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Rechercher : perpétuel secours

  • Notre Dame du Perpétuel Secours

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    Cette fête n’est pas inscrite au calendrier romain. Elle est célébrée en l’église Saint Alphonse de Liguori à Rome, et partout où opèrent des rédemptoristes (voir par exemple ici au Brésil). (La messe figure dans le missel de 1962 "pro aliquibus locis" et peut donc être célébrée par tout prêtre qui le souhaite.)

    Cette année elle est revêtue d’un lustre particulier chez les rédemptoristes, parce que ce 27 juin marque le début de l’année jubilaire marquant le 150e anniversaire de la restauration de l’icône. Et en outre ça tombe un samedi, jour de la Sainte Vierge.

    Le 11 décembre 1865, Pie IX confiait cette icône – quelque peu oubliée - au supérieur général des rédemptoristes de l’époque, le Père Nicholas Mauron, l’exhortant à « la faire connaître dans le monde entier ». Depuis le 26 avril 1866, après restauration, elle est exposée au culte des fidèles en l’église Saint Alphonse de Rome. Grâce à l’action des missionnaires, cette dévotion s’est répandue dans le monde entier. Même paraît-il dans les Eglises orientales y compris orthodoxes.

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  • Notre Dame du perpétuel secours

    Selon les rubriques de 1960, les messes « in aliquibus locis », qui étaient autrefois réservées aux lieux où les autorités les permettaient, peuvent être célébrées partout. Or le 27 juin la fête « en certains lieux » de Notre Dame du perpétuel secours ne vient en occurrence avec aucune fête du calendrier.

    Notre Dame du perpétuel secours, c’est d’abord une icône, dont on trouvera le résumé de l’histoire ici.

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    Cette icône crétoise de la fin du XVe siècle est peut-être la première des icônes dites Notre Dame de la Passion. Elle est fondée sur celle de la Vierge hodigitria, « qui montre le chemin » : elle tient Jésus sur son bras gauche, et en regardant le spectateur elle montre Jésus de son bras droit : c’est lui le chemin. (C'est l'icône traditionnellement attribuée à saint Luc.)

    Ici, Jésus tient la main de sa mère, et au lieu d’être de face il regarde en arrière. Ce qu’il voit lui a fait peur et il a couru vers sa mère, si vite qu’il en perd une sandale (ce qui fait partie du canon de l’icône). Cela nous parle en fait de Gethsémani. Jésus est confronté à sa Passion. Car les archanges, qui sont simplement en gloire dans les icônes Hogiditria, présentent ici à Jésus les instruments de sa Passion. Michel, à gauche, tient l’urne de vinaigre, le roseau et la lance. Gabriel, à droite, porte la croix et les clous.

    Marie regarde le spectateur, comme toujours, pour lui dire que ce que montre l’icône le concerne. Ici, nous sommes appelés à entrer dans la contemplation de la Passion. Et la sandale n’est pas anecdotique : on enlevait sa sandale pour exercer son droit de rachat (voir Ruth 4). Et c’est bien ce que Jésus est venu faire : racheter les hommes. Le droit de rachat s’exerçait sur le plus proche : nous sommes tous les plus proches du Verbe qui s’est fait homme.

    La main de Marie reste ouverte : nous aussi nous pouvons accourir vers elle, car chez elle est le perpétuel secours.

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  • Notre Dame du Perpétuel Secours

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    Venue de Crète à la fin du XVe siècle, cette icône de la Mère de Dieu de la Passion (avec les anges qui présentent les instruments de la Passion à l’enfant Jésus) fut installée au-dessus du maître autel de l’église Saint-Matthieu de Rome. Elle devint rapidement célèbre par les miracles qui se produisaient. En 1798, les troupes françaises envahirent Rome et détruisirent plusieurs églises, dont Saint-Matthieu. L’icône fut sauvée par des religieux augustins qui la placèrent dans une chapelle où elle tomba dans l’anonymat. Vers 1840, un vieil augustin confia à son jeune servant de messe, Michele Marchi, que cette icône avait été célèbre et vénérée sous le nom de Notre Dame du Perpétuel Secours. En 1854, les rédemptoristes édifient sur le site même de l’ancienne église Saint-Matthieu une nouvelle église pour abriter les reliques de saint Alphonse de Liguori, canonisé en 1839. Michele Marchi, devenu rédemptoriste, parle de l’icône qui se trouvait là. Pie IX demande aux augustins de remettre l’icône aux rédemptoristes pour qu’elle revienne à sa place. Le transfert a lieu au cours d’une grande procession, le 26 avril 1866, marquée par deux guérisons spectaculaires. Pie IX charge les rédemptoristes de répandre la dévotion à Notre Dame du Perpétuel Secours. L’icône a été restaurée en 1990.

