Au moins 20 membres du CNS (Conseil national syrien), dont plusieurs figures de proue de l’opposition syrienne, ont quitté cette organisation pour constituer le Groupe patriotique syrien, dirigé par l’avocat et ancien juge Haitham al Maleh.
D’autre part, EUobserver remarque que le "Comité national de coordination pour le changement démocratique" a boycotté la réunion de Tunis pour protester contre le traitement de faveur dont bénéficie le CNS tant de la part des Occidentaux que de l’Arabie saoudite et du Qatar.
A cette réunion des « Amis de la Syrie », Alain Juppé a déclaré que la France reconnaissait le CNS « comme l’interlocuteur légitime »…
On constate que ce grand article d’EUobserver parle avec insistance de la « guerre confessionnelle » qui se déroule en Syrie.