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Le Pen - Page 36

  • « Je vous invite au printemps de la France ! »

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    A voir absolument, à faire voir, à diffuser partout, le superbe clip « Le Pen à l’Elysée »,
    sur le site du Front national.

     

    N.B. Selon mes informations, ce clip a été réalisé par deux jeunes bénévoles. A comparer avec les clips réalisés à grands frais par des agences internationales pour les candidats du système.

  • Le Pen à Nice : une grande vague nationale...

    Voici quelques extraits du discours de Jean-Marie Le Pen à Nice, hier soir.

    Une grande vague nationale va se lever et balayer l'oligarchie en place qui a trahi les Français sans scrupules ni remords. La comédie est finie, car si le peuple l'a supportée pendant plus de trente ans, sa capacité de résistance est atteinte, a-t-il averti. Assez de cette politique du mensonge et de l'échec !

    Avec Sarkozy, Bayrou, Royal, on prend les mêmes et on recommence. C'est justement ce que les Français ne veulent plus. Vous avez méprisé les citoyens, galvaudé la République, vous avez aboli la peine de mort contre le vœu des électeurs et écarté près de la moitié des Français de toute représentation parlementaire, vous avez bradé la Nation en acceptant qu'elle disparaisse dans le grand magma européen. Tout ce qui faisait notre bonheur d'être français, notre gloire aussi, vous l'avez brisé, jeté aux orties de la mondialisation et de la repentance.

    A les entendre ils sont tous patriotes, tous sauveurs des travailleurs et des retraités, tous défenseurs de la veuve et de l'orphelin, tous amis des paysans...C'est la fameuse rédemption électorale, celle qui veut transformer ces vieux chevaux de retour de la politique en perdreaux de l'année... C'est le requin aux dents qui rayent le plancher qui endosse son costume de petit poisson rouge. C'est la mue de la coquine en rosière et du maquignon en saint Jean Bouche d'Or... Mais c'est nous qui avons l'honneur de porter le drapeau national, qui l'avons défendu en toutes circonstances.

    Ségolène, c'est le socialisme à visage câlin, mais, soyons sérieux, comment pourrait-elle mener à bien la reconstruction de la France dans la période hautement critique qu'elle traverse, alors qu'elle ne parvient pas à coordonner ses propres équipes ? Comment peut-elle mettre en place l'ordre juste alors que le désordre règne chez elle, et que l'injustice n'a jamais autant progressé que lorsque le PS était aux affaires, et surtout dans les affaires ?

    François Bayrou n'est pas le chevalier blanc qu'il prétend être, il ne s'est illustré que comme piètre ministre de l'Education nationale. Aujourd'hui, il parle à l'oreille des chevaux qui, heureusement, ne votent pas. Il prétend créer un grand parti démocrate avec l'appui de Rocard, l'ancien porteur de valises du FLN, et de l'ineffable Dr Kouchner, porteur télévisé des sacs de riz humanitaires. Il ne veut ni ne peut rien dépasser du tout. Il veut prendre les mêmes de gauche, prendre les mêmes de droite et avec eux lancer une expérience politique nouvelle. Bayrou a inventé l'improbable quadrature du centre.

    Nicolas Sarkozy, lui, change d'idée comme de chemise, entraînant la campagne dans un tourbillon sans fin d'idées et de principes contradictoires. On le croyait attentif aux problèmes de l'immigration et de l'identité nationale, le voilà qui se réclame d'une France métissée. Il mêle à l'affaire sa propre trajectoire de candidat de l'immigration. Il a une candidature globalisée, alternativement candidat de la gauche, du centre et de la droite. Ce qui sied bien à cet apôtre permanent de la mondialisation.

    Il y a un autre avenir, une autre politique que celle de Sarkozy, une autre espérance. Oui, je suis fier de vous mener à la victoire car je sens le changement pointer à l'horizon comme un signe du ciel. Oui, la comédie est finie, il est temps de sortir de l'égout.

    S'il est une grande cause politique nationale aujourd'hui, une priorité absolue, c'est que je sois présent les 22 avril et 6 mai prochains au grand rendez-vous de l'élection présidentielle.

  • Patrick Ollier et la « remontée » de Le Pen

    De Patrick Ollier, « président de l’Assemblée nationale », qui sillonne la France pour soutenir Sarkozy : « Sur le terrain, on sent incontestablement une remontée forte de Le Pen, et on ne sent pas du tout de montée de Bayrou. »

  • Derniers pillages

    Jusqu’au bout, ils auront pillé Le Pen. De façon de plus en plus éhontée et caricaturale.

