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Le Pen - Page 19

  • Le mystère du sous-marin

    Le juge d’instruction Richard Foltzer, chargé de l’enquête sur le naufrage du Bugaled Breizh, en janvier 2004, estime dans un note que l’hypothèse la plus sérieuse est celle d’un sous-marin qui se serait pris dans une fûne, voire dans les deux.

    Le juge l’avait déjà dit aux familles des victimes en juillet 2007. Mais pour la première fois il l’écrit, dans une note remise aux participants d’une réunion Eurojust à La Haye.

    Le parquet a toujours rejeté cette hypothèse, et a même prétendu à plusieurs reprises qu’il n’y avait pas de sous-marin à proximité du lieu du drame.

    En juillet 2004, Jean-Marie Le Pen avait expliqué à National Hebdo, croquis à l’appui, que les données laissaient penser à une croche du chalut par un kiosque de sous-marin. Et il se disait « surpris du nombre de bêtises que l’on peut lire sur cette affaire ».

    La question qui se pose désormais est : pourquoi les autorités ne veulent absolument pas que l’on sache quel était ce sous-marin ?

    Addendum. Le 15 avril, le parquet a réaffirmé que le naufrage du chalutier était dû à un "accident de pêche" et non à un sous-marin. Il est à noter que cette position est également celle du Bureau enquêtes accidents dépendant du ministère des Transports...

  • Une pitoyable saynète

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Contrairement à ce que l’on entend ici et là, le projet de loi sur les OGM, ou du moins l’agitation qu’il a suscitée, est bien dans la ligne du Grenelle de l’environnement. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit d’amuser la galerie pour masquer le fait que les décisions sont prises ailleurs.

    L’impromptu Kosciusko-Morizet sert utilement à masquer le fait que le projet de loi n’est rien d’autre que la transposition d’une directive européenne, elle-même élaborée sous la pression de lobbies mondialistes.

    Comme la politique de la France ne se fait plus au Parlement français, les politiciens n’ont plus guère d’autre initiative que d’improviser de pitoyables saynètes.

  • Ingrid, le fiasco

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La nouvelle « mission humanitaire » organisée par Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner pour venir en aide à Ingrid Betancourt est un nouveau fiasco.

    L’échec était hautement prévisible, puisque les terroristes des Farc n’ont jamais accepté de telles missions, même de la Croix Rouge.

    Ces coûteuses opérations, à la charge du contribuable français, n’ont d’autre but que de soigner la popularité du président de la République et de son French Doctor.

    Mais les échecs à répétition, doublés de quelques infamies comme la promesse d’accueillir en France des terroristes ! en qualité de réfugiés, ne peuvent avoir que l’effet inverse, avec en prime l’humiliation de la France sur la scène internationale.

  • La France, l’OTAN et l’Europe de la défense

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy annonce que la France va réintégrer le commandement militaire de l’OTAN, à condition que progresse l’Europe de la défense.

    Nous sommes opposés à cette décision comme à sa condition.

    L’intérêt de la France ne réside ni dans l’intégration complète à l’OTAN ni dans l’Europe de la défense. Ni dans une « alliance » qui est un alignement sur les Etats-Unis d’Amérique et leur géopolitique devenue folle, ni dans une défense européenne, qui achèverait de détruire ce qui peut encore rester de souveraineté nationale, et qui serait elle-même à la solde de l’OTAN.

  • Une épidémie d’amnésie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    François Fillon a déclaré qu’il n’y avait pas eu de vote au Parlement pour la première guerre du Golfe. Or il y avait eu un vote, et il avait lui-même voté en faveur de la guerre.

    François Fillon a déclaré que Lionel Jospin avait envoyé des troupes en Afghanistan sans vote du Parlement. Or c’est Jacques Chirac qui avait envoyé les troupes, refusant le vote que voulait Lionel Jospin.

    Quant à Nicolas Sarkozy, il veut envoyer de nouvelles troupes en Afghanistan, alors que pendant la campagne électorale il affirmait que la France devait se « désengager » de ce pays. Et il ne donne aucune explication à ce revirement, ayant sans doute oublié cet engagement de campagne comme un certain nombre d’autres.

    L’épidémie d’amnésie devient très inquiétante au sommet de l’Etat.

  • La banderole du PSG

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    En se propageant jusqu’au gouvernement et jusqu’à Matignon et à l’Elysée, l’affaire  de la banderole du PSG a atteint les sommets du ridicule et de l’hypocrisie politico-médiatique.

    Cette banderole est assurément du plus mauvais goût, mais on voit nombre de pancartes, et on entend nombre de couplets, du même genre, dans les stades de football, tout au long de l’année. Faire semblant de le découvrir est grotesque.

    Mais il y a pire encore : quand le MRAP stigmatise un « message xénophobe ».

    On ne peut pas insulter les gens du Nord de façon plus odieuse qu’en les traitant ainsi d’étrangers, quand on sait ce que ces patriotes ont souffert pendant les guerres qui ont dévasté leur territoire.

  • Une offense à la Nation

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy annonce au Parlement britannique que la France va encore renforcer sa présence militaire en Afghanistan.

    Le peuple français apprend cette nouvelle, qui concerne son armée, lors d’une visite du chef de l’Etat à l’étranger.

    Il en est de même pour le Parlement français.

    Cette désinvolture dans l’empressement à jouer les supplétifs des Anglo-américains est une offense à la Nation.

    En outre, la France n’a rien à faire en Afghanistan. Nos soldats n’ont pas à risquer leur vie pour les manèges géopolitiques de l’Oncle Sam.

  • La diffamation à géométrie variable

    La Cour de cassation a rejeté le pourvoi formé par Jean-Marie Le Pen contre le jugement qui le déboutait dans le procès qu’il avait intenté au Monde.

    Commentant les propos publiés par Rivarol sur l’occupation allemande, Le Monde disait que Jean-Marie Le Pen présentait la Gestapo comme une « police protectrice de la population ». Ce n’était pas du tout ce qu’il avait dit.

    Mais il a été débouté en première instance et en appel, et il est donc désormais définitivement débouté. Car lorsque Le Monde diffame Le Pen, ce n’est pas de la diffamation.

  • L’anti-discrimination jusqu’à l’absurde

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les médias sont peu diserts sur le nouveau projet de loi contre les discriminations adopté hier soir par l’Assemblée nationale.

    Il convient de rappeler que la Commission européenne avait engagé trois procédures pour obliger la France à mieux transcrire dans son droit des directives de 2000 et 2002.

    Il s’agissait notamment de définir la discrimination indirecte (ce qui ouvre la voie à une chasse aux sorcières sans limites) et de préciser qu’il est interdit d’enjoindre à quiconque de pratiquer une discrimination...

    C’est la lutte contre la discrimination jusqu’à l’absurde. Au point qu’il faut ajouter une série de dérogations pour expliquer que certaines « différences de traitement » selon le sexe ne sont pas des discriminations...

    Ainsi va la dictature de Bruxelles, qui transforme les parlements en simples chambres d’enregistrement de ses ubuesques directives.

    Il n’y avait donc qu’une vingtaine de députés en séance pour avaliser cette humiliation.

    Mais par cette vingtaine de larbins, c’est la France qui est humiliée.

  • Ce n’est pas le jour de l’euthanasie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le remue-ménage savamment orchestré pour la légalisation, franche ou hypocrite, de l’euthanasie, à partir d’un terrible drame personnel, est indigne de la France.

    Ce vendredi saint vient à point nommé pour montrer aux croyants comme aux incroyants que le mystère de la souffrance et de la mort mérite une tout autre réflexion que les jugements à l’emporte-pièce d’idéologues politico-médiatiques prêts à balancer par-dessus bord la sagesse immémoriale de notre civilisation.