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Rechercher : st nicolas

  • Des commissaires ectoplasmes

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy va nommer des « commissaires à l'industrialisation ».

    Mais la France est soumise depuis des décennies aux commissaires à la désindustrialisation qui officient à Bruxelles.

    Face à ceux-là, auxquels les gouvernements ont donné tous les pouvoirs, les commissaires de Nicolas Sarkozy ne peuvent être que des ectoplasmes.

  • Cécilia se fait porter pâle

    Comme on le prévoyait, Cécilia n’a pas accompagné Nicolas à Paris pour les obsèques du cardinal Lustiger.

    Comme on le prévoyait beaucoup moins, elle a également laissé Nicolas aller seul au déjeuner que George et Laura Bush offrait au couple présidentiel français.

    Cécilia a téléphoné à Laura Bush pour dire qu’elle ne se sentait pas très bien…

  • Saint Jean de Kenty

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    Ce tableau, montrant le miracle de saint Jean de Kenty réparant la cruche brisée, sur la place du marché de Cracovie (on reconnaît la basilique Sainte-Marie), est de Tadeusz Żukotyński (1855–1912), peintre polonais qui s’installa aux Etats-Unis et qui a essentiellement réalisé des peintures religieuses pour nombre d’églises. Celle-ci se trouve au-dessus du maître autel de l’église Saint-Jean de Kenty de Chicago (St John Cantius).

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    Cette église a été confiée à une communauté de chanoines qui a pris le nom de Chanoines réguliers de Saint Jean de Kenty : Canons Regular of St. John Cantius. Leur particularité est qu’ils célèbrent quotidiennement la messe dans les deux formes du rite romain, le dimanche une messe basse et une messe chantée de l’une et l’autre forme, la messe de Paul VI étant également chantée en grégorien. Les chanoines ont le culte du beau, et la paroisse compte pas moins de 7 chœurs, éventuellement accompagnés d’un orchestre.

    Sur leur site on trouve un résumé de la vie de saint Jean de Kenty, dont voici une traduction.

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    Pour la plupart des catholiques de ce pays, saint Jean de Kenty est un saint obscur, mais même en Europe peu de gens connaissent la profonde dévotion que le pape Jean Paul II eut toute sa vie envers ce saint professeur.

    Jean est né dans la petite ville polonaise de Kenty, en Pologne, à seulement 21 km du lieu de naissance du Saint-Père, le 24 juin 1390. À l'âge de 23 ans, il s'inscrit à l'Université Jagellonne située dans la ville peu éloignée de Cracovie - alors capitale du royaume de Pologne. Fondée en 1364 par décret royal, c'est dans la même université que l'astronome Nicolas Copernic étudie près de 80 ans plus tard.

    Inscrit au département des arts libéraux, Jean devient docteur en philosophie en 1418. Durant les trois années suivantes, il entreprend de nouvelles études en vue de la prêtrise, tout en subvenant à ses besoins en donnant des cours de philosophie à l'université.

    Immédiatement après son ordination, il accepte un poste de recteur à la prestigieuse école des chanoines réguliers du Saint-Sépulcre de Miechow. Qu'une telle école lui offre ce poste à son âge relativement jeune était la preuve de l'intelligence et des talents exceptionnels de Jean. C’est en dirigeant les cours de formation pour les jeunes novices qu'il est devint fermement ancré dans les écrits et la spiritualité de saint Augustin.

    En 1429, un poste devint vacant au département de philosophie de l'Université Jagellonne. Jean retourna rapidement à Cracovie pour prendre ce poste, s'installant à l'université où il resta jusqu'à sa mort. Il entreprit également des études de théologie et après 13 longues années d'études entremêlées avec ses fonctions d'enseignement et d'administration en tant que chef du département de philosophie, il reçut finalement son doctorat. Plus tard, après la mort de son mentor, l'éminent théologien Benedykt Hesse, Jean assuma la direction du département de théologie de l'université.

    Comme la plupart des savants de son temps, Jean passait beaucoup de ses moments libres à copier des manuscrits des Saintes Écritures, des traités théologiques et d'autres travaux savants. Bien que seulement 26 volumes nous soient parvenus, leur total de plus de 18.000 pages témoigne de son travail exceptionnel.

    Au cours de sa vie à Cracovie, Jean se fit connaître parmi les résidents de la ville pour sa générosité et sa compassion envers les pauvres, sacrifiant toujours ses propres besoins afin d'aider les plus démunis. Se sentant une affinité particulière envers les étudiants de l'université, il était attentif à leurs besoins spirituels, physiques et scolaires. Que ce soit en classe ou en chaire, tout le monde le connaissait comme un ardent défenseur de la foi et ennemi des hérétiques.

    Au moment où le Maître de Kenty mourut le 24 décembre 1473, le peuple de Cracovie le considérait déjà comme un homme très saint. Que cette opinion soit entièrement justifiée peut être mis en évidence par les nombreuses faveurs et nombreux miracles attribués à l'intercession de Jean à partir de sa mort. Jean de Kenty est bientôt devenu connu dans toute l'Europe, attirant des pèlerins de nombreux pays sur sa tombe dans la collégiale Sainte-Anne de l'université.

    Malgré cela, le processus de sa béatification ne commença que 150 ans plus tard. Finalement, en 1676, le pape Clément XIII le déclara saint de l'Église catholique romaine, proclamant le 20 octobre comme jour de sa fête.