    Nicolas Sarkozy, après avoir repris à son compte le thème de l’identité nationale, se dit admirateur de Jean-Paul II qui a dit N’ayez pas peur (c’est ce qu’avait repris Le Pen le 21 avril 2002) et, lui qui refuse absolument une mention des racines chrétiennes de l’Europe dans un traité européen, reconnaît désormais que « le christianisme a vu naître notre nation », « a couvert notre territoire d’églises, de cathédrales, de monuments », nous a « légué un immense patrimoine de valeurs culturelles, morales, intellectuelles et spirituelles »...

    François Bayrou a entendu quant à lui que Jean-Marie Le Pen aimait citer les poètes, et qu’il avait récité dimanche un poème de Du Bellay. Alors il a récité hier soir un poème d’Aragon. Et à la manière de Jean-Marie Le Pen exaltant la dimension poétique de la politique, il a lancé : « C’est un poème que nous écrivons ! » Mais aussitôt la caricature devenait ridicule, quand il a voulu donner les rimes de son « poème » de la France : croissance, confiance, chance, espérance...

    Ségolène Royal a fait très fort, elle aussi, en déclarant hier que Sarkozy et Bayrou était les « candidats sortants » et en ajoutant : « Comment pourraient-ils être crédibles en promettant ce qu’ils n’ont pas fait hier ? ». La vraie phrase, c’est « comment pourraient-ils faire demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier ? » Elle est de Le Pen, et elle concerne tout autant Ségolène Royal, représentante du parti socialiste.

    Oui, il faut sortir les sortants, tous les sortants. Et faire venir celui qui parle vraiment comme Le Pen, et qui croit à ce qu’il dit : Jean-Marie Le Pen, évidemment.

  • Le Pen et les juifs

    Propos de Jean-Marie Le Pen au quotidien israélien Maariv, ce jeudi, tels que transcrits par l’AFP :

    « Les juifs qui sont français et liés à la France, dont les intérêts sont ceux de la France, doivent voter en bloc pour moi. »

    « J’ai des amis juifs et j’ai des juifs dans mon parti. »

    « Il n’y a pas de vote juif. Les juifs sont divisés en France selon leur statut social. »

    « Je n’ai pas nié la Shoah. Je n’ai fait que dire tout simplement que les chambres à gaz ne constituent qu’un détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Ce n’est pas quelque chose qui aurait dû provoquer la colère. »

    « Le fait est que des juifs ont voté pour moi en 2002. Ils sentent sans doute mieux que moi les dangers qui pèsent sur notre pays à cause de la situation de la sécurité. »

    « Nicolas Sarkozy est la cible de la même diabolisation que moi parce qu’il a parlé de racaille de la même façon que j’ai parlé de détail. »

    Pourquoi les juifs aiment-ils Sarkozy ?

    « Sarkozy est juif par sa mère. Cela joue un peu en sa faveur, le fait qu’il soit juif du côté grec, mais il n’est pas juif du côté hongrois. »

    « Sarkozy est toujours en faveur des organisations juives et d’Israël. Il est pro-américain, très pro-américain, mais tous les juifs ne sont pas pour lui. Il a également permis l’immigration de centaines de milliers de personnes venant d’Afrique et d’Afrique musulmane. »

  • Les candidats qui encouragent à violer la loi

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Comme on vient encore de le voir à Marseille, les tribunaux administratifs annulent régulièrement des délibérations municipales accordant à des associations musulmanes des privilèges contraires aux lois de la République.

    Ces délibérations municipales sont le fait d’élus UMP, UDF, PS, qui se réclament à l’occasion de déclarations de Nicolas Sarkozy, de François Bayrou ou de Ségolène Royal.

    Les trois candidats sondagiquement en tête représentent tous trois des partis politiques dont les élus violent la loi. Ils encouragent tous les trois les municipalités à se mettre hors la loi.

    On attend, pour le moins, d’un candidat à la présidence de la République qu’il respecte les lois de la République. Non seulement je suis le seul à respecter la laïcité, mais le mouvement que je préside est aussi celui qui, en saisissant les tribunaux, s’honore de faire rétablir la légalité.

  • Et Cécilia ?

    Jean-Marie Le Pen sur RMC et BFM : « je suis assez étonné ces jours-ci qu’il n’y ait aucune curiosité de la part de la presse autour de Mme Sarkozy qui pourrait devenir la première dame de France... Ce serait une curiosité normale... Tout Paris fait état de rumeurs. Je constate que la crainte révérencielle rend prudents des gens qui d’habitude n’hésitent pas à lancer des bruits quelquefois infondés. »

    Agoravox résume ainsi la situation :

    « Il y a une semaine, une recherche sur Google avec les mots-clés « rumeur Cecilia Sarkozy » ne renvoyait que quelques pages, essentiellement à propos de la brève aventure de Cecilia avec le publicitaire Richard Attias. Aujourd’hui, ce sont plusieurs centaines et le bruit s’étend sur toute la Toile.

