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Rechercher : st nicolas

  • Sarkozy président de... l’UMP

    Le bureau politique de l’UMP a décidé de remplacer le poste du président du parti par une direction collégiale de six membres.

    Pourtant on n’a jamais vu un parti politique fonctionner correctement avec une direction collégiale. Il faut un patron.

    Mais il y a un patron : c’est Nicolas Sarkozy.

    Jean-Claude Gaudin a été très clair : « Puisque le président de l’UMP est aujourd’hui à l’Elysée, notre formation politique n’a pas besoin de désigner un nouveau président. Nous considérons que, moralement, le président reste Nicolas Sarkozy. »

    C’était ce que disait déjà Jean-Pierre Raffarin le 3 juin : « Personne ne souhaite aujourd’hui qu’il y ait dans l’UMP quelqu’un qui puisse avoir la même légitimité à l’intérieur de l’UMP que Nicolas Sarkozy parce que Nicolas Sarkozy doit rester le leader naturel de l’UMP. Il n’est pas le leader juridique, il doit rester le leader naturel. »

    Lequel Raffarin a répété et précisé cela ce matin sur LCI : il n’y a « qu’un seul patron à l’UMP », Nicolas Sarkozy, qui est le « patron naturel » même s’il n’est pas le patron juridique. La logique est celle d’une direction collégiale « en contact direct avec le président de la République qui reste le leader naturel du parti ».

    Voilà qui « relativise » quelque peu les déclarations de Nicolas Sarkozy affirmant qu’il n’a plus d’attaches partisanes...

  • Sarkozy tel qu’en lui-même

    Si l’on se demande ce qu’il faut penser du « Grenelle de l’environnement » et du discours de Nicolas Sarkozy, on peut se contenter de relever que l’invité d’honneur de la cérémonie de clôture était Al Gore. La présence du prix Nobel de l’imposture planétaire, et son hommage appuyé au président français, suffit à montrer de quoi il s’agit.

    Si l’on va y voir de plus près, on constate que ce « Grenelle » et ce discours s’inscrivent dans la plus parfaite continuité de l’action de Nicolas Sarkozy : des paillettes médiatiques qui tentent de cacher le fait qu’on ne va pas faire ce qu’on a annoncé (et ici, sur certains points, c’est préférable...).

    Un discours « historique », un discours « fondateur », disent les thuriféraires du président. Forcément, puisque d’emblée il annonce une « révolution »...

    Donnons un seul exemple : la « taxe carbone ». C’était la mesure phare réclamée par Nicolas Hulot, la clef de tout, l’élément principal du « pacte » signé en grande pompe par la plupart des candidats à la présidentielle. Or Nicolas Sarkozy ne s’engage pas à la créer, il s’engage « à ce que la révision générale des prélèvements obligatoires se penche sur la création » de cette taxe « en contrepartie d’un allègement de la taxation du travail »... On verra bien si la révision s’y penche ou non. Nicolas Sarkozy s’était engagé aussi, par exemple, à arrêter les négociations d’adhésion de la Turquie.. . Le plus fort est que Nicolas Hulot est satisfait...

    On note aussi que Nicolas Sarkozy s’engage à geler le nombre des sites nucléaires. L’association Sortir du nucléaire relève que les projets de nouvelles installations sont « tous sur des sites déjà existants ». Qu’on soit pour ou contre l’énergie nucléaire, il est clair que le président se moque du monde.

    Pour le reste, on cherche en vain la « révolution ». Il y a seulement des orientations, dont certaines sont de bon sens, comme la réduction de l’usage des pesticides, mais qui ne nécessitent en aucun cas un « Grenelle » et de tels effets de manche...

  • 1er symposium français sur saint Joseph

    Le tout récent Centre Français de Recherche et de Documentation sur St Joseph (CFRDJ) organise son premier symposium à Cotignac, dans le Var, les 7 et 8 juin (le 7 juin est le jour de l’apparition de saint Joseph)

    • "Saint Joseph et l'Orient byzantin", par le P. Samuel-Bernard, chapelain de N-D de Grâces.