    Tout au long de ses nombreuses années à Cracovie, notre pontife philosophe a souvent trouvé l’inspiration sur la tombe de son saint patron d’enseignement. Il n'est donc pas surprenant que lors de son pèlerinage en Pologne en 1997, il pria une fois de plus sur la tombe du Saint. Là, au cours d'une réunion particulière avec des professeurs de l'alma mater Jagellonne – la sienne et celle de saint Jean - il fit allusion au Maître de Kenty quand il déclara : « La connaissance et la sagesse cherchent une alliance avec la sainteté. »

  • C’est la fête à Cachan !

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Samedi soir à Cachan, les mille anciens occupants du squat, leur marraine Josiane Balasko et de nombreux élus et associations de gauche, feront la fête, deux ans après leur évacuation.

    A l’époque, le ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, promettait la fermeté.

    Aujourd’hui, un des délégués des ex-squatteurs déclare que « tout le monde a un titre de séjour, mis à part cinq ex-squatteurs dont le cas est en suspens » (cinq sur mille).

    Cette fête est une nouvelle preuve du double langage de Nicolas Sarkozy: une apparente fermeté mais un réel laxisme.
    Il ne fait nul doute que ceux des électeurs de Nicolas Sarkozy conscients des conséquences de l’immigration, eux, ne seront pas à la fête.

    Qu’ils se rassurent, le FN est là et sera présent lors des prochaines échéances électorales.

  • Les oliviers de Sarkozy

    Le président israélien Shimon Peres est en France pour cinq jours. C’est le premier dirigeant étranger à être reçu avec le protocole d’une visite d’Etat depuis l’élection de Nicolas Sarkozy.

    Shimon Peres a offert à Nicolas Sarkozy une oliveraie de 3.600 pieds située dans l’enceinte de l’école agronomique fondée près de Jérusalem par Adolphe Crémieux.

    Nicolas Sarkozy a offert à Shimon Peres un portrait de Chateaubriand, son Itinéraire de Paris à Jérusalem et son Journal de Jérusalem. Aurait-il maintenant l’intention de convertir son homologue israélien ? Ce qui intéressait Chateaubriand à Jérusalem et autour de la ville sainte, c’était les lieux saints du christianisme...

  • La destruction

    L’église Old St. Mary de Chinatown à Washington était dédiée à la messe traditionnelle. Quand François a édicté que l’unique lex orandi était la messe de Paul VI, son petit mouton docile le cardinal Wilton Gregory, archevêque de Washington, s’est mué en loup romain et a interdit la messe traditionnelle sur le territoire de son diocèse, donc aussi dans cette église où quelque 400 fidèles avaient l’habitude de venir chaque dimanche.

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    Dimanche dernier, le cardinal Gregory est venu à Old St. Mary célébrer une messe, de Paul VI, naturellement. Et voici l’affluence pour l’accueil de l’archevêque :

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  • Sarkozy nous prend pour des truffes (comme d’habitude)

    Un texte sur l’Union européenne paraît dans Le Point sous la signature de Nicolas Sarkozy.

    Extraits de la présentation sur le site du Point :

    Nicolas Sarkozy veut supprimer "pas moins de la moitié des actuelles compétences communautaires". (…) "La Commission ne devrait plus avoir de compétences législatives puisqu'il y a un Parlement européen, c'est à lui et à lui seul de légiférer." Face à "l'échec sans appel" de "la question essentielle des flux migratoires", Nicolas Sarkozy veut "suspendre immédiatement Schengen I et le remplacer par un Schengen II auquel les pays membres ne pourraient adhérer qu'après avoir préalablement adopté une même politique d'immigration". "C'est une évidence", dit-il.

    Ce qui est une évidence, c’est que tout cela est parfaitement contraire au traité européen. Notamment au traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy a fait voter.

  • La phrase la plus grotesque du jour

    Elle est de Nicolas Doze, sur BFMTV.

    — L’Ukraine demande 35 milliards de dollars. Faut-il payer pour l’Ukraine ?

    — Oui, il faut payer pour l’Ukraine. Parce que c’est le prix de la transition démocratique.

  • Kouchner, Sarkozy et la Turquie

    A en croire leurs déclarations répétées et dépourvues de toute ambiguïté, Bernard Kouchner et Nicolas Sarkozy ont des positions diamétralement opposées sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

    Lequel va se renier ?

    Les paris sont ouverts.

  • Fillon « Premier ministre » ?

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La nomination de François Fillon comme Premier ministre est un élément parmi d’autres de la volonté de Nicolas Sarkozy d’être un président « à l’américaine ». Terne et dépourvu de charisme, François Fillon n’est que l’ombre de Nicolas Sarkozy, comme on l’a vu ces derniers jours, à ses côtés mais toujours un pas derrière lui.

    Outre le fait que Nicolas Sarkozy constitue « son » gouvernement en contradiction avec les articles 8 et 20 de la Constitution française, sa présidence à l’américaine n’est qu’une illusion.

    En effet, quels qu’aient été le faste républicain et les beaux accents patriotiques de la journée d’hier, Nicolas Sarkozy a moins de pouvoirs qu’un gouverneur d’un Etat des Etats-Unis d’Amérique. Il ne suffit pas de dire « La France, la France, la France », en sautant comme un cabri. Encore faut-il lui rendre son indépendance abandonnée morceau après morceau aux institutions européennes.