    « Pourtant, on en trouve peu de traces dans la presse officielle. Le journal 20 minutes note bien l’absence de Cecilia durant les fêtes de Pâques, Le Monde y fait une courte allusion. En dehors de cela, rien. Une chape de plomb. Soit les journalistes des grands quotidiens nationaux n’ont pas Internet, soit ils ont une trouille bleue à l’idée d’évoquer, ne serait-ce qu’allusivement, une information qui pourrait déplaire à notre futur président.

    « Par contre, sur Internet, la rumeur enfle. Daniel Schneidermann en parle brièvement sur son blog. On en parle sur les forums. Sur les sites d’extrême droite, on se déchaine, allant jusqu’à affirmer que Nicolas Sarkozy aurait pété les plombs, frappé son épouse et démoli son appartement. On parle aussi d’une main courante déposée par Cecilia. Selon d’autres, elle filerait le parfait amour avec l’écrivain à succès Marc Levy. Même le président François Mitterrand y fait allusion sur le blog posthume qu’il anime directement depuis l’au-delà !

    « (...) Le vrai problème, ce n’est pas la vie privée de monsieur Sarkozy. (...) Non, le vrai problème c’est que personne, parmi la horde de journalistes qui le suivent et l’entourent, n’ose lui poser la question ! Personne n’ose l’aborder en lui disant : « Dites, monsieur Sarkozy, elle est où votre épouse ? ».

  • La « profession de foi » de Jean-Marie Le Pen

    Appel à la France et à tous les Français

    Le 21 avril 2002, porté au second tour par vos suffrages, je vous avais dit : « N’ayez pas peur, entrez dans l’espérance ! »

    Hélas, dans un même élan de complicité destiné à tromper l’opinion, les partis du système UMP-UDF-PS-PC se sont solidarisés pour maintenir leurs privilèges. Ils ont ainsi permis la réélection de Jacques Chirac. Cinq ans se sont passés depuis… Cinq ans de perdus.

    Cinq ans désastreux pour notre pays : toujours plus de pauvreté, de chômage, de délocalisations, d’immigration, d’insécurité, toujours plus de dettes. Et toujours plus de promesses de la part de ceux qui, depuis trente ans, ont participé comme ministres ou apporté leur soutien à des gouvernements dont les politiques ont mis en péril notre indépendance, notre équilibre économique, notre stabilité sociale et notre identité nationale.

    Leurs engagements d’aujourd’hui ne valent pas plus que leurs promesses passées.

    Comment pourriez-vous croire qu’ils feront demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier ?

    La France est aujourd’hui ruinée, démoralisée, humiliée et, pour la première fois de son histoire, chaque Français pense au fond de lui qu’il n’arrivera pas à assurer à ses enfants un avenir meilleur que le sien. Ils vous ont tout pris ! Ils ne vous ont laissé comme dernier privilège – pour combien de temps encore ? – que votre bulletin de vote. Mais, grâce à Dieu, celui-ci peut tout changer !

    Vous l’avez montré, le 29 mai 2005, en rejetant la Constitution européenne.

    En cinq ans, nous allons ensemble restaurer la souveraineté française, retrouver les frontières qui protègent notre peuple et notre économie, rétablir dans leurs droits légitimes les Français et leurs familles, retrouver nos libertés et la première d’entre elles : la sécurité, rendre à l’État son autorité et son rôle protecteur, rendre à chacun le bonheur et l’honneur d’être Français.

    Ma vision de la France est réaliste et humaine car elle vise à assurer à chaque Français, quels que soient sa race, sa religion, ses choix personnels ou sa condition sociale, le choix de son avenir et la priorité dans son propre pays. Mon projet est avant tout populaire dans la mesure où les grands desseins de société ne peuvent se faire qu’avec le soutien du peuple souverain, par le référendum.

    Tout dans mon engagement politique témoigne de mon attachement aux libertés de chacun.

    C’est parce que j’ai une haute considération pour les valeurs de la République française, que j’ai toujours défendues, et un profond respect de la dignité humaine que je dirigerai la France en rassembleur de tous ses fils et filles.

    Je suis le candidat de la vérité contre le mensonge. Je suis le candidat de la lucidité contre l’aveuglement, le candidat du bon sens contre l’incompétence. Je suis le candidat des vraies réformes contre les candidats des fausses promesses. Je suis le candidat de la France, de la vie, de l’avenir et de la paix contre les candidats du mondialisme, des communautarismes, de l’argent-roi et des guerres. Je serai le défenseur de la France et des Français d’abord !

