons pas trop inquiets. C’est peut-être seulement le Nouvel Observateur qui a la haine de Soral, de Dieudonné et Zemmour...
Najat Vallaud-Belkacem sur la circulaire demandant aux préfets d’interdire les spectacles de Dieudonné :
« Il n’y a pas d’interdiction de principe, l’Etat ne demande pas une interdiction générale et absolue. Ça ce serait illégal. »