Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 21

  • Ça continue : nouvelle plainte contre le Vatican aux Etats-Unis

    Un homme qui affirme avoir été victime d’abus sexuels de la part de l’aumônier de son lycée, dans les années 60, a déposé une plainte, devant le tribunal de l’Etat de Californie, contre l’ordre de saint François de Salles auquel le prêtre appartenait, et contre le Vatican.

    "La raison pour laquelle le père Miani a été autorisé à rester prêtre et a été déplacé de continent en continent, de paroisse en paroisse, est que les responsables du Vatican ont choisi de le protéger et de protéger leur réputation", a affirmé l'avocat du plaignant lors d'une conférence de presse annonçant le dépôt de la plainte.

  • Martyrs du communisme, du nazisme, et de la Révolution française...

    Benoît XVI a autorisé la publication des décrets reconnaissant le martyre avéré de

    Janos Scheffler, évêque hongrois (1887-1952).

    José María Ruiz Cano, Jesús Aníbal Gómez Gómez, Tomás Cordero Cordero et leurs 13 compagnons, missionnaires espagnols (1936).

    Carmelo María Moyano Linares et ses 9 compagnons carmes espagnols (1936).

    Johannes Prassek et ses 2 compagnons prêtres allemands (1943).

    Marguerite Rutan, religieuse française (1794).

  • La direction spirituelle

    Extrait de la catéchèse de Benoît XVI sur saint Joseph Cafasso

    Combien de prêtres forma-t-il au Pensionnat et suivit-il ensuite spirituellement ! Parmi ces derniers - comme je l'ai déjà dit - ressort saint Jean Bosco, dont il fut le directeur spirituel pendant 25 ans, de 1835 à 1860 : d'abord comme enfant de chœur, puis comme prêtre et enfin comme fondateur. Tous les choix fondamentaux de la vie de saint Jean Bosco eurent comme conseiller et guide saint Joseph Cafasso, mais de manière bien précise : Joseph Cafasso ne tenta jamais de former en don Bosco un disciple « à son image et ressemblance » et don Bosco ne copia pas Joseph Cafasso : il l'imita assurément dans les vertus humaines et sacerdotales - le définissant un « modèle de vie sacerdotale » - , mais en suivant ses propres inclinations personnelles et sa vocation particulière ; un signe de la sagesse du maître spirituel et de l'intelligence du disciple : le premier ne s'imposa pas au second, mais le respecta dans sa personnalité et il l'aida à lire quelle était la volonté de Dieu pour lui. Chers amis, c'est là un enseignement précieux pour tous ceux qui sont engagés dans la formation et l'éducation des jeunes générations et c'est aussi un fort rappel de l'importance d'avoir un guide spirituel dans sa propre vie, qui aide à comprendre ce que Dieu attend de nous. Avec simplicité et profondeur, notre saint affirmait : « Toute la sainteté, la perfection et le profit d'une personne consiste à faire parfaitement la volonté de Dieu (...). Nous serions heureux si nous parvenions à verser ainsi notre cœur dans celui de Dieu, unir à ce point nos désirs, notre volonté à la sienne au point de former un seul cœur et une seule volonté : vouloir ce que Dieu veut, le vouloir de la manière, dans les délais, dans les circonstances qu'Il veut et vouloir tout cela pour aucune autre raison que parce que Dieu le veut ».

  • La pétition contre la loi anti-blasphème du Pakistan

    L'Aide à l'Eglise en détresse communique :

    Nous espérons TOUJOURS atteindre les 10 000 signatures pour le 2 juillet 2010 : pour être considérés comme force d’opposition, il faut recueillir au minimum 10 000 signatures.

    Il nous manque donc encore 2260 signatures !

    C’est pourquoi votre signature est INDISPENSABLE !

    VOUS AVEZ PEUR qu’on utilise votre adresse e-mail ?

    -    Vous n’avez rien à craindre. Nous n’échangeons ni ne louons aujourd’hui nos adresses mails.

    VOUS NE CROYEZ PAS à l’efficacité de ce mode d’action ?

    -    La pétition de l’AED s’inscrit dans un mouvement beaucoup plus large : elle vient renforcer une pétition déjà lancée au Pakistan par Mgr Coutts, évêque de Faisalabab. Elle vient aussi appuyer l’action du Conseil Œcuménique des Eglises, et celui de nombreuses ONG et autres associations attachées à la défense des droits de l’homme.

    Votre signature donnera du poids à ces diverses initiatives, et sera peut-être celle qui fera basculer la balance en faveur de l’abolition de cette loi.