    Faites-moi confiance pour incarner le Peuple et l’État.

    Jean-Marie Le Pen

  • Mosquées et présidentielle

    Commentant la décision du tribunal  administratif d’annuler la délibération de la municipalité de Marseille sur la grande mosquée, Jean-Marie Le Pen a souligné que la délibération avait été prise « en vertu d’un décret de Nicolas Sarkozy », et qu’en conséquence la décision du tribunal « sanctionne à la fois Jean-Claude Gaudin et Nicolas Sarkozy ». Il a ajouté qu’il n’avait pas d’hostilité « à ce que les musulmans aient leurs mosquées », mais qu’il était un « adversaire résolu de la construction de mosquées dites cathédrales », car « ces bâtiments, qui sont souvent d’une grande importance, ne se bornent pas à des édifices religieux, et sont généralement financés par l’Arabie saoudite dans un but de propagande ». « On en voit dans toutes les capitales du monde. Ils ont même poussé la délicatesse jusqu’à en faire une à Rome, sans attendre qu’on construise une cathédrale à Médine... »

    Sur France Inter ce matin, Nicolas Sarkozy a refusé de commenter la décision du tribunal administratif de Marseille. Mais il a répété qu’il n’y a « aucune raison pour qu’une religion ne puisse pas vivre son culte tranquillement », que « les problèmes que nous avons sont dans les caves et les garages, pas dans les mosquées », et qu’il est « pour un islam de France ». Il a dit aussi : « On ne change pas les grands équilibres de la loi de 1905. » Ce qui renforce l’ambiguïté de sa position : le tribunal administratif a constaté que la municipalité avait violé la loi de 1905, mais Sarkozy ne veut même pas le reconnaître...

    Parmi les multiples affaires de construction de mosquées, celle de Woippy : le conseil municipal de la ville de l’ineffable Grosdidier a voté lundi l’appel d’offres pour la construction d’un « espace interculturel », qui n’est rien d’autre qu’une mosquée, financée par la commune. « C’est d’autant plus scandaleux que l’argent en cause provient pour partie d’aides nationales pour la rénovation urbaine destinées aux quartiers défavorisés de Woippy et que la gestion de la mosquée doit être confiée à une filiale locale de l’UOIF, l’une des composantes les plus radicales de l’islam de France », souligne Thierry Gourlot, président du groupe FN au conseil régional de Lorraine. L’élu a décidé de s’associer à un groupe d’habitants de Woippy pour saisir le tribunal administratif.

    François Grosdidier, qui est aussi député et secrétaire national de l’UMP à l’intégration, s’est distingué le week-end dernier en étant le seul élu national à participer au congrès de l’UOIF. Il s’est livré à un plaidoyer en faveur de Nicolas Sarkozy, rappelant le rôle de l’ancien ministre de l’Intérieur dans l’organisation de l’islam en France et insistant sur le fait qu’il n’a pas accepté qu’un recteur interdise l’ouverture d’un lycée musulman...

    Mais le nom de Nicolas Sarkozy a été vigoureusement sifflé quand le premier vice-président de l’UOIF, Fouad Alaoui, évoquant l’élection présidentielle et le devoir d’aller voter, a lancé « vous nous avez fait mal », à l’adresse du candidat de l’UMP, et aussi à l’adresse de Ségolène Royal. Fouad Alaoui ayant d’autre part précisé qu’on ne pouvait pas voter pour « les extrêmes », il ne reste donc que François Bayrou. D’autant que Fouad Alaoui a précisé qu’il serait bon de voter pour un « croyant ». Or François Bayrou, laïciste forcené en politique, revendique d’être catholique pratiquant dans l’intimité.

    Bayrou candidat des islamistes, ce n’est guère étonnant, quand on voit ses déclarations insensées sur l’islam (« c’est comme une nouvelle famille qu’on accueille dans le village »), ou le bandeau qu’il a installé sur son site de campagne, où il apparaît en compagnie d’une femme voilée.

  • L’appel aux chômeurs et aux travailleurs pauvres

    Jean-Marie Le Pen, à Hénin-Beaumont, dans la région sinistrée de Lens :

    « Je lance un appel solennel aux chômeurs et aux travailleurs pauvres de notre pays : ne vous laissez pas endormir par les candidats européistes. Ne vous laissez pas abuser par les candidats internationalistes soi-disant hostiles à l’Europe, qui par leur altermondialisme sont coresponsables de la ruine de notre économie. Il faut de toute évidence une autre politique, fondée sur la protection du travail national, du mérite et de la récompense, une politique de solidarité et de préférence nationales. »