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Suisse - Page 3

  • Les Suisses se distinguent une fois de plus

    Les Suisses ont approuvé, à la double majorité des voix (52,9%) et des cantons (20 sur 26) la proposition de l’UDC sur le renvoi automatique des criminels étrangers.

    Comme pour la votation sur les minarets, il y a exactement un an, toute la presse était contre, ainsi que toute la classe politique, à l’exception de l’UDC qui renforce une fois de plus son statut de premier parti suisse.

    Dans la classe politico-médiatique de la pensée unique, c’est la consternation et la colère (contre le peuple…). D’autant qu’il ne s’agit pas seulement d’une victoire de l’UDC, mais d’une cuisante défaite pour les autres partis, et pour les institutions fédérales qui avaient proposé un contre-projet : il a été rejeté par 56% des votants et tous les cantons.

    Bruxelles fait les yeux noirs : la proposition de l’UDC, qui est désormais un article de la Constitution, contrevient à l’accord sur la libre circulation entre l’UE et la Suisse (qui prévoit des recours pour les criminels étrangers)…

    Les lobbies hurlent contre un texte « xénophobe ». « C'est un jour très noir pour la Suisse car on a heurté une grande partie de la population étrangère de notre pays à qui on a manqué de respect », dit le secrétaire général de l'Organisation suisse d'aide aux réfugiés.

    Oskar Freysinger remet les pendules à l’heure :

    « J’ai croisé nombre d’étrangers et de naturalisés qui m’ont dit soutenir notre initiative. Car eux aussi en ont marre d’une part de la criminalité et, d’autre part, de la suspicion et de la défiance qu’elle provoque à leur encontre, eux, les honnêtes citoyens. C’est d’autant plus vrai pour les étrangers visibles comme les Africains. C’est le laxisme du PS qui crée la xénophobie et pas nos affiches. »

  • « On est encore en Europe, merde ! »

    En découvrant que la soupe du jour, à l’université Miséricorde de Fribourg, comportait du porc, un étudiant, Djibo, s’est indigné : « On n’a respecté ni les végétariens, ni les étudiants de confession musulmane ou juive. J’ai cru rentrer dans un local de l’UDC ou chez Jean Marie Le Pen où on sert souvent ce genre de soupe pendant l’hiver. »

    Le directeur de la cafétéria a réagi : « On est encore en Europe, merde ! Quand je vais dans des pays où on ne mange pas de porc, je m’adapte ! », et il a précisé qu’un large choix de plats, végétariens, à base de viande ou de poissons sont disponibles.

  • "Le voile islamique fait plier Saint-Gall"

    C’est le titre d’un article du quotidien suisse Le Temps, qu’on ne peut pourtant pas taxer d’islamophobie, c’est le moins qu’on puisse dire.

    Au mois de mai, à Bad Ragaz, une fille de 15 ans, d’origine bosniaque, est venue à l’école avec un voile sur la tête. La commission scolaire de Bad Ragaz fait valoir un règlement interne qui bannit tout couvre-chef pendant les heures de cours. Après deux avertissements aux parents, une ordonnance interdit à l’adolescente de venir voilée en classe. Refusant d’obtempérer, la famille, assistée par le Conseil central islamique de Suisse (fondé en 2009 par des Suisses « convertis » à l’islam), fait recours. En août, le conseil de l’éducation du canton de Saint-Gall, saisi par deux communes, recommande d’interdire le voile.

    Fin septembre, la commission de surveillance des écoles de l’arrondissement donne raison à la jeune fille. La commission, composée de bénévoles, est présidée par un coiffeur, qui dit notamment : « Elle est intelligente, je pense que c’est sa décision de porter le foulard. Timide, elle semble n’avoir pas d’amie. Elle vit dans son monde, qui est le Coran. » Sic.