    Dómine Iesu Christe, qui Genetrícem tuam Maríam, cuius insígnem venerámur imáginem, Matrem nobis dedísti perpétuo succúrrere parátam : concéde, quǽsumus ; ut nos, matérnam eius opem assídue implorántes, redemptiónis tuæ fructum perpétuo experíri mereámur.

    Seigneur Jésus-Christ, en Marie, votre Mère, dont nous vénérons l’insigne image, vous nous avez donné une Mère prête à nous secourir perpétuellement : faites, nous vous en prions, qu’implorant assidûment son assistance maternelle, nous méritions de goûter perpétuellement le fruit de votre rédemption.

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  • Notre Dame de Bon Secours

    Aujourd’hui en certains lieux on célèbre Notre Dame de Bon Secours. Le culte de Marie sous ce nom (du moins sous le nom de Madonna del Soccorso) est né en Sicile en 1306, suite à une apparition de la Vierge à un moine augustinien. Elle s’est répandue dans toute l’île, puis en Italie. Toutefois en Sicile la fête est en août. Dans le reste de l’Italie elle est à divers jours du mois de mai, ou en juillet, ou en septembre… et elle peut avoir d’autres origines. Ainsi à Cori dans le Latium, elle commémore l’apparition de Marie à une petite fille en 1521.

    En Lorraine, la fête de ce jour renvoie à la victoire à Nancy du duc René II contre Charles le Téméraire en 1477. René II fit construire une chapelle votive et y plaça une statue de la Vierge de Miséricorde (qui abrite sous son manteau de nombreux personnages qui représentent toute la chrétienté), et cette représentation est appelée Vierge de Bon Secours.

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    Mais dans les Ardennes, à Neuvizy, on commémore en ce jour la découverte en 1752 par huit enfants de la paroisse, d’une statuette de la Sainte Vierge qui s’avéra miraculeuse et qu’on appela Notre Dame de Bon Secours…

    Il y a à Palerme, dans l’église Saint-Augustin qui fut le lieu de l’apparition de 1306, une curieuse icône siculo-byzantine qui est appelée « Madonna del Soccorso ». Il ne faut pas la confondre avec l’icône de Notre Dame du Perpétuel Secours, dont la fête est le 27 juin… mais l’on remarque que dans les deux icônes la position des personnages est la même.

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  • Centrafrique: nouvel appel au secours

    Exécutions sommaires, violences sexuelles, attaques ciblées selon l’appartenance religieuse et ethnique, arrestations de partisans de l’opposition et de leurs familles, actes de torture, disparitions, recrutement d’enfants soldats, pillages à grande échelle : tels sont les crimes commis sur le territoire de la République centrafricaine par les islamistes de la Séléka qui ont pris le pouvoir à Bangui, et qui sont dénoncés dans un appel signé par une série de groupes de la société civile, dont le Secours Catholique/Caritas France.

    « Des organismes des Nations unies, quelques ONG et les Eglises essaient de faire face à la détresse de la population qui manque de tout : soins de santé, alimentation… Dans presque tout le pays, les écoles sont fermées. Bangassou, dans l’est du pays, n’est plus ravitaillée que par les vols humanitaires : plus d’eau, plus de carburant, donc plus d’électricité. »

    « La Centrafrique va-t-elle devenir la Somalie de l’Afrique centrale ? Ce no man’s land institutionnel pourrait bien attirer les terroristes du Nigeria et du Mali, ou encore l’Armée de libération du Seigneur, qui trouveraient facilement refuge dans ce pays de 4,5 millions d’habitants sur 650.000 km2. »

    Les signataires demandent « à la France et aux pays européens, mais aussi aux instances africaines, de revoir leurs positions. »

  • La parité au secours de la dhimmitude

    Le maire de Sochaux refuse de marier un couple de musulmans, parce que la jeune femme refuse de retirer son voile. Or l’officier d’état civil a l’obligation de vérifier l’identité des futurs époux, d’après la carte d’identité où l’on est tête nue.

    Le maire, refusant de céder, a suggéré au couple de porter l'affaire devant le tribunal administratif, ou d'aller se marier dans une autre commune.

    Finalement, un « compromis » a été trouvé : c'est une adjointe qui procèdera au mariage, et la future épouse accepte de se dévoiler devant une femme.

    Autrement dit, heureusement qu’il y a des femmes en politique. Et aujourd’hui la parité permet que les municipalités laïques respectent partout les règles de l’islam.

    (vu sur France 3, via Bafweb)

  • Malte appelle de nouveau au secours

    « Toujours plus de réfugiés viennent chez nous, nous avons d’énormes problèmes... Il est impossible pour nous de fournir des hébergements pour les réfugiés, de leur proposer une formation. Il est impossible de les intégrer plus tard dans notre société. » Tel est le cri d’alarme du Premier ministre de Malte, Lawrence Gonzi, dans un entretien à la presse allemande. Quelque 2.000 immigrants clandestins arrivent à Malte chaque année : « c’est un chiffre très très élevé par rapport à notre population » de 400.000 habitants, souligne Lawrence Gonzi, qui en appelle de nouveau à la « solidarité européenne », pour que les différents pays de l’UE se répartissent les demandes d’asile et aident à l’expulsion des clandestins. « Il ne s’agit pas seulement de Malte mais de l’avenir de l’Union européenne », souligne-t-il.