    • "Les deux portes: celle du ciel et celle de la terre, en référence au Carmel pour montrer les liens entre les lieux de Marie et de Joseph" (l'exemple typique étant Cotignac), par le P. Doze, chapelain de Lourdes

    • "Saint Joseph éducateur en famille", par le P. Yannik Bonnet, recteur du sanctuaire St Joseph de Bon Espoir à Espaly (Le Puy en Velay)

    • "Homme et femme il les créa!" En se tournant bien sûr vers Joseph et Marie, par le P. Verlinde, fondateur de la Fraternité Monastique de St Joseph.

    • "Saint Joseph, le charpentier et le bois: homme des visions: savoir-faire et savoir-être", par Patrick Verlinden, auteur de La Provence chrétienne, Ed des sept collines.

    • "Les vertus héroïques de Saint Joseph selon les promesses de paternité dans l'ancien Testament", par le Pr. Edward Belaga.

    • "Rétrospective historique sur la naissance, à 55 ans de différence, de deux centres consacrés à la personne de Saint Joseph (1950 au Québec et 2005 en France)" par Daniel Picot, directeur du Centre de l'Oratoire St Joseph de Montréal;

    • "Audio-visuel de musicologie: Saint Joseph dans la musique baroque et dialogue avec l'auditoire", par Christian Gaumy, Vice-Chancelier de l'Université de Cambridge.

    • "Réflexions à partir d'un sarcophage chrétien du IVe siècle, à la gloire de Saint Joseph", par Christian-Michel Doublier-Villette, médecin et archéologue.

    Modérateur: le P.Albert Perrier, directeur de la revue de Saint Joseph d'Allex.

    La Messe, chantée en grégorien, sera célébrée à 11H au monastère des bénédictines Saint Joseph du Bessillon, à l'issue d'une procession partant du sanctuaire Notre-Dame de Grâces, sur la colline voisine…où la Vierge est apparue en 1519.

    Pour tous renseignements et inscriptions, écrire au P.Perrier, CFRDJ, sanctuaire St Joseph, 26400, Allex ou à Dr Doublier-Villette: doublier@josephologie.info

    Un autocar partira de la Drôme. Renseignements au 04 75 25 11 88.

  • Mais que fait la Halde ?

    Promotion 2009 à l'Ecole nationale de ski et d'alpinisme : les 54 nouveaux guides diplômés sont :

    1. Lionel Albrieux ; Geoffroy Arvis ; 3. Alexandre Auchecorne ; 4. Gilles Baudry ; 5. Pascal Bellin; 6. Thomas Berges; 7. Sara Berthelot; 8. Eric Biancarelli ; 9 . Laurent Bibollet ; 10. Thomas Boillot; 11. Nicolas Bonnet ; 12. Ollivier Bres ; 13 . Sébastien Cazorla; 14. Mathieu Cesarano; 15 . Hugues Chardonnet; 16. François Chollet ; 17. Bruno Cobus ; 18. Michel Coranotte; 19. Cyril Cottaz; 20. Emmanuel Dubost; 21. Paul-Philippe Dudas; 22. Christophe Dumarest ; 23. Cyril Dupeyré; 24. Julien Dusserre; 25. Nicolas Faure ; 26. Nicolas Feraud; 27. Basile Ferran; 28. Odillon Ferran ; 29. Patrice Flesch; 30. Vincent François ; 31. Pierre Gaillard ; 32. Olivier Gandy; 33. Benoît Garoute; 34. Antoine Groleau ; 35. Roland Higuera; 36. Mikaël Jacquet; 37. Laurent Labudigue; 38. Jean-Nicolas Louis; 39. Guillaume Lucazeau; 40. Nicolas Magisson; 41. Benjamin Maire; 42. Frédéric Marcellin; 43. Mason Peter; 44. Eric Monnier ;45. David Moratille; 46. Jérôme Para ; 47. Laurent Perquis; 48. Thomas Pietrzyk; 49. Jean-François Reffet; 50. Vincent Rovel; 51. Pierre Soba; 52. François-Régis Thevenet; 53. Sébastien Thiollier; 54. Stéphane Visentin.

    (Le Dauphiné, via François Desouche)

  • On a le droit d’envoûter Sarkozy…

    La justice a débouté mercredi Nicolas Sarkozy, qui réclamait l'interdiction de la poupée vaudou à son effigie commercialisée depuis trois semaines par la société Tear Prod et contre laquelle le chef de l'Etat avait engagé une action en référé pour violation de son droit à l'image.

    "Cette représentation non autorisée de l'image de Nicolas Sarkozy ne constitue ni une atteinte à la dignité humaine, ni une attaque personnelle", a fait valoir le juge des référés du TGI de Paris.

    Elle "s'inscrit dans les limites autorisées de la liberté d'expression et du droit à l'humour", a-t-il ajouté.

    En conséquence, précise le jugement dont l'AFP a obtenu copie, "M. Nicolas Sarkozy sera débouté de ses demandes, la diffusion de la poupée litigieuse ne caractérisant pas une atteinte fautive à son droit à l'image ni un trouble manifestement illicite".

    En vente depuis le 9 octobre dans les librairies et sur internet, le "Manuel vaudou, Nicolas Sarkozy", est un livre-objet présenté dans un coffret contenant une poupée de tissu, un lot de 12 aiguilles, ainsi qu'un ouvrage de 56 pages.

    Outre une biographie humoristique de M. Sarkozy, le manuel propose "un grand nombre de sortilèges magiques" et invite le lecteur à planter des aiguilles sur la poupée à son effigie pour "conjurer le mauvais oeil".

    Tear Prod, et sa maison d'édition K&B ont également publié un coffret rouge Ségolène Royal, répondant au coffret bleu Nicolas Sarkozy. Mais l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle n'a pas jugé bon d'engager une action en justice.

    (AFP)

  • Saint Cassien

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    Le 29 février, dans le calendrier byzantin, c’est saint Jean Cassien. En russe saint Kassian. Les Russes racontent qu’un jour saint Cassien et saint Nicolas, descendus du paradis, se promenaient dans la campagne. Ils rencontrent un moujik dont la charrette est embourbée et qui leur demandent de l’aider. Saint Cassien lui répond qu’il ne peut pas, parce qu’il salirait son vêtement céleste et qu’il ne pourrait pas se présenter devant le Seigneur avec un vêtement maculé. Saint Nicolas descend dans la boue, met son épaule sous la charrette, et la dégage.

    A la fin de leur promenade, ils retournent au paradis. Le Seigneur dit à saint Nicolas : Comment oses-tu te présenter devant moi avec un vêtement plein de boue ? Saint Nicolas explique ce qui s’est passé. Alors le Seigneur, en colère contre saint Cassien, décide que sa fête ne sera célébrée que tous les quatre ans, et celle de saint Nicolas deux fois par an (6 décembre et 9 mai).

    *

    Jean Cassien n’est pas saint selon l’Eglise de Rome, parce que « saint » Prosper d’Aquitaine le poursuivait de sa vindicte et en faisait le héraut du « semi-pélagianisme », ce qui est proprement absurde, sauf à être comme Prosper un augustiniste extrémiste. S’il y a chez lui une formule qui peut être comprise comme semi-pélagienne, le contexte ne l’est pas du tout.

    Il se trouve que Jean Cassien est le seul auteur nommément cité par saint Benoît dans sa Règle : le seul auteur dont il recommande explicitement la lecture. Parce que, en effet, les Conférences de Cassien sont un sublime résumé de l’enseignement des pères du désert, et qu’elles continuent d’être lues aujourd’hui alors que les écrits de Prosper n’intéressent personne.

    On peut faire confiance à saint Benoît, comme à saint Grégoire le Grand qui voyait évidemment Jean Cassien comme un saint.

  • Saint Matthias

    On ne sait rien de saint Matthias, en dehors de son élection comme apôtre, pour remplacer Judas, comme le racontent les Actes des apôtres, et comme l’avait annoncé le psaume 108.

    Clément d’Alexandrie (Stromates III, 4) rapporte toutefois une parole attribuée à saint Matthias. C’est dans le cadre de sa défense de Nicolas, l’un des sept premiers diacres, dont une partie de la tradition fait le fondateur de la secte des Nicolaïtes. Secte dont les membres, notamment, se livraient à une fornication sans frein, s’autorisant d’un aphorisme de Nicolas : « Il faut abuser de la chair. » Or, affirme Clément d’Alexandrie, lorsque Nicolas enseignait à abuser de la chair, il s’agissait de la mortification des sens. (Le verbe est parakhreomai, qui veut dire en effet abuser, mais dans le sens de faire un mauvais usage.) Clément ajoute : « On rapporte aussi que Matthias enseignait de même à combattre la chair et abuser d’elle, en ne lui procurant rien de ce qui peut servir au plaisir désordonné, mais à développer l'âme par la foi et par la connaissance. »

  • Saints Cyrille et Méthode

    On connaît la vie des deux frères. Au temps d’Hadrien II, Rome les vit entrer triomphalement dans ses murs, suivis d’une troupe choisie de disciples chargés d’un précieux fardeau : les reliques du martyr Clément trouvées par eux en Chersonèse.

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    Derrière le cercueil porté par des diacres, marche d’abord le pape Nicolas Ier avec les deux frères Cyrille et Méthode, à droite et à gauche. Le Pontife est revêtu de la chasuble et du pallium, et son front est couronné du regnum ; tandis que les apôtres des Slaves ont une simple chasuble sous laquelle descendent, sur la tunique, les bandes de l’étole. Deux clercs portent les férules épiscopales des deux frères, et le Pape n’en a pas. Il est remarquable que le nimbe rond orne seulement la tête de Nicolas et de saint Cyrille ; on s’explique d’ailleurs facilement l’absence de ce signe de vénération liturgique autour de la tête de Méthode. Le peintre romain du XIe siècle n’avait connaissance que de la vénération dont était l’objet dans la Ville la mémoire de Nicolas Ier et de Cyrille, et il ignorait entièrement le sort de l’autre apôtre des Slaves mort en 885 en Moravie.

    Bienheureux cardinal Schuster

  • L’AJC salue l’élection de Sarkozy

    Le Comité juif américain (AJC) a salué l’élection de Nicolas Sarkozy en ces termes :

    « Nous admirons depuis longtemps Nicolas Sarkozy en tant que dirigeant politique pour son profond attachement aux valeurs démocratiques de la France, sa promptitude à affronter les menaces qui pèsent sur ces principes et son implication dans le renforcement des liens transatlantiques. L'AJC apprécie par ailleurs l'empathie exprimée par M. Sarkozy lorsqu'Israël a reçu des menaces, et attend de discuter avec le nouveau président pour savoir par quels moyens la France, en collaboration avec l'UE, pourra contribuer efficacement à la recherche de la paix et de la sécurité en Israël et dans ses pays voisins. »

    Depuis sa prise de fonction au ministère de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy entretient des contacts réguliers à Paris, New York ou Washington avec l'AJC qui lui avait décerné en 2003 le prix Simon Wiesenthal pour son action contre le racisme et l'antisémitisme.

  • La seule « rupture » : contre l’indépendance française

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le président de la République révèle dans une interview au New York Times qu’il « travaille » au retour de la France dans les structures militaires intégrées de l’OTAN.

    Le « travail » consiste à faire accepter par l’OTAN les deux conditions que fixe Nicolas Sarkozy. Or ces deux conditions n’en sont pas, puisqu’elles sont virtuellement réalisées : l’avancée de la politique européenne de défense est un objectif avoué de l’Union européenne, et la nomination d’un Français dans les instances de direction de l’OTAN sera bien entendu la récompense de l’alignement de la France.

    Après les renforts envoyés en Afghanistan, les propos sur l’Iran, et le spectaculaire reniement sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, Nicolas Sarkozy s’affirme ouvertement comme le vassal de George Bush. Et pour enfoncer le clou, il fait cette déclaration aux Etats-Unis.

    Telle est la seule rupture qu’opère Nicolas Sarkozy : une rupture avec la tradition de la Ve République , avec un principe clef de notre politique étrangère, avec l’indépendance de la France.