    L’école de Bad Ragaz renonce à poursuivre le combat et se plie à la décision de la commission, contre son propre règlement…

    L’article se termine ainsi :

    Rencontré devant la gare de Bad Ragaz, un garçon de 14 ans qui fréquente la même école qu’Enisa n’en démord pas: «Tous les garçons suisses sont contre elle.» Lui aussi? «Il faut lui arracher ce truc. On est en Suisse, on est des catholiques.»

  • Les déshérités de la liturgie

    Le journal suisse Le Matin a parlé d’un prêtre, l’abbé Hervé Mas, qui « porte le col romain et dit la messe en latin selon le rite tridentin » et qui, pendant « une année, s’est rendu plusieurs fois par semaine au centre-ville de Lausanne pour rencontrer les drogués de la Riponne et les déshérités de la Soupe populaire ».

    Pourquoi célèbre-t-il la messe tridentine? « Parce qu’on les traite de sales intégristes, ceux qui veulent suivre la messe en latin se sentent aussi rejetés. Comme les marginaux du centre-ville. »

    (Summorum Pontificum)

  • Référendum anti-minarets : un recours recevable

    La Cour européenne des droits de l'homme a jugé recevable formellement l'un des six recours déposés après le scrutin suisse du 29 novembre.

    « C'est une étape cruciale », jubile Ridha Ajmi, l'avocat des associations musulmanes.

    Le recours doit désormais être annoncé au gouvernement suisse, qui devra « présenter par écrit ses observations sur la recevabilité et le bien fondé de la requête », a précisé la CEDH.

  • Précision suisse

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    (Trouvé sur Galliawatch)

  • Bravo Cohn-Bendit !

    Il a été le premier à trouver la solution, dans l'affaire de la votation contre les minarets. La vraie solution conforme aux valeurs de l'Europe, et qui a fait plusieurs fois ses preuves :

    « La priorité de l'élite politique suisse hostile à cette votation doit être de remobiliser la population en vue d'un nouveau référendum (...). Pour revoter et effacer cette tache. »

  • Victoire du non aux « minarets-baïonnettes »

    Français et chrétiens, nous nous réjouissons profondément de la grande victoire démocratique du peuple suisse pour dire non à la multiplication des minarets-baïonnettes dans la confédération helvétique et ce avec un taux de participation exceptionnel.

    Le Premier ministre turc Erdogan ne déclarait-il pas il y a peu :  « Les mosquées sont nos casernes, les citoyens nos soldats, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes » ?

    On se souvient de l'usage atroce de ces baïonnettes dans une indicible cruauté généralisée que fit l'armée turque pour génocider en 1920 99 % des deux millions de chrétiens arméniens, chaldéens et grecs qui avaient réchappé aux tueries antérieures. Le libre pays suisse a résisté aux énormes pressions de tout le système politico-médiatique, capitalo-mondialiste et aussi aux indécentes prises de position des hiérarchies religieuses au sein desquelles l'épiscopat catholique islamo-collaborationniste s'est illustré par sa veule mais très active médiocrité.

    La victoire du peuple suisse constitue encore aussi un révélateur de plus du fossé qui se creuse entre les peuples et les oligarchies financières et idéologiques qui en occupent les gouvernements, les administrations, les médias et même les églises pour broyer les identités nationales et les libertés.

    Le peuple suisse a voté contre une très réelle volonté d'avance impérialiste islamo-turque et pour épargner demain à ses enfants les tragédies du Liban et des Balkans.

    L'évidence démocratique s'impose qu'il faudrait organiser partout en Europe le même référendum. On pourra admettre des minarets dans nos pays le jour où l'on pourra à nouveau bâtir librement des églises et pratiquer la foi chrétienne dans les pays dominés par l'islam, et notamment en Turquie et en Arabie saoudite.

    Pourquoi y a-t-il une grande mosquée à Rome et pas la moindre église à Médine, à La Mecque et dans toute l'Arabie ?