    Malte avait déjà formulé cette demande, mais s’était heurtée au refus de plusieurs « partenaires », dont l’Allemagne qui présidait l’UE au dernier semestre. Le gouvernement maltais espère être entendu par la nouvelle présidence portugaise...

    Mais la « solidarité européenne », en la matière, c’est chacun se débrouille avec ses clandestins, surtout les pays qui sont à la frontière extérieure de l’UE et que Bruxelles laisse totalement démunis, car l’idéologie européiste est qu’il ne doit pas y avoir de frontières, quelles qu’elles soient. Jusqu’ici, la réponse à Malte n’a pas été seulement une fin de non-recevoir, mais aussi des admonestations pour non-respect des droits de l’homme...

  • La dérive sans fin du Secours dit catholique

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    Eh bien non, quand on se dit catholique, on ne partage pas la foi dans le Coran qui prétend que les chrétiens ont falsifié l’Evangile, que Jésus n’était qu’un prophète, et que le jihad contre les infidèles est une obligation pour tout musulman, notamment contre ceux qui donnent des associés à Allah, autrement dit à ceux qui croient en la Sainte Trinité.

    L’oie blanche en couverture ferait bien de se renseigner sur ce qu’il y a derrière le grand sourire de l’Africaine…

  • Invasion migratoire : le Secours populaire, débordé, la reconnaît...

    phpQn3yXsPM.jpg« Malgré leur engagement, nos bénévoles n'arrivent plus à faire face, explique Stéphane Lepage, secrétaire général départemental du Secours populaire. Ils n'ont presque plus rien à distribuer. La demande explose depuis le début de l'année ».

    « 700 nouveaux foyers ont fait appel à nous », le nombre de repas fournis est passé de 1.700 au premier trimestre 2009 à près de 5.000 sur la même période en 2010. « Les travailleurs pauvres et les jeunes sont de plus en plus nombreux à passer les portes de notre association, explique Stéphane Lepage. C'est tout le tissu associatif angevin qui est à bout de souffle. » La ville cumule les difficultés. À la hausse de la précarité, présente sur tout le territoire, s'ajoute l'afflux de demandeurs d'asile, principalement originaires d'Érythrée et du Soudan. « Une situation qui rappelle ce qui s'est passé à Sangatte », indique le président du SPF, Julien Lauprêtre. Alerté dès novembre 2009 par Stéphane Lepage, l'État n'a pris aucune mesure particulière alors que les migrants étaient de plus en plus nombreux. Rachida Ouattara, directrice de l'Aptira, association d'aide aux migrants reproche à la « préfecture de ne pas remplir sa mission. Joint hier Richard Samuel préfet du Maine-et-Loire envisage certes une hausse des aides (!) ».

    C'est donc le Secours populaire, organisation proche du Parti communiste qui lève involontairement le voile sur la politique de dissimulation mise en place par l'État, dans un article publié par l'Humanité ! Aujourd'hui le centre de Sangatte est fermé, parce qu'il était trop voyant, mais il y a 3 ou 4 fois plus de « réfugiés » répartis sur tout le quart nord-ouest de la France. Les élus du Front National avaient déjà dénoncé la supercherie à Blois, victime il y a quelque temps d'un afflux de « réfugiés » (photo).

    (FN41)

  • La Turquie au secours de l’Etat islamique

    Le 24 juillet, la Turquie annonçait une curieuse « guerre contre le terrorisme » visant conjointement l’Etat islamique et le PKK.

    L’agence gouvernementale Anatolie dresse le bilan des deux semaines de raids sur des bases du nord de l’Irak : environ 390 combattants du PKK ont été tués, dont au moins quatre dirigeants, et 400 autres blessés.

    Et contre l’Etat islamique ? Il y a eu officiellement… trois raids. Et Anatolie n’en fait même pas état…

    C’est donc la preuve, si besoin était, que la Turquie continue de soutenir l’Etat islamique, et activement, en combattant les Kurdes en Irak. Là où sont réfugiés les chrétiens…

    Le 5 août, l’évêque chaldéen d’Amadiyah et Zakho, Mgr Rabban al Qas, se plaignait que les raids aériens turcs semaient la panique chez les réfugiés chrétiens.

    Double jeu et schizophrénie : hier on a appris que, suite à un accord avec le gouvernement turc, les Américains déployaient six F16 sur la base turque d’Incirlik pour combattre l’Etat islamique…