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Culture de mort - Page 254

  • Une bonne nouvelle

    medium_Mirosław_Orzechowski.jpgEt comme de bien entendu, cette bonne nouvelle vient de Pologne. Le vice-ministre polonais de l'Education Miroslaw Orzechowski a déclaré au quotidien Gazeta Wyborcza que « la théorie de l'évolution est un mensonge, une erreur que l'on a légalisée comme une vérité courante ». La théorie de l'évolution est « une conception lâche d'un vieil homme non-croyant ». « Nous n'allons pas la retirer des manuels scolaires, mais il faut commencer à en discuter. Il ne faut pas enseigner les mensonges, tout comme il ne faut pas enseigner le mal à la place du bien et la laideur à la place de la beauté. » Voilà qui est bien dit.

    Miroslaw Orzechowski est membre de la Ligue des Familles polonaises, dirigée par Roman Giertych, lui-même ministre de l'Education.

    La semaine dernière, le père du ministre, député européen de la Ligue des Familles polonaises, Maciej Giertych, avait organisé au Parlement européen une rencontre consacrée à la théorie de Darwin. « Elle n'est pas soutenue par des preuves », avait-il souligné, réclamant son retrait des manuels scolaires. Rappelons que Maciej Giertych, membre de l’Académie des sciences de Pologne, est un généticien inernationalement reconnu, spécialiste de dendrologie, auteur de plus de 200 communications scientifiques.

    Voici quelques autres précisions sur le vice-ministre. 

    Lorsque le ministre de l’Education Roman Giertych a suspendu la mise en œuvre du programme de scolarisation des enfants de moins de 5 ans, au motif que les parents doivent avoir le droit de décider si leurs enfants sont prêts à être scolarisés, Miroslaw Orzechowski a carrément déclaré que les enfants en bas âge devraient rester à la maison.

    Miroslaw Orzechowski a défrayé la chronique homosexuelle il y a quelques mois en accusant le groupuscule Campagne contre l'homophobie (KPH) et plus précisément son chef, Robert Biedron, le plus connu des militants homosexuels polonais, d'encourager « la dépravation des jeunes ».

    Il est aussi partie prenante dans l’affaire du limogeage du responsable de la formation continue des enseignants qui avait édité une brochure du Conseil de l'Europe contre l’homophobie. Ce limogeage, a clairement indiqué le vice-ministre, « est lié à la publication du manuel Kompas ("Repères") qui donne essentiellement des consignes de collaboration entre élèves et les milieux homosexuels ». Brochure qui en outre, comme le soulignait le ministre Roman Giertych, « critique sévèrement la Pologne et les autres pays qui refusent les mariages homosexuels ».

    C’est à cause de cette affaire que le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Terry Davis, menace de porter devant le comité des ministres « l’homophobie » du gouvernement polonais.

    Vive la Pologne !

    (source de la photographie : chancellerie de la Diète polonaise)

  • La Cour suprême refuse de réexaminer l’arrêt Roe contre Wade

    La Cour suprême des Etats-Unis a refusé (dans un arrêt non motivé) de se saisir d’un recours déposé par Sandra Cano, alias « Mary Doe », l’une des deux femmes à l’origine de l’arrêt « Roe contre Wade » qui a légalisé l’avortement dans ce pays en 1973. En février dernier, la Cour suprême avait déjà refusé (sans non plus donner de raison) d’examiner le recours déposé par Norma McCorvey, alias « Jane Roe ».  Les deux cas avaient été joints pour donner l’arrêt dit « Roe contre Wade ». En juin 2005, les deux femmes, témoignant devant la commission des affaires juridiques du Sénat, avaient souligné que les avocats qu’elles avaient pris à l’époque s’étaient servi de leur détresse pour mener un combat qui n’était pas le leur. Ni l’une ni l’autre n’avait finalement avorté, et elles sont toutes deux devenues des militantes de la vie, avec dans le cœur l’horreur de voir leur nom associé à l’assassinat légal des enfants à naître. « Je n’ai jamais cherché à avorter, et je ne crois pas à l’avortement. Pourtant, mon nom et ma vie sont à jamais liés au massacre de 40 à 50 millions de bébés », avait dit Sandra Cano devant la commission du Sénat.

  • Homophobie

    Le secrétaire général du Conseil de l’Europe, Terry Davis, menace de porter devant le comité des ministres l’homophobie du gouvernement polonais.

    Il s’agit toujours de l’affaire du limogeage du directeur du centre de formation continue des enseignants, consécutif à l’édition en polonais, par cet organisme, d’une brochure du conseil de l’Europe demandant aux enseignants d’inviter des organisations d’homosexuels pour parler de la « discrimination ».

    Terry Davis avait sommé le gouvernement polonais de s’expliquer sur ce « comportement homophobe ». Il vient de recevoir une réponse qui ne le satisfait pas. S’il n’obtient rien de plus, il fera un rapport au comité des ministres pour que les Etats membres se saisissent de ce scandale. Car « les valeurs du Conseil de l’Europe ne sont pas des plats sur un buffet où les gouvernements pourraient piocher à leur guise ».

    Ainsi donc, il est homophobe, selon le Conseil de l’Europe, de refuser la promotion de l’homosexualité, particulièrement auprès des enfants.

    Les « valeurs » de leur Europe sont décidément de plus en plus répugnantes.

  • Sodome et Gomorrhe

    Une femme canadienne demande à la justice de lui reconnaître le statut de troisième parent d’un petit garçon de cinq ans qu’elle élève avec sa « compagne ».Car la naissance a été planifiée avec celle-ci, qui a porté l’enfant après insémination artificielle. Le père biologique ayant reconnu l’enfant, celui-ci a donc trois parents, fait valoir la Canadienne. En première instance, un tribunal familial  de l’Ontario a rejeté cette requête au motif que la législation de la province ne reconnaît qu’une seule mère. Mais la « deuxième mère » a fait appel. Une audience a eu lieu cette semaine. La défense a argumenté que la loi canadienne reconnaît désormais le « mariage » homosexuel. Or comme les homosexuelles doivent avoir recours à la procréation assistée, l’enfant a forcément trois parents si le père biologique le reconnaît…

  • La Pologne contre le sida

    Le centre gouvernemental polonais de lutte contre le sida lance sa campagne médiatique annuelle de prévention. Elle est intitulée : « Amour, fidélité, confiance. Famille. Ensemble contre le sida. »