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Rechercher : perpétuel secours

  • Oman au secours de la mosquée de Roissy-en-Brie

    « Située à 25 km de Paris, au cœur de la Seine-et-Marne, la commune conjugue les atouts d'une petite ville briarde et les plaisirs de la campagne », lit-on sur Wikipedia. Mais Roissy-en-Brie c’est aussi une association musulmane qui avait décidé de construire une méga-mosquée, d’un coût estimé à 2,6 millions d’euros.

    La « première pierre » (en fait quatre briques) avait été posée le 5 juin 2010 par le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti, Mohammad Nasereddine, Chantal Brunel et Sylvie Fuchs.

    « Un cas d’école », avais-je alors expliqué dans Daoudal Hebdo.

    Le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti était un Kurde syrien, directeur du département des croyances et religions de la faculté de la charia de Damas, auteur d’une quarantaine de livres, qui était déjà venu le 10 janvier pour le « lancement du projet de construction » de la mosquée, en compagnie du président du CFCM Mohammed Moussaoui et du recteur de la Grande Mosquée de Paris Dalil Boubakeur. (On en parle désormais au passé car il a trouvé la mort dans l’attentat du 21 mars 2013 contre la mosquée al-Imane de Damas, qui fit 50 morts.)

    Mohammad Nasereddine est le président de l’association musulmane locale, qui veut une super grande mosquée.

    Chantal Brunel est le député UMP de la circonscription, secrétaire nationale de l’UMP. Elle dit ouvertement qu’une partie de sa « réserve parlementaire » va à l’association des musulmans de Roissy-en-Brie. Sur son blog, elle parlait du « Grand Savant El Sheikh Mohamad Saïd Ramadan EL BOUTI », qu’elle avait eu l’honneur de rencontrer le 10 janvier et auquel elle s’adressait le 5 juin. (Mentions supprimées de son blog après la publication par l’Observatoire de l’islamisation de la définition du jihad par le Grand Savant dans un de ses livres traduits en français.)

    Sylvie Fuchs est le maire communiste de Roissy-en-Brie. Elle a baissé le prix du terrain de 10%.

    Il convient d’ajouter que le conseil général a accordé une subvention de 185.000 €, le maximum autorisé pour un « centre culturel », et que le conseil régional (où siège Chantal Brunel) y est aussi allé de sa subvention.

    Le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti avait donné de l’argent, ainsi que de fortunés anonymes du côté du Golfe.

    Mais cela était loin de faire le compte. Et cette année, faute d’argent, les travaux ont dû s’arrêter.

    Or, miracle. Le sultanat d’Oman vient de verser 1,8 million d’euros. Et les travaux ont pu reprendre… A la grande satisfaction de l’UMP Sylvie Brunel, de la communiste Sylvie Fuchs, et de toute la communauté dhimmie de Seine-et-Marne.

  • SOS Racisme, le Mrap et la Licra au secours de l’islamisme

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    La Licra a demandé l'interdiction de cette affiche, collée initialement à Marseille. Elle a été déboutée par le tribunal de grande instance de Marseille, qui a invoqué la nullité de l'assignation devant cette juridiction en raison de la domiciliation de la Licra.

    Le Mrap a demandé hier au tribunal de Nanterre d'interdire les mêmes affiches. Le tribunal rendra sa décision vendredi. A l'audience, l'avocat du MRAP, Me Khaled Lasbeur, a évoqué un risque d'"émeutes", de "manifestations" et d'"effusions de sang", si les affiches ne sont pas retirées. Sic.

    SOS Racisme, associée au journaliste et écrivain algérien Mohamed Sifaoui, a engagé une action pénale contre Jean-Marie Le Pen, au motif que l'affiche serait "raciste". L'audience aura lieu le 6 mai.

    D'autre part, l'Algérie a protesté "officiellement" auprès de la France contre cette affiche du FN, selon le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci. "C'est à l'Etat français de prendre les dispositions qui s'imposent lorsque des symboles de pays étrangers sont mis à genoux", a-t-il dit.

