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Islam - Page 140

  • Parole du grand mufti

    Le groupe islamiste dit de la Justice, désormais majoritaire au Parlement du Koweït, avait déposé une proposition de loi visant à interdire la construction d’églises. Version mitigée du projet initial du député Osama Al-Munawer, qui voulait aussi démolir les quelques églises existantes.

    Une délégation du Parlement s’est rendue en Arabie saoudite, pour demander l’avis de la principale autorité de la péninsule arabique, le cheikh Abdul Aziz bin Abdullah, grand mufti d’Arabie. La réponse a été claire : « Le Koweït fait partie de la péninsule, par conséquent il est nécessaire de détruire toutes les églises qui s’y trouvent. »

    (Bivouac-ID)

  • Revoilà la CRCF…

    La soi-disant Conférence des Responsables de Culte en France, où siègent deux évêques catholiques, a publié un communiqué pour dénoncer la polémique sur la viande halal. Autrement dit, deux évêques, au nom de l’épiscopat, considèrent que les catholiques doivent manger halal, payer leur écot à l’imam, et se taire : c’est ce qu’on appelle la dhimmitude.

    Le communiqué de la soi-disant Conférence des Responsables de Culte en France évoque plus largement l’élection présidentielle, et donne un certain nombre de priorités, parmi lesquelles ne figurent ni la vie ni la famille.

    Il n’y a toujours aucun évêque pour dénoncer l’infamie de la CRCF, et l’infamie de la participation à cette instance de deux évêques qui prétendent représenter l’ensemble de l’épiscopat et parler au nom de l'Eglise.

  • Bruxelles sur Euphrate

    Une mosquée chiite a été incendiée à Bruxelles, et l’imam a été tué. Des fidèles ont arrêté l’incendiaire : un sunnite.

    C’est pourquoi on n’entend pas les hauts cris dénonçant l’islamophobie devenue meurtrière…

  • Des adolescents assassinés par dizaines en Irak

    Des militants d’ONG dénoncent les meurtres d’adolescents, en Irak, par des commandos chiites, sous prétexte que ces jeunes auraient une allure « emo ». Selon certains, près d’une centaine d’adolescents auraient ainsi été massacrés à coup de blocs de béton.

    Le ministère de l’Intérieur reconnaît quelques cas de meurtres d’adolescents mais dément que le motif soit la mode « emo ». Il rappelle que la Constitution garantit les libertés publiques et met en garde les groupes extrémistes qui s’en prendraient à des personnes en raison de leur coiffure ou de leur apparence.

    Mais, le 13 février, le même ministère de l’Intérieur publiait un long communiqué, qui se trouve toujours sur son site, et qui commençait ainsi :

    « Le directeur de la police des mœurs dépendant du ministère de l’Intérieur a publié une déclaration, disant : “La Police des mœurs enquête sur le “phénomène Emo”, ou culte du diable, et a l’autorisation de l’éliminer aussitôt que possible car il affecte nuisiblement la société et devient un danger.” »

    La police des mœurs a reçu l’autorisation du ministère de l’Education d’entrer dans les écoles de Bagdad pour faire la chasse aux « emos », mais elle se plaint de ne pas avoir assez de femmes dans ses rangs, car « le phénomène est spécialement populaire chez les filles de 14 à 18 ans ».

    Le communiqué se terminait par cette description :

    « Ils portent des vêtements bizarres et serrés avec des dessins de têtes de morts et utilisent des fournitures de papeterie en forme de têtes de morts. Ils portent également des boucles d’oreille sur le nez et la langue, et s’adonnent à d’autres activités bizarres. »

    L’extrême violence contre les jeunes qui suivent cette mode vient en partie du fait que les islamistes assimilent les « emos » aux homosexuels, la mode « emo » voulant que les garçons se maquillent plus ou moins (avec du noir sur les yeux, les cheveux teints en noir avec une mèche sur un oeil) et portent éventuellement des vêtements ou des accessoires de filles.

