Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : sarah

  • Le cardinal Burke avec…

    CRSPX9LWUAA6Iax.jpgLe cardinal Burke donne cet après-midi une conférence de presse sur la parution de la version italienne de son livre sur l’eucharistie, à l’université du Latran. Il est arrivé en compagnie du cardinal Sarah… Et c'est le cardinal Sarah, préfet de la Congrégation pour le Culte divin, qui a ouvert la conférence. Laquelle est suivie très attentivement sur twitter par Francis X. Rocca (auteur de la photo).

    Demain, le cardinal Burke participe à une conférence de presse organisée par l'excellente Voice of the family.

    OCT-2015-POSTER-4.jpg

  • Délire américano-ubukrainien



    Michael “Sarah” Ashton-Cirillo (marié et père d’un enfant), porte-parole très officiel de l’armée ukrainienne pour le public anglophone :

    « La semaine prochaine, les dents des diables russes grinceront encore plus fort et leurs bouches enragées déborderont d'écume dans une frénésie incontrôlable, alors que le monde verra les propagandistes préférés du Kremlin payer pour leurs crimes. Tous les criminels de guerre de la propagande russe seront arrêtés et justice sera rendue. En Ukraine, nous avançons vers cette mission avec la foi en Dieu, en la liberté et en la libération totale. »

    Michael “Sarah” Ashton-Cirillo avait déjà dit notamment que les Russes « ne sont même pas des animaux », et que « l'adoration de l'autel de l'idéologie du genre est le destin des partisans du Kremlin ».

    Sarah-Ashton-Cirillo.jpg

  • Encore Tagle

    Après Zenit, Eglises d’Asie (organe des missions étrangères de Paris) fait également campagne pour le cardinal Tagle, en publiant son propre panégyrique de l’archevêque de Manille, carrément présenté comme l’unique papabile du « Sud ». Une façon sans doute de dire qu’on ne veut pas de quelqu’un comme le cardinal Ranjith, le cardinal Sarah, ou d'autres…

  • Minable

    CEF.jpg

    Alors que les publications vraiment catholiques soulignent l’importance du livre du cardinal Sarah sur le silence, et que le cardinal sera notamment à Versailles dans quelques jours pour le signer, le site de la conférence des évêques de France, qui n’en souffle pas un mot, affiche à la une un… autre livre sur le silence, d’un certain Alain Corbin, paru le… 30 mars.

    Et c’est bien sûr un évêque qui fait l’article…

  • Ça continue

    Sur ordre de François, le cardinal Sarah, préfet de la congrégation pour le culte divin, a promulgué un décret par lequel les prêtres peuvent laver les pieds de n’importe qui le Jeudi Saint (de préférence des musulmanes lesbiennes et des transsexuels bouddhistes, cela va de soi).

    Ainsi le pape régularise-t-il (avec effet rétroactif, donc) ses facéties du Jeudi Saint contraires aux rubriques du Missel, mais surtout contraires au symbolisme liturgique du rite (dont il se moque éperdument), mais finalement contraires aussi à la sainte Ecriture. Il appelle cela « corriger le rite ». Sic.

    Si j’étais le cardinal Sarah, j’aurais démissionné. Mais je ne suis pas le cardinal Sarah, et sans doute que « ça ne se fait pas ». Le temps est venu pourtant de faire quelque chose, avant que ce pape détruise complètement l’Eglise.

    N.B. Cette innovation ne concerne évidemment pas la « forme extraordinaire du rite romain ». Tant que François n’en aura pas décidé autrement…

    Nota bene
    Cité du Vatican, 22 janvier 2016 (VIS). Une erreur s'est glissée dans le premier article du bulletin d'hier: La lettre du Saint-Père au Cardinal Sarah remontait au 20 décembre 2014 et non 2015.

  • “La Nef”

    Le magazine La Nef a un nouveau site internet.

    On peut y lire notamment le texte de la conférence du cardinal Sarah à Varsovie le 22 octobre dernier, dont j’avais mis la vidéo sur mon blog.

    Parmi les nombreux articles d’archive mis en ligne, on trouve en lien sur la page d’accueil la remarquable analyse de l’abbé Gouyaud sur Kasper et la miséricorde.

  • Le racisme selon Tweeter

    La journaliste républicaine Candace Owens vient de prouver que pour Tweeter il y a un racisme acceptable et un racisme inacceptable. Le racisme acceptable, c’est bien sûr le racisme antiblanc.

    Il y a une grosse polémique aux Etats-Unis à propos de l’embauche par le New York Times de Sarah Jeong, une journaliste qui a publié une série de tweets violemment racistes et orduriers contre les blancs et a même lancé le hashtag #CancelWhitePeople : en finir avec les blancs, éliminer les blancs.

    La direction du New York Times a déclaré que Sarah Jeong n’était pas du tout raciste mais que, d’origine asiatique, elle a subi des harcèlements racistes, et qu’elle a « répondu en imitant la rhétorique de ses harceleurs ». Etant bien entendu qu’elle le regrette et que ça ne se reproduira pas.

    Dans le même temps son ancien employeur affirmait qu’elle était victime de « trolls malhonnêtes ».

    Quoi qu’il en soit, la militante ultra-trumpiste Candace Owens, qui avait créé un site internet et une chaîne Youtube pour inciter les noirs à voter Trump, et qui est aujourd’hui la directrice vedette de Turning Point USA, qui s’adresse aux étudiants, a repris les tweets de Sarah Jeong, a remplacé « blancs » par « noirs » pour certains, « blancs » par « juifs » pour d’autres, et les a publiés sur son compte Twitter. La réaction a été immédiate : dénoncée par les vigilants gardiens du politiquement correct, son compte a été suspendu. Pendant 12 heures. Le temps que la direction de Twitter comprenne que Candace Owens est noire et qu’en réalité elle dénonce un racisme. Le compte de Candace Owens a été rétabli, avec les excuses de Twitter.

