Le président tchèque Vaclav Klaus, eurosceptique notoire, est aussi un virulent adversaire des propagandistes du « réchauffement climatique ». Son porte-parole annonce qu’il se rendra à une conférence internationale organisée par l’ONU à New York fin septembre sur le sujet, et qu’il y prononcera un « discours énergique ».
Vaclav Klaus accuse les « environnementalistes » de propager une idéologie aussi dangereuse que le communisme. Il a écrit un livre, « Une planète bleue, pas verte », en réponse au film d’Al Gore. La semaine dernière, il disait encore sur les ondes de Radio Liberty que la « fausse menace de réchauffement climatique propagée par les gens comme Al Gore est l’une des plus grandes menaces contre la liberté dans le monde, l’une des plus grandes menaces contre une évolution normale de l’humanité ». « Je pense qu’il faut profiter de toutes les possibilités pour briser cette hystérie », ajoutait-il.