La grande dépêche de l’AFP de cet après-midi sur la présidentielle, signée de deux grands analystes de la maison, est titrée :
« Issue indécise pour une campagne incertaine. »
Sic.
Autrement dit : prudence est mère de sûreté...
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La grande dépêche de l’AFP de cet après-midi sur la présidentielle, signée de deux grands analystes de la maison, est titrée :
« Issue indécise pour une campagne incertaine. »
Sic.
Autrement dit : prudence est mère de sûreté...
A voir absolument, à faire voir, à diffuser partout, le superbe clip « Le Pen à l’Elysée »,
sur le site du Front national.
N.B. Selon mes informations, ce clip a été réalisé par deux jeunes bénévoles. A comparer avec les clips réalisés à grands frais par des agences internationales pour les candidats du système.
Le chef du groupe parlementaire du PiS, Marek Kuchcinski, a déploré le départ de Marek Jurek et de quatre députés en ces termes : « C’est une nouvelle désagréable. Un groupe de députés du PiS ont annoncé leur départ, alors que ce parti s’est employé depuis des années à unir la droite. La politique de notre parti et celle de la coalition gouvernementale peut en être affaiblie, avec ce signal que la droite est à nouveau divisée. »
Mais Marek Jurek a tenu à rassurer sur ses intentions : « Nous coopérerons avec le PiS, c’est notre partenaire naturel. Mais la réalisation de nos aspirations butait sur des obstacles et nous voulons agir de façon autonome. » Il a précisé : « Notre parti sera engagé dans la défense de la vie et des droits de la famille. Nous œuvrerons en faveur du caractère chrétien de la coopération européenne. »
Selon lui, beaucoup de députés « s’intéressent » à sa démarche. Mais, en dehors des questions de personnes, on ne voit guère ce qui distingue les orientations de son nouveau parti, qui n’a pas encore de nom, de celles de la Ligue des familles polonaises de Roman Giertych, qui participe également à la coalition gouvernementale.
La presse turque rapporte que les trois personnes assassinées dans une maison d’édition chrétienne, à Malatya, dans l’est du pays, ont non seulement été égorgées, mais torturées. Le médecin qui a opéré l’une des trois victimes, qui n’était pas encore morte, explique : « Sa cuisse, ses testicules, son anus et son dos avaient été tranchés de dizaines de coups de couteau. Ses doigts avaient été coupés jusqu’à l’os. C’est clair que ces blessures ont été infligées pour le torturer. »
D’autres témoignages révèlent que les trois hommes se sont vu infliger un supplice de près de trois heures par leurs cinq tortionnaires, et que ceux-ci s’intéressaient exclusivement à leurs activités de « missionnaires évangélistes ».
A Bruxelles, un député européen allemand et socialiste d’origine turque, Vural Oger, a osé dire que « l’attitude ambiguë de l’Union européenne » vis-à-vis de la Turquie expliquait ce triple meurtre. Cette ambiguïté dans les négociations d’adhésion, a-t-il dit, a provoqué « une réaction dans la population turque » et « causé un problème d’identité en Turquie ». « La bourgeoisie turque devient de plus en plus nationaliste et la population rurale de plus en plus islamiste. » Et d’insister : « L’Union européenne doit être consciente de sa responsabilité. »
Ces propos ne sont pas seulement ignobles et insupportables. Ils sont absurdes. Les négociations avec l’Union européenne n’ont rien à voir dans la remontée du nationalisme et de l’islamisme turcs. La Turquie revient tout simplement à son national-islamisme d’avant Mustapha Kemal, dont le laïcisme occidental artificiellement imposé à la société turque s’est estompé jusqu’à disparaître (en dehors de l’armée) comme les observateurs le soulignent depuis des années. Et dans l’est de la Turquie , on ne sait même pas ce qu’est l’Union européenne.
Ou alors, c’est que le génocide arménien et le génocide assyro-chaldéen sont aussi de la faute de l’Union européenne...
Voici quelques extraits du discours de Jean-Marie Le Pen à Nice, hier soir.