    "Nous déplorons avec force l'usage indigne et dégradant d'un drapeau national à des fins électoralistes", a déclaré aujourd'hui le ministère français des Affaires étrangères lors de son point de presse régulier. Il a jugé "légitimes" les protestations d'Alger "quant à l'usage extrêmement choquant qui est fait du drapeau algérien".

  • Talabani et Tarek Aziz

    Dans un premier temps, l’agence Reuters annonçait que le président irakien Djalal Talabani avait dit : « Non, je ne vais pas signer l'ordre d'exécution à l'égard de Tarek Aziz et je ne vais pas signer un ordre de ce genre parce que je suis socialiste. »

    Le motif était (et reste) surréaliste. Personne au Proche Orient de prend de décision en se réclamant de principes « socialistes ». Talabani est socialiste comme Walid Joumblatt au Liban : il est un chef de clan qui a voulu recevoir une reconnaissance internationale en affiliant son « parti » à l’internationale socialiste.

    Ensuite ont été répercutés des propos complémentaires de Talabani : « Je compatis avec Tarek Aziz, car c'est un chrétien irakien; et c'est en outre une personne âgée qui a plus de 70 ans. C'est pourquoi je ne signerai jamais cet ordre d'exécution (…) La page des exécutions (...) doit être tournée, sauf concernant les crimes perpétrés dans la cathédrale du Notre-Dame du Perpétuel secours et les crimes contre les pèlerins chiites et les lieux saints (…) Nous avons une politique de clémence, de pardon et de réconciliation nationale. Nous devons minimiser ce genre d'ordre d'exécution. »

    Ce n’était pas gagné d’avance. Car lorsque Talabani et son frère ennemi Barzani se faisaient la guerre, Saddam Hussein avait envoyé des troupes soutenir Barzani. Et lorsque l’accord d’autonomie du Kurdistan a été signé (en 1970), ce fut au détriment de Talabani. Mais les Etats-Unis ne veulent sans doute pas, pour leur image internationale, que Tarek Aziz soit exécuté.

  • Au Niger

    Témoignage du P. Mauro Armanino, de la Société des Missions africaines. Après avoir relaté les dernières attaques islamistes en date dans le territoire Gourmantché, qui ont pour but de faire fuir les chrétiens, il écrit :

    Les djihadistes ont invité les habitants à pratiquer ce que, selon eux, affirme le prophète de l’islam : pas de fêtes, d’alcool, de tabac, de coupes d’arbres, d’écoles occidentales et de chrétiens. Les femmes revêtiront le voile et cela les protégera de tout abus et ainsi seront protégés les enfants. Seront épargnés de la destruction les centres sanitaires ou dispensaires dans la mesure où ils affirment qu’en soignant et nourrissant les enfants, se prépare l’avenir de l’islamisation.

    Une dictature appelée djihad s’est installée, laquelle reconfigure les styles de vie, les options, les choix quotidiens et surtout fait régner la peur comme condition pour atteindre l’objectif fixé depuis l’enlèvement du Père Maccalli : éradiquer la présence chrétienne du sol du peuple Gourmantché. Les djihadistes présents sur zone, d’ethnie Foulani, parlent le fulfulde, langue que tous comprennent au sein de la zone, qu’il s’agisse des agriculteurs ou des bergers, dans la mesure où ils ont eu des contacts et des conflits constants.

    En ce qui concerne l’Etat, peu visible dans les campagnes où vivent les pauvres paysans de seconde catégorie, il avait disparu avant même que tout cela n’arrive. Absent auparavant, absent maintenant, bien que les militaires ne soient pas loin des zones citées. Nous nous trouvons à un peu plus de 100 Km de Niamey, la capitale du pays, où se trouve la Cathédrale dédiée à Notre-Dame du Perpétuel Secours.