    Alors que le compte de Sarah Jeong n’a jamais été suspendu, et que certains de ses tweets racistes y sont toujours.

  • La situation dans l’Eglise

    François a inventé une fête de Marie Mère de l’Eglise qu’il a fixée au lundi après la Pentecôte. Ce lundi après la Pentecôte, au moment même où j’écris, le cardinal Sarah, préfet de la congrégation pour le Culte divin, garant de la liturgie romaine, célèbre à Chartres la messe… du lundi de Pentecôte.

  • Et vlan !

    François a envoyé une lettre ouverte au cardinal Sarah pour lui dire que son interprétation du motu proprio Magnum Principium, sur les traductions « liturgiques », était erronée. Il a explicitement demandé au journal italien La Nuova Bussola, qui avait publié la note du cardinal Sarah, de publier sa lettre in extenso.

    Dans cette lettre, in fine, François exige du cardinal Sarah qu’il envoie cette lettre à tous les sites qui ont publié « la note “commentaire” » « par erreur attribuée à votre personne ». Sic ! « Et à toutes les conférences épiscopales, membres et consultants de ce dicastère »…

    En bref, le cardinal Sarah, dans un texte dûment revêtu des sa signature (publié en français par L’Homme Nouveau), tentait de maintenir un contrôle des traductions « liturgiques » par Rome. Mais le pape a décidé qu’on devait laisser les conférences épiscopales traduire ou adapter comme bon leur semble (sauf pour les formules sacramentelles les plus sensibles).

    Lorsque le cardinal Sarah avait demandé que la messe soit célébrée ad orientem, François avait réagi de façon très humiliante par un simple communiqué du « bureau de presse » du Vatican, indiquant que le propos était nul et non avenu. Cette fois, c’est par une lettre signée de sa main qu’il contredit ouvertement le préfet de la congrégation pour le culte divin. C’est comme si Jean-Paul II avait envoyé une lettre ouverte pour dénoncer les propos du cardinal Ratzinger critiquant la « catéchèse » française…

    Sur le plan « liturgique », tout cela n’a aucune importance, puisque de toute façon il y a longtemps que les évêques (comme pour la catéchèse) n’en font qu’à leur tête, et qu’ils ont poussé le vice jusqu’à fabriquer une « Bible de la liturgie » qu’ils ont mise sous copyright, montrant ainsi qu’il ne s’agit pas de la Bible mais d’une fantaisie de leur création, puisque ce serait un énorme scandale si des évêques vendaient la parole de Dieu.

    Quant au cardinal Sarah, on sait qu’il ne sera plus préfet de la congrégation pour le culte divin le 23 novembre 2019. Mais on se demande comment il va pouvoir le rester jusque-là…

    Voir sur Benoît et moi l’article de La Nuova Bussola et la vive réaction de Denis Crouan, qui n’est pas un « intégriste »… La présentation de l’affaire par la Pravda vaticanesque est ici.

    N.B. Ce 22 octobre, le cardinal Sarah était à Varsovie, au congrès Europa Christi (en français, à 54 minutes) :

  • Un tournant ?

    EOGML5RW4AYbBEj.jpg

    On attendait pour Noël l’exhortation apostolique amazonienne de François, avec parmi les nouveautés de l’Esprit le sacerdoce pour les hommes mariés, et plus si l’Esprit souffle plus fort.

    Rien n’est venu à Noël, ni au jour de l’an, mais voici, pif, paf, poum, bang, ce livre signé du pape émérite et du cardinal Sarah, à paraître mercredi, dont l’objet est précisément de souligner qu’on ne doit en aucune manière affaiblir la loi du célibat sacerdotal.

    Naturellement, la réaction des modernistes est à la mesure du choc que produit l’annonce de la parution de ce livre. On en verra quelques exemples ici et . Ils ne reculent devant rien, pas même devant l’affirmation que Benoît XVI est gâteux et que c’est son entourage qui se sert de lui pour attaquer le pape…

    On trouvera le sommaire ici.

    Voici la présentation du livre par l'éditeur:

    Les débats qui agitent l’Église depuis plusieurs mois ont convaincu Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah qu’ils devaient s’exprimer.
    Depuis sa renonciation, en février 2013, la parole du Pape émérite est rare. Il cultive le silence, protégé par les murs du monastère Mater Ecclesiae, dans les jardins du Vatican.
    Exceptionnellement, en compagnie du cardinal Sarah, son grand ami, il a décidé d’écrire sur le sujet le plus difficile pour l’Église : l’avenir des prêtres, la juste définition du sacerdoce catholique et le respect du célibat.
    À quatre-vingt-douze ans, Benoît XVI signe un de ses plus grands textes. D’une densité intellectuelle, culturelle et théologique rare, celui-ci remonte aux sources du problème : « Au fondement de la situation grave dans laquelle se trouve aujourd’hui le sacerdoce, écrit-il, on trouve un défaut méthodologique dans la réception de l’Écriture comme Parole de Dieu. »
    À son analyse implacable répond le texte du cardinal Robert Sarah. Il apporte son éclairage singulier avec la force, la radicalité et la sagesse qui lui sont propres. Nous y retrouvons le courage de la réflexion de l’un des plus importants prélats de l’Église.
    Les deux auteurs se répondent, se complètent et se stimulent. Ils livrent une démonstration parfaite, sans crainte d’ouvrir le débat.

    Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah ont répondu à l’élan de leurs cœurs. Ce livre fera date. À bien des égards, il est unique. Et, certainement, historique.