  • Au Nigeria

    Un nouvel attentat suicide contre une église a fait plusieurs morts et blessés dimanche à Jos pendant la messe. La bombe a explosé avant que le kamikaze entre dans l’église. « Hier matin, les scouts se trouvaient à la porte de la paroisse lorsque la voiture piégée est arrivée avec le kamikaze à son bord. Ils l’ont arrêté et ont commencé à lui poser quelques questions. A ce moment-là a eu lieu l’explosion. Il était 10h 25 et la messe était encore en cours », a raconté à l’Agence Fides Mgr Ignatius Ayau Kaigama, archevêque de Jos.

    L’armée a ensuite tiré sur les gens qui se rassemblaient, ce qui a fait trois autres morts…

    Et il y a eu des représailles dans les quartiers musulmans, qui ont fait à leur tour quelques morts…

    Ce matin, trois autres chrétiens ont été tué, et deux blessés, dans un village près de Jos.

     

  • Un archevêque et l’islam

    Par ce livre en trois parties, l'abbé Guy Pagès se propose de donner aux chrétiens occidentaux, vivant désormais en contact étroit avec les musulmans, une connaissance objective de l'islam, pour leur permettre de répondre comme il le faut à l'apologie musulmane, laquelle n'est pas seulement dans la provocante ostentation vestimentaire d'une tradition coercitive de la femme, ou la floraison de minarets et de mosquées, mais surtout dans la tentative de faire accepter l'idée que chrétiens et musulmans adorent le même Dieu, que nous faisons partie des « religions du Livre » ou choses semblables… Ce relativisme religieux qui s'appuie sur l'ignorance — dont ne semblent pas être exempts tant de prélats catholiques eux-mêmes, sous prétexte d'une certaine « ouverture » et préoccupés de toujours se maintenir islamiquement corrects pour un éventuel dialogue — ouvre en fin de compte la voie pour la conquête musulmane de l'Europe… conquête que Notre Dame des Victoires a empêchée à Lépante (1571). Malheureusement, l'Europe contemporaine a renié l'esprit de Lépante, de Budapest et de Vienne, alors que l'islam a toujours pour vocation de soumettre le monde à Allah, avec des moyens aujourd'hui plus sournois que les armes.

    Mgr Giuseppe Bernardini, archevêque émérite de Smyrne (Izmir, Turquie)

    (Préface au livre de l’abbé Pagès Interroger l’islam)

     

  • Au Pakistan, le blasphème habituel

    Ils sont blessés, souffrent de graves contusions et vivent aujourd’hui cachés, en danger de mort, souhaitant vivement quitter le Pakistan : tel est le sort de Jude Julius, ouvrier catholique de Karachi, au Pakistan, et de son ami, Brian Nadeem. Ils sont accusés de blasphème, parce que (coup hélas classique), Jude a brûlé, à la fin d’un chantier, sur ordre de son chef, des papiers et des cartons, et qu’un musulman a hurlé qu’il brûlait le Coran. Et parce que Brian a reçu chez lui Jude qui avait réussi à échapper à ceux qui le lynchaient. Et tous deux ont ensuite été passés à tabac.

  • Symbole de l’intégration

    Un fast-food halal a été inauguré par Emir Kir, secrétaire d’Etat à l’urbanisme à la région de Bruxelles-capitale. Lequel a déclaré que c’était « le symbole d’une intégration parfaitement réussie ».

    Comme celle d’Emir Kir lui-même, Turc de citoyenneté belge, toujours négateur du génocide arménien.

    (Via F. Desouche, qui fait d’Emir Kir le ministre belge de l’aménagement du territoire, ce qu’il n’est pas. Il n’y a d’ailleurs pas de ministre fédéral de l’aménagement du territoire.)

  • Tunisie : interdire les accusations de blasphème ?

    Face à l’avalanche d’accusations de mécréance et de blasphème lancées tous azimuts par les islamistes, le président tunisien Moncef Marzouki demande au président de l’Assemblée nationale Mustapha Ben Jaafar de « trancher la question à travers l'adoption d'une loi qui incrimine les accusations de blasphème, fait encourir à leurs auteurs des poursuites pénales et préserve la cohabitation, la fraternité et la solidarité entre les Tunisiens ».

    Moncef Marzouki et Mustapha Ben Jaafar sont tous deux de grands médecins libéraux. Nul doute qu’ils s’entendent sur le sujet. Maintenant on va voir la suite… Car ce sont les islamistes qui ont la majorité.