    Confirmation, si besoin était, qu’il s’agit bien de jihad et non de conflits tribaux comme le font croire les agences de presse.

     

  • De la férie

    On peut fêter aujourd’hui Notre Dame du Perpétuel Secours, ou saint Joseph Cafasso, qui ne figure pas au martyrologe mais dans le supplément du missel de 1962.

    Le martyrologe de ce jour commence ainsi :

    En Galatie, saint Crescent, disciple du bienheureux apôtre Paul. Passant dans les Gaules, il convertit par sa prédication un grand nombre d'infidèles à la Foi du Christ ; retournant ensuite vers le peuple auquel il avait été spécialement donné pour évêque, il affermit les Galates dans l'œuvre du Seigneur jusqu'à la fin de sa vie, qu'il termina sous Trajan par le martyre.

    Curieusement, le martyrologe du 29 décembre dit :

    A Vienne, en Gaule, la commémoraison de saint Crescent, évêque et martyr, disciple du bienheureux Apôtre Paul et premier évêque de Vienne. Son anniversaire est célébré le 5 des calendes de juillet [à savoir le 27 juin].

    Il s’agit bien du même Crescent, mais d’un côté évêque et martyr en Galatie, de l’autre en Gaule… et premier évêque de Vienne, conformément au fait que de nombreux diocèses voulaient ajouter à leur prestige d’avoir été fondés par un disciple de saint Paul ou de saint Pierre. Or dès le IVe siècle l’archidiocèse de Vienne était extrêmement important, puisqu’il avait quatre diocèses suffragants, de Valence à Genève. Et il était le plus ancien de Gaule, mais sans pouvoir sérieusement remonter à saint Paul.

    Il est resté que Crescent disciple de saint Paul serait venu en Gaule. Selon une traduction de la seconde épître de saint Paul à Timothée.

    Paul écrit que Démas est parti pour Thessalonique, Crescent pour la Galatie, Tite pour la Dalmatie.

    Mais deux des plus importants manuscrits, le Sinaiticus (n°1) et le codex Ephrem rescriptus (n°4) n’ont pas Galatia : ils ont bel et bien Gallia. Un texte qui est d’autre part attesté par deux anciens historiens de premier plan : Théodoret de Cyr et Eusèbe de Césarée, et par l’évêque de Salamine Epiphane dans son livre contre les hérésies. En outre dans certains textes grecs Galatia désigne la Gaule. Et, bien entendu, la « Vulgate de Stuttgart », qui cherche toujours à se distinguer de la Vulgate traditionnelle, a choisi Gallia.

    On remarque que le martyrologe garde les deux : Crescent va d’abord en Gaule, puis en Galatie… ou l'inverse...

  • Mettre fin aux sanctions contre la Syrie

    Des évêques, des religieux et religieuses de Syrie ont lancé une pétition sur change.org Basta sanzioni alla Siria (les sanctions contre la Syrie, ça suffit), adressée « aux parlementaires et aux maires de tous les pays » afin qu’ils fassent connaître « l’iniquité des sanctions contre la Syrie aux citoyens de l’Union européenne ».

    Les premiers signataires de la pétition sont Mgr Georges Abou Khazen, vicaire apostolique d’Alep pour les catholiques de rite latin, Mgr Joseph Tobji, archevêque maronite d’Alep, le Père Pierbattista Pizzaballa, Custode de Terre Sainte, Mgr Boutros Marayati, archevêque arménien catholique d’Alep, les moniales trappistines de Syrie, les religieuses de la Congrégation du Perpétuel Secours, celles de la congrégation de Saint Joseph de l’Apparition – présentes à l’hôpital Saint Louis d’Alep – et Mgr Jean Clément Jeanbart, archevêque grec-catholique d’Alep.