  • La votation qui va ouvrir les yeux

    Les Suisses ont voté oui à 57,5 % pour l'initiative populaire demandant l'interdiction des minarets. Le oui a été majoritaire dans 22 cantons sur 26. Ce score sans appel oblige à inscrire l'interdiction des minarets dans la Constitution fédérale (il y faut la double majorité des votants et des cantons).

    Une fois encore, on voit que lorsque le peuple est consulté pour ce qui relève de son identité et de sa survie, il renverse le politiquement correct et la pensée unique. Toutes les institutions politiques, médiatiques, économiques et religieuses (et leurs sondages) avait fait campagne pour le non. A l'exception, naturellement, de l'UDC, qui avait soutenu l'initiative dès le début. Ce parti qu'on appelle « populiste », voire « d'extrême droite », pour le marginaliser, en espérant faire oublier ainsi qu'il est depuis les dernières élections le premier parti suisse. Or ceci explique en grande partie cela.

    Les réactions sont partout les mêmes : les Suisses ont voté par « peur » et par « ignorance ». Ce qui est grotesque. Ils ont montré au contraire qu'ils n'avaient pas peur de s'opposer à l'Etablissement, et qu'ils avaient une connaissance de l'islam infiniment supérieure à celle des leurs « élites ».

    Ces réactions ne sont toutefois pas unanimes. Et l'on commence déjà à voir que ce référendum est d'une importance capitale. Comme le dit très bien Roberto Calderoli, de la Ligue du Nord :

    "Ce qui semble ressortir du choix du peuple suisse est d'une part le respect de la liberté de religion, de l'autre la nécessité de mettre un frein aux aspects politiques et de propagande liés à l'islam. Cela devrait nous faire réfléchir."

    Si les ténors de la Ligue du Nord sont, sans surprise, très satisfaits du vote suisse, ils ne sont pas les seuls en Italie. Ainsi Riccardo De Corato, maire adjoint de Milan, du parti de Berlusconi : "La très démocratique Suisse a donné aujourd'hui une leçon à l'Italie." Ou le président de la Vénétie, Giancarlo Galan : "Moi aussi j'aurais voté cent fois non".

    Plus intéressantes encore sont certaines réactions allemandes. Critiquer la décision suisse serait contre-productif, avertit Wolfgang Bosbach (CDU), responsable de la commission des affaires intérieures du Parlement. Ce résultat traduit la peur d'une islamisation de la société, et "cette crainte doit être prise au sérieux", dit-il : "Cela fait des années que je constate un grand écart entre l'opinion publique et les autorités" à ce sujet. Pour Manfred Weber, député européen de la CSU, ce résultat traduit également "une incertitude profonde et croissante de la population dans son rapport aux autres religions". Il ne "suffira pas de coller l'étiquette "racisme" sur ce vote", ajoute-t-il. "Il nous faut un débat sur l'identité européenne."

  • Suisse : le président intervient

    Le président de la Confédération suisse est élu pour un an. Il a des fonctions essentiellement représentatives : il fait un discours le 1er janvier et le jour de la fête nationale, et il inaugure les chrysanthèmes. Il n'intervient quasiment jamais dans la vie politique du pays. Or voici qu'il a délivré un message vidéo, pour inciter les Suisses à rejeter le référendum contre la construction de minarets. A croire que le référendum met la patrie en danger...

    « Les musulmans doivent pouvoir pratiquer leur religion et disposer de minarets en Suisse également », dit-il, car « la tolérance religieuse a une longue tradition» dans le pays. Il oublie seulement que l'initiative ne se fonde pas sur un fait religieux mais sur un fait politique. Sur le fait de l'intolérance politique de l'islam.

    Il ajoute que l'appel du muezzin ne retentira pas dans la Confédération, quelle que soit l'issue de l'initiative populaire. Car les dispositions relatives aux nuisances sonores permettent d'interdire tout ce qui pourrait générer du bruit.

    Mais, monsieur le président, si on n'interdit pas les cloches des églises, comment interdirait-on les appels de muezzin ?