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  • Siméon

    Acathiste à la Mère de Dieu, strophe XII

    Comme Siméon était sur le point de quitter ce monde présent et trompeur, tu lui fus présenté comme un petit enfant. Mais il reconnut que tu étais pleinement Dieu et c’est pourquoi, stupéfait de ta sagesse indicible, il s’écria : Alléluia !

    Alléluia !

  • Lorsque tu as allumé la lumière de la vérité

    Acathiste à la Mère de Dieu, strophe XI

    Lorsque tu as allumé en Egypte la lumière de la vérité, tu as chassé les ténèbres du mensonge. Car ses idoles, ô Sauveur, n’ayant pas résisté à ta puissance, s’écroulèrent, et ceux qui en furent délivrés se mirent à crier à la Mère de Dieu :

    Salut, relèvement des hommes. Salut, chute des démons.

    Salut, vous qui avez foulé du pied l’arrogance de l’erreur. Salut, vous qui avez démasqué la fourberie des idoles.

    Salut, mer qui avez englouti le Pharaon de l’esprit. Salut, rocher qui avez désaltéré les assoiffés de la vie.

    Salut, colonne de feu guidant ceux qui sont dans les ténèbres. Salut, abri du monde, plus vaste que les nuées.

    Salut, nourriture remplaçant la manne. Salut, servante du paradis sacré.

    Salut, terre promise. Salut, vous dont coulent le lait et le miel.

    Salut, ô épouse sans époux !

    Salut, ô épouse sans époux !

  • Les Mages retournèrent à Babylone

    Acathiste à la Mère de Dieu, strophe X

    Devenus des hérauts théomorphes, les Mages retournèrent à Babylone, après s’être conformés à ce qui leur avait été révélé, et annoncèrent à tous que Vous êtes le Christ, délaissant Hérode comme un insensé qui ne sait pas chanter : Alléluia !

    Alléluia !

  • Les fils de Chaldée

    Acathiste à la Mère de Dieu, strophe IX

    Les fils de Chaldée virent dans les bras de la Vierge Celui qui de ses mains façonna les hommes, et reconnaissant en lui le Seigneur, bien qu’il eût pris la forme d’un esclave, ils s’empressèrent de l’honorer par leurs présents et de crier à la Toute-Bénie :

    Salut, Mère de l’Astre sans couchant. Salut, éclat du jour mystique.

    Salut, vous qui avez éteint la fournaise de l’imposture. Salut, vous qui éclairez les initiés de la Trinité.

    Salut, vous qui avez dépouillé le tyran inhumain de son empire. Salut, vous qui avez montré le Seigneur ami des hommes, le Christ.

    Salut, vous qui nous avez délivrés des cultes païens. Salut, vous qui nous avez sortis du bourbier de nos œuvres.

    Salut, vous qui avez mis fin à l’adoration du feu. Salut, vous qui délivrez de la flamme des passions.

    Salut, guide des fidèles vers la sagesse. Salut, joie de toutes les générations.

    Salut, ô épouse sans époux !

    Salut, ô épouse sans époux !

  • 4e dimanche de Carême

    Moyses famulus Dei jejunavit quadraginta diebus et quadraginta noctibus, ut legem Domini mereretur accipere. Ascendens Moyses in montem Sinai ad Dominum, fuit ibi quadraginta diebus et quadraginta noctibus, ut legem Domini mereretur accipere.

    Moïse, l’ami de Dieu, jeûna quarante jours et quarante nuits, afin de mériter de recevoir la loi du Seigneur. Montant au sommet du Sinaï à la rencontre du Seigneur, Moïse y resta quarante jours et quarante nuits, afin de mériter de recevoir la loi du Seigneur.

    (Répons des matines)

  • Les Mages

    Acathiste à la Mère de Dieu, strophe VIII

    Ayant aperçu un astre guidé par Dieu, les Mages suivirent son éclat, et le prirent comme un flambeau pour rechercher le Roi Tout-Puissant. Parvenus auprès de l’inaccessible, ils se réjouirent et lui crièrent : Alléluia !

    Alléluia !