    Extraits :

    En 2011, l’Union européenne a pris des sanctions contre la Syrie, les présentant comme des sanctions contre des personnages du régime, qui imposaient au pays un embargo pétrolier, le blocage de toute transaction financière et l’interdiction de commercer de très nombreux biens et produits. Cette mesure dure encore aujourd’hui même si, par une décision tout aussi inexplicable, en 2012, l’embargo sur le pétrole a été levé dans les zones contrôlées par l’opposition armée et jihadiste, dans le but de fournir des ressources économiques à celles qui ont été dénommées « forces révolutionnaires de l’opposition.

    Au cours de ces cinq années les sanctions contre la Syrie ont contribué à détruire la société syrienne, la condamnant à la faim, aux épidémies, à la misère, en favorisant l’activisme des milices combattantes intégristes qui frappent aujourd’hui également en Europe.

    Aujourd’hui, les Syriens voient la possibilité d’un avenir vivable pour leurs familles seulement en fuyant de leur terre mais la fuite ne peut être la seule solution que la communauté internationale sache proposer à ces pauvres gens.

    Nous soutenons toutes les initiatives humanitaires et de paix que la communauté internationale met actuellement en œuvre, en particulier au travers des difficiles négociations de Genève, mais dans l’attente et dans l’espoir que les attentes trouvent une réponse concrète, après tant de déceptions amères, nous demandons que les sanctions qui touchent la vie quotidienne de chaque Syrien soient immédiatement levées. L’attente de la paix tant attendue ne peut être dissociée de la préoccupation concrète pour ceux qui aujourd’hui souffrent à cause d’un embargo dont le poids tombe sur un peuple tout entier.

    En outre, la rhétorique sur les réfugiés fuyant la guerre semble hypocrite si, en même temps, on continue d’affamer, d’empêcher de soigner, de refuser l’eau potable, le travail, la sécurité, la dignité à ceux qui restent en Syrie.

    Donc, nous nous tournons vers les parlementaires et les maires de tous les pays afin qu’ils fassent connaître l'iniquité des sanctions contre la Syrie aux citoyens de l'Union européenne (qui en sont aujourd’hui totalement inconscients) et qu’elles deviennent, enfin, l'objet d'un débat sérieux, avec les conséquences qui en découlent.

  • Pause

    D'une dizaine de jours.

     

    N.B. - A propos du Salon Beige voir ici, et son site de secours.

  • Saint Vincent de Paul

    Vincent de Paul, Français de nation, naquit à Pouy près de Dax en Aquitaine. Encore enfant, il montrait déjà une grande charité pour les pauvres. D'abord pâtre du troupeau de son père, il étudia ensuite les lettres humaines à Dax, puis à Toulouse et à Saragosse la science sacrée. Ordonné prêtre et fait bachelier en théologie, il fut pris par les Turcs qui l'emmenèrent en Afrique ; mais dans sa captivité, il reconquit au Christ son maître lui-même. S'échappant donc avec lui des rives  barbaresques par le secours de la Mère de Dieu, il entreprit un voyage aux tombeaux des Apôtres ; d'où revenu en France, il gouverna très saintement les paroisses de Clichy d'abord et ensuite de Châtillon. Promu par le roi grand aumônier des galères de France, on le vit déployer un zèle admirable pour le salut des chefs et des forçats. Saint François de Sales le donna pour supérieur aux religieuses de la Visitation; et pendant quarante ans environ qu'il exerça cette charge, il le fit avec tant de prudence qu'il justifia pleinement le jugement du saint évêque, lequel avouait ne connaître point de plus digne prêtre que Vincent.

    Jusqu'à la plus extrême vieillesse il s'adonna sans relâche à l'évangélisation des pauvres, principalement des habitants des campagnes; par un vœu perpétuel confirmé du Saint-Siège, il s'astreignit spécialement à cette œuvre apostolique, lui et les membres de la Congrégation qu'il établit sous le nom de Prêtres séculiers de la Mission. Combien il s'employa pour promouvoir la discipline dans le clergé, c'est ce qu'attestent les grands séminaires fondés par lui, les conférences sacerdotales et les exercices préparatoires aux saints Ordres qu'il mit en honneur ; il voulut que les maisons de son institut fussent toujours ouvertes à cet effet, ainsi qu'aux retraites spirituelles des laïcs. De plus son zèle pour l'accroissement de la foi et de la piété lui fit envoyer des ouvriers évangéliques, non seulement dans les provinces de France, mais en Italie, en Pologne, en Ecosse, en Irlande, et jusque dans la Barbarie et les Indes. Après la mort de Louis XIII, qu'il assista à ses derniers moments, la reine Anne d'Autriche, mère de Louis XIV, l'appela en son conseil de conscience : il y déploya le plus grand zèle pour que les églises et les monastères ne fussent confiés qu'aux plus dignes ; pour que prissent fin les discordes civiles, les duels, les erreurs qui s'insinuaient alors et avaient dès leur première apparition excité son effroi ; pour qu'enfin tous rendissent aux jugements Apostoliques l'obéissance qui leur était due.

    Aucun genre de calamité qui n'excitât son intervention paternelle. Les fidèles qui gémissaient sous le joug des Turcs, les enfants abandonnés, les jeunes gens incorrigibles, les vierges exposées, les religieuses dispersées, les femmes tombées, les forçats, les étrangers malades, les ouvriers invalides, les fous même et d'innombrables mendiants éprouvèrent les effets de sa tendre charité, et furent reçus par lui dans des établissements hospitaliers encore subsistants. Il pourvut à grands frais aux nécessités de la Lorraine, de la Champagne, de la Picardie et d'autres régions ruinées par la peste, la famine et la guerre. Il créa pour la recherche et le soulagement des malheureux nombre d'associations, entre lesquelles sa célèbre assemblée des Dames, et l'institut si répandu des Filles de la Charité. Il eut également la main dans l'érection des Filles de la Croix, de la Providence,  de Sainte-Geneviève, pour l'éducation des jeunes filles. Au milieu de si grandes entreprises et d'autres encore, continuellement appliqué à Dieu, affable  pour tous, toujours constant avec lui-même, simple, droit, humble, fuyant persévéramment honneurs, richesses et jouissances, on l'entendait dire : « Rien ne me plait qu'en Jésus-Christ », et il cherchait à l'imiter en tout. Usé enfin de mortifications, de travaux et de vieillesse, le vingt-septième jour de septembre de l'an du salut mil six cent soixante, qui était le quatre-vingt-cinquième de son âge, il s'endormit paisiblement à Paris dans la maison de Saint-Lazare, chef de la Congrégation de la Mission. L'éclat de ses vertus, de ses mérites et de ses miracles détermina Clément XII à le mettre au nombre des Saints, et l'on assigna pour sa fête tous les ans le dix-neuvième jour de juillet. Héros sans pareil de la divine charité, il n'était nulle classe d'hommes qui ne lui dût reconnaissance; les instances d'un grand nombre de prélats déterminèrent Léon XIII à l'établir et déclarer Patron près de Dieu de toutes les sociétés de charité existant par le monde catholique, et dérivant de lui en manière quelconque.

    (Bréviaire)

  • O Radix Jesse

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    O Racine de Jessé, qui êtes comme l’étendard des peuples, devant qui les rois fermeront leur bouche, et dont les Nations imploreront le secours : venez nous délivrer, maintenant ne tardez plus.

  • Saint Jacques

    Santiago Matamoros...

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    (Cordoue)

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    (Burgos)

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    (Valladolid)

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    (Pazo de Raxoi)

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    (Cuzco XVIIe)

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    (Cuzco XVIIIe)

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    (José Maria Casado del Alisal, 1885)

    Et, comme le signale Abenaton, à Compostelle, saint Jacques cueille des fleurs... En voyant la photo sur Google je croyais que c'était pour une fête, mais apparemment c'est en permanence. Le printemps perpétuel pour masquer le jihad...

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