Une grande vague nationale va se lever et balayer l'oligarchie en place qui a trahi les Français sans scrupules ni remords. La comédie est finie, car si le peuple l'a supportée pendant plus de trente ans, sa capacité de résistance est atteinte, a-t-il averti. Assez de cette politique du mensonge et de l'échec !
Avec Sarkozy, Bayrou, Royal, on prend les mêmes et on recommence. C'est justement ce que les Français ne veulent plus. Vous avez méprisé les citoyens, galvaudé la République, vous avez aboli la peine de mort contre le vœu des électeurs et écarté près de la moitié des Français de toute représentation parlementaire, vous avez bradé la Nation en acceptant qu'elle disparaisse dans le grand magma européen. Tout ce qui faisait notre bonheur d'être français, notre gloire aussi, vous l'avez brisé, jeté aux orties de la mondialisation et de la repentance.
A les entendre ils sont tous patriotes, tous sauveurs des travailleurs et des retraités, tous défenseurs de la veuve et de l'orphelin, tous amis des paysans...C'est la fameuse rédemption électorale, celle qui veut transformer ces vieux chevaux de retour de la politique en perdreaux de l'année... C'est le requin aux dents qui rayent le plancher qui endosse son costume de petit poisson rouge. C'est la mue de la coquine en rosière et du maquignon en saint Jean Bouche d'Or... Mais c'est nous qui avons l'honneur de porter le drapeau national, qui l'avons défendu en toutes circonstances.
Ségolène, c'est le socialisme à visage câlin, mais, soyons sérieux, comment pourrait-elle mener à bien la reconstruction de la France dans la période hautement critique qu'elle traverse, alors qu'elle ne parvient pas à coordonner ses propres équipes ? Comment peut-elle mettre en place l'ordre juste alors que le désordre règne chez elle, et que l'injustice n'a jamais autant progressé que lorsque le PS était aux affaires, et surtout dans les affaires ?
François Bayrou n'est pas le chevalier blanc qu'il prétend être, il ne s'est illustré que comme piètre ministre de l'Education nationale. Aujourd'hui, il parle à l'oreille des chevaux qui, heureusement, ne votent pas. Il prétend créer un grand parti démocrate avec l'appui de Rocard, l'ancien porteur de valises du FLN, et de l'ineffable Dr Kouchner, porteur télévisé des sacs de riz humanitaires. Il ne veut ni ne peut rien dépasser du tout. Il veut prendre les mêmes de gauche, prendre les mêmes de droite et avec eux lancer une expérience politique nouvelle. Bayrou a inventé l'improbable quadrature du centre.
Nicolas Sarkozy, lui, change d'idée comme de chemise, entraînant la campagne dans un tourbillon sans fin d'idées et de principes contradictoires. On le croyait attentif aux problèmes de l'immigration et de l'identité nationale, le voilà qui se réclame d'une France métissée. Il mêle à l'affaire sa propre trajectoire de candidat de l'immigration. Il a une candidature globalisée, alternativement candidat de la gauche, du centre et de la droite. Ce qui sied bien à cet apôtre permanent de la mondialisation.
Il y a un autre avenir, une autre politique que celle de Sarkozy, une autre espérance. Oui, je suis fier de vous mener à la victoire car je sens le changement pointer à l'horizon comme un signe du ciel. Oui, la comédie est finie, il est temps de sortir de l'égout.
S'il est une grande cause politique nationale aujourd'hui, une priorité absolue, c'est que je sois présent les 22 avril et 6 mai prochains au grand rendez-vous de l'élection présidentielle.
Au Benedictus :
« Elles vinrent au tombeau, Marie-Madeleine, et l’autre Marie, pour voir le sépulcre, alléluia. »
Au Magnificat, c’est l’antienne des docteurs de l’Eglise, car ce sont les premières vêpres de saint Anselme :
« O docteur excellent, lumière de la sainte Eglise, saint Anselme, amoureux de la loi divine, prie pour nous le Fils de Dieu. »