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Le 1er janvier, les Ukrainiens célèbrent l’anniversaire de la naissance de leur héros nazi Bandera. L’Eglise du régime, devant les drapeaux rouge et noir, chante elle aussi l’hymne au massacreur de juifs et de Polonais qui proclamait après avoir reçu 2,5 millions de reichsmarks pour son armée : « L'État ukrainien restauré travaillera sous l'appui de la Grande Allemagne national-socialiste qui, sous Adolf Hitler, crée un nouvel ordre en Europe et dans le monde ».
Anniversaire célébré aussi sur les pages Facebook et Twitter du Parlement ukrainien, comme sur la page Telegram du commandant en chef de l’armée ukrainienne posant sous un portrait de Bandera, etc.
Pendant ce temps-là le délire s'intensifie. Oleksiy Danilov, le secrétaire du Conseil de défense et de sécurité nationale d’Ukraine, déclare que dans un proche avenir la Fédération de Russie deviendra une colonie d’un de ses voisins.
L’autre « Oleksiy », Arestovitch, le célèbre conseiller de Zelensky, et chargé de la propagande militaire, affirme : « Déclarer une monarchie en Ukraine est une étape très logique. Cela nous permettra de revendiquer le droit à l'héritage de la Rus de Kiev et d'avoir une figure qui unira tous les Ukrainiens. »
Hymne Acathiste au Très Doux Jésus, extrait du « triptyque de la Nativité du Christ » enregistré par le chœur du monastère de la Trinité-Saint-Serge pour célébrer le 2000e anniversaire de la nativité du Christ.
Kondakion 1
Puissant chef d'armée et Seigneur, conquérant de l'enfer, moi, Ta créature et Ton serviteur, je T'offre des hymnes de louange, car je suis délivré de la mort éternelle. Toi qui possèdes une ineffable miséricorde, délivre moi de tout péril, tandis que je crie vers Toi: Jésus, Fils de Dieu, aie pitié de moi!
Ikos 1
Créateur des anges et Seigneur de puissances, ouvre mon esprit perplexe et mes lèvres pour louer Ton Nom très pur, comme Tu libéras autrefois l'ouïe et la langue d'un sourd-muet, qui se mit alors à proférer des paroles semblables : Jésus très merveilleux, étonnement des anges. Jésus très puissant, délivrance des Ancêtres. Jésus très doux, exaltation des Patriarches. Jésus très glorieux, affermissement des Rois. Jésus très aimé, accomplissement des prophètes. Jésus très admirable, courage des martyrs. Jésus très tranquille, joie des moines. Jésus très miséricordieux, douceur des prêtres. Jésus très clément, abstinence de ceux qui jeûnent. Jésus très doux, joie de ceux qui sont pieux. Jésus très honorable, chasteté des vierges. Jésus éternellement présent, salut des pécheurs. Jésus, Fils de Dieu aie pitié de moi !
Kondakion 2
En voyant pleurer amèrement la veuve, Tu fus ému jusques à la pitié ô Seigneur, et Tu ressuscitas son fils que l'on allait ensevelir ; de même aie pitié de moi et ressuscite mon âme qui est mortellement touchée par les péchés tandis que je crie vers Toi l'ami de l'homme : Alléluia!
Ikos 2
Cherchant à comprendre cette connaissance qui ne peut être comprise, Philippe demanda : "Seigneur, montre-nous le Père." Mais Tu lui répondis : "Il y a si longtemps que tu es avec Moi et pourtant tu ne sais pas que Je suis dans le Père et que le Père est en Moi ?" C'est pourquoi, je crie vers Toi l'insondable avec crainte : Jésus, Dieu qui existes éternellement. Jésus Roi très puissant. Jésus, Maître patient. Jésus, Sauveur très miséricordieux. Jésus, mon gardien très bienveillant. Jésus, purifie-moi de mes péchés. Jésus, efface mes iniquités. Jésus, pardonne mes injustices. Jésus, mon espoir, ne m'abandonne pas. Jésus, mon aide, ne me rejette pas. Jésus, mon créateur, ne m'oublie pas. Jésus, mon pasteur, ne me laisse pas me perdre. Jésus, Fils de Dieu aie pitié de moi !
℟. Hic qui advenit, nemo scit nomen ejus, nisi ipse solus : vocatur Verbum Domini, habens vestum præclaram : Et omnis chorus Angelorum in albis sequuntur eum. ℣. Oculi ejus velut flamma ignis : et in capite ejus diademata multa. Et omnis chorus Angelorum in albis sequuntur eum.
Celui qui est venu, personne ne connaît son nom, si ce n’est lui seul : on l’appelle le Verbe du Seigneur, lui qui a un vêtement éclatant. Et tout le chœur des anges le suit en vêtements blancs. Ses yeux sont comme une flamme de feu, et sur sa tête il y a beaucoup de diadèmes.
Ce mystérieux répons des matines n’existe plus que dans le bréviaire monastique. Il était très répandu au moyen âge comme en atteste le fait que le site Cantus l’a trouvé jusqu’ici dans 129 manuscrits, affecté à divers offices des matines entre le jour de Noël et la veille de l’Epiphanie.
Celui qui est venu, personne ne connaît son nom, on l’appelle le Verbe du Seigneur. Si on l’appelle ainsi, c’est que c’est son nom… Mais on le connaît et on ne le connaît pas en même temps, car on le connaît à la façon humaine, et seul lui le connaît de façon divine. « On l’appelle le Verbe du Seigneur », mais on l’appelle aussi Jésus. Et c’est le nom qu’on donne ce jour au Verbe du Seigneur, parce qu’il a pris chair pour devenir le Sauveur des hommes.
Ce répons vient du chapitre 19 de l’Apocalypse, mais les allusions à la Passion ont été gommées. Celui qui est venu est d’ores et déjà le ressuscité qui règne dans la gloire céleste.
Et vidi cælum apertum, et ecce equus albus, et qui sedebat super eