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Climat - Page 11

  • Réchauffement climatique : les 11 erreurs d’Al Gore

    Le gouvernement britannique avait décidé de projeter le film d’Al Gore dans les écoles. Un directeur d’école a attaqué cette décision en justice. Le ministre de l’Environnement s’en est offusqué, en disant que « le débat sur la science est terminé ». Mais la justice, sans aller jusqu’à interdire la projection du film dans les écoles, a exigé que le guide diffusion aux enseignants soit modifié pour mettre en évidence que le film est une œuvre politique qui ne montre qu'un seul point de vue, que si les enseignants présentent le film sans le signaler clairement, ils peuvent se trouver en violation de la section 406 de l' Education Act 199 et coupables d'endoctrinement politique, et que 11 « inexactitudes » doivent être en particulier portées à l'attention des enfants :

    1 Le film prétend que la fonte des neiges sur le Kilimandjaro est une preuve du réchauffement climatique. L'expert du gouvernement a été forcé de reconnaître que cela n'était pas correct.

    2 Le film suggère que les données des carottes glaciaires prouvent que l'augmentation du CO2 entrainait une hausse des températures sur 650.000 ans. La cour considère que le film est trompeur : sur cette période l'augmentation du CO2 était en retard de la hausse des températures de 800 à 2.000 ans.

    3 Le film utilise des images à forte teneur émotionnelles de l'ouragan Katrina et suggère que le réchauffement climatique en est la cause. L'expert du gouvernement a dû accepter qu’il n’est "pas possible" d'attribuer des évènements uniques en leur genre au réchauffement climatique.

    4 Le film montre l'assèchement du Lac Tchad et prétend que cela est une conséquence du réchauffement climatique. L'expert du gouvernement a dû accepter que cela n'était pas le cas.

    5 Le film prétend qu'une étude montre que des ours polaires se sont noyés à cause de la fonte des glaces arctiques. Il s'est révélé que M. Gore a mal lu l'étude ; en réalité quatre ours polaires se sont noyés et cela était dû à un orage particulièrement violent.

    6 Le film annonce que le réchauffement climatique pourrait stopper le Gulf Stream et renvoyer l'Europe à l'âge de glace. Les preuves du plaignant montrent que cela est une impossibilité scientifique.

    7 Le film accuse le réchauffement climatique d'être à l'origine de la disparition d'espèces, dont le blanchissement des récifs coraliens. Le gouvernement n'a pu trouver de preuves pour corroborer cette affirmation.

    8 Le film suggère que la calotte de glace du Groenland pourrait fondre et entraîner une hausse alarmante du niveau des mers. Les preuves montrent que le Groenland ne pourrait fondre avant des millénaires.

    9 Le film suggère que la calotte antarctique est en train de fondre. Les preuves montrent que leur volume augmente.

    10 Le film suggère que les mers pourraient augmenter de 7 mètres, entraînant le déplacement de millions de personnes. Les preuves montrent que la hausse prévue du niveau des mers est de 40 cm sur les cent prochaines années et qu'il n'y a pas de menace d'un déplacement massif de population.

    11 Le film prétend que la hausse du niveau des mers a causé l'évacuation de certaines îles du Pacifique en direction de la Nouvelle-Zélande. Le gouvernement n'a pas été en mesure de corroborer cela, et la cour a noté que cela ressemblait à une fausse affirmation.

    (D’après « le conservateur », qu’on ne peut que remercier d’avoir traduit tout cela et de l’avoir porté à notre connaissance.)

  • Vaclav Klaus a tenu parole

    Comme il l’avait annoncé, le Président tchèque Vaclav Klaus s’est rendu au sommet de l’ONU sur le « réchauffement climatique », et, seul contre tous, il a réaffirmé son scepticisme sur la question.

    La hausse des températures, a-t-il affirmé, est « minime par comparaison historique et pratiquement négligeable en termes d’impact sur les êtres humains ». « La menace hypothétique liée à un futur réchauffement climatique dépend exclusivement de prédictions très spéculatives. » Et il a appelé l’ONU à créer un groupe d’experts parallèle face au « monopole partisan » de l’IPCC. Car, « contrairement à ce qu’affirment beaucoup de proclamations en quête de publicité, il n’y a pas de consensus scientifique sur les causes de certains changements climatiques récents ».

    Rappelons que Vaclav Klaus a écrit un livre sur le sujet : « Une planète bleue, pas verte », opportunément sous-titré : « Ce qui est menacé : le climat ou la liberté ? »

    Y aurait-il un éditeur français qui ait la liberté de le publier ?...

  • Big Brother climatique

    Une équipe de chercheurs, sous la direction d’Anthony McMichael du Centre d’épidémiologie et de la santé des populations de l’université de Canberra, publie dans le revue britannique The Lancet (qui fait autorité) une étude où ils expliquent qu’il faudra limiter la consommation de viande pour lutter contre le réchauffement climatique.

    « Si l’on considère que la population globale va augmenter de 40% d’ici 2050 et si aucune réduction des émissions de gaz à effet de serre liées au bétail n’intervient, la consommation de viande devra baisser à 90 grammes par jour et par personne pour stabiliser les émissions de ce secteur. » Et même à 50 grammes s’il s’agit de viande rouge de ruminants (bœuf, mouton, chèvre) émetteurs de méthane.

    Car 22% des émissions de gaz à effet de serre proviennent du bétail, une proportion similaire à celle du secteur industriel et supérieure à celle des transports.

    Un exemple parmi d’autres de la dictature mondialiste qui se met en place sous couvert de protection de la planète.

    Comme si les vaches avaient attendu le XXIe siècle pour péter...

  • Quand Borloo constate

    Jean-Louis Borloo est allé au Groenland pour « constater » que le réchauffement climatique est plus rapide que prévu.

    Pour ce faire, il a utilisé l’Airbus présidentiel. On constate que ce seul voyage de constatation est responsable de l’émission de 65 tonnes de CO2.

    Avant lui, Angela Merkel était également allée « constater ». Ainsi que le président de la Commission européenne. Ainsi que la présidente du Congrès américain...

  • Merkel au Groenland

    Angela Merkel est partie pour le Groenland, où elle doit, nous dit-on, se rendre compte de visu des conséquences du réchauffement climatique.

    Elle pourra vérifier que la grande île à laquelle les Vikings avaient donné le nom de « pays vert », en raison de sa végétation abondante, est couverte de glace...

  • Vaclav Klaus ira à l’ONU

    Le président tchèque Vaclav Klaus, eurosceptique notoire, est aussi un virulent adversaire des propagandistes du « réchauffement climatique ». Son porte-parole annonce qu’il se rendra à une conférence internationale organisée par l’ONU à New York fin septembre sur le sujet, et qu’il y prononcera un « discours énergique ».

    Vaclav Klaus accuse les « environnementalistes » de propager une idéologie aussi dangereuse que le communisme. Il a écrit un livre, « Une planète bleue, pas verte », en réponse au film d’Al Gore. La semaine dernière, il disait encore sur les ondes de Radio Liberty que la « fausse menace de réchauffement climatique propagée par les gens comme Al Gore est l’une des plus grandes menaces contre la liberté dans le monde, l’une des plus grandes menaces contre une évolution normale de l’humanité ». « Je pense qu’il faut profiter de toutes les possibilités pour briser cette hystérie », ajoutait-il.

  • Réchauffement climatique

    Selon les données de Météo France, la température moyenne en Terre Adélie (Antarctique) a baissé de 0,5° depuis 1980.