Ceci se trouve à la grande galerie marchande Metrograd de Kiev, dans une boutique intitulée « Symboles de chance ». Tout un assortiment de médailles sur le thème de la croix gammée et du soleil noir. Toutes sont censées apporter le bonheur ou conjurer le mauvais sort. On remarquera par exemple la « svastica de l’âme », qui « donne la détermination et aide à tenir dans les moments difficiles »… (On remarque aussi, au passage, que les informations, en plein cœur de Kiev, sont données en russe…)
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Le Parlement ukrainien a adopté en deuxième lecture la légalisation du « cannabis médical ». Selon un promoteur de la loi, « six millions de patients ont besoin de médicaments à base de cannabis », à commencer par les soldats qui souffrent de stress post-traumatique.
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Le président de la commission des affaires familiales de l’Eglise grecque-catholique ukrainienne approuve la bénédiction des couples de même sexe, assurant que ça « n’a rien à voir avec la reconnaissance ou l’approbation des relations homosexuelles ». Lorsqu'un prêtre bénit un couple LGBT, « il ne s'agit pas d'une approbation de leur mode de vie actuel, mais de la participation de l'Église à leur vie afin de les soutenir dans l'esprit de l'Évangile, pour qu'ils vivent en accord avec le plan de Dieu". Une déclaration qui a évidemment scandalisé les orthodoxes, y compris ceux de l’Eglise du pouvoir qui utilise à l’occasion les grecs-catholiques pour ses exactions.
ADDENDUM 22 décembre. Le primat de l'Eglise grecque-catholique ukrainienne, Sviatoslav Chevtchouk, déclare que le document du Vatican ne concerne pas les Eglises orientales, parce qu'elles ont une conception de la "bénédiction" différente des latins : la bénédiction est "un geste liturgique qui ne peut être séparé du reste du contenu des rites liturgiques et réduit uniquement aux circonstances et aux besoins de la piété privée", et par conséquent "elle ne peut en aucun cas contredire l'enseignement de l'Église catholique sur la famille en tant qu'union d'amour fidèle, indissoluble et féconde entre un homme et une femme".
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L'Association ukrainienne de football a demandé officiellement à la FIFA et à l'UEFA que soit annulé le match amical prévu entre la Russie et la Serbie, car il faut "empêcher le retour du football russe sur la scène internationale".