    Merci d’avance pour votre aide aux chrétiens pakistanais !

  • Un Daoudal Hebdo pour temps de crise

    En lançant Daoudal Hebdo, j'avais bien conscience que l'abonnement était cher. J'avais l'intention de diminuer les tarifs dès que le nombre d'abonnés permettrait de le faire, mais ce nombre est loin d'être atteint. Je voulais que Daoudal Hebdo soit en couleurs, pour être plus attrayant, et parce que la couleur est désormais partout. Mais il est possible, naturellement, d'imprimer Daoudal Hebdo en noir et blanc. Afin d'atteindre un nouveau public, en particulier celui qui n'a pas les moyens, surtout en ces temps de crise aggravée, de s'offrir Daoudal Hebdo au tarif actuel, je propose Daoudal Hebdo en noir et blanc, au tarif de 70 € pour six mois (23 numéros), au lieu de 100 € pour la version couleur.

    Parlez-en autour de vous. Sans doute connaissez-vous des personnes qui seraient intéressées, notamment des jeunes.

    Cette offre n'est pas réservée aux nouveaux abonnés. Vous pourrez renouveler votre abonnement, le moment venu, en choisissant cette formule. Et si elle ne vous convient pas vous pourrez revenir ensuite à l'abonnement couleur, en toute liberté.

    Ce peut aussi être l'occasion d'offrir un abonnement découverte à la personne de votre choix, en vous servant du coupon ci-dessous.

    Enfin, je rappelle que le tarif le moins cher demeure l'abonnement à Daoudal Hebdo en format PDF par courriel. Cette formule est curieusement peu utilisée, alors qu'elle vous permet de recevoir Daoudal Hebdo sur votre ordinateur dès le mercredi soir, tandis que par la Poste il vous arrive généralement le samedi, quand ce n'est pas la semaine suivante (alors que, envoyé le jeudi au tarif « J+1 », il devrait arriver le vendredi).

    Bulletin d'abonnement

    Nom
    Prénom
    Adresse
    CP
    Ville
    Courriel

    Abonnement «découverte» : 70 € pour 23 numéros en noir et blanc.

    à retourner à Daoudal Hebdo. BP 16023, 56160 Guémené-sur-Scorff.

  • Daoudal Hebdo N° 88

    N°88 - Semaine 26.jpg

    Dans ce numéro

    Pages 2 & 3 
    L’islam selon le Conseil de l’Europe

    Pages 4 & 5

    La Belgique s’enfonce
    La Belgique préside…

    Pages 6 & 7
    Ce qu’il y a de pourri dans l’Eglise de Belgique

    Page 8

    Un dicastère pour l'évangélisation des chrétientés sécularisées
    Dimanche prochain…

     

    Daoudal Hebdo, BP 16023, 56160 Guémené-sur-Scorff

    abonnement un an 180 € (papier), 100 € (par courriel)

    Abonnement 6 mois noir et blanc : 70 €

    Spécimen gratuit sur simple demande

  • Fête du Très Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ

    « Cette fête populaire dépasse le Vendredi-Saint, le jour de la mort du Seigneur, les fêtes de la Croix et la fête du Sacré-Cœur ; elle met devant nos yeux la valeur immense du divin sang rédempteur. Tout le mois de juillet est consacré au « Précieux Sang » (c’est intentionnellement que cette fête a été placée le premier jour du mois). »

    Cette étonnante affirmation est de Dom Pius Parsch, dans son "Guide dans l’année liturgique".

    Et l’on peut lire sur le blog Notre-Dame des Neiges :

    « Après le mois du Sacré-Coeur, le mois de Juillet est traditionnellement consacré au Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ. »

    En fait de tradition, cette fête a été instituée par Pie IX au premier dimanche de juillet, en action de grâces pour la libération de Rome par les troupes françaises en 1848. Saint Pie X la fixa au 1er juillet. En 1934 Pie XI l’éleva au rang de première classe. Elle été supprimée du nouveau calendrier, et pour le coup on ne peut guère le déplorer (mais ce qui est amusant est qu’on ait supprimé un office et une messe qui donnaient un avant-goût de la nouvelle liturgie).

    Je sais pas si cette fête a été « populaire », mais prétendre qu’elle dépasse le vendredi saint, les fêtes de la Croix et la fête du Sacré-Cœur (dont elle est un succédané, sans oublier le premier dimanche de la Passion et la Fête Dieu), c’est avoir une conception de la liturgie, non seulement éloignée de la tradition, mais qui ne me paraît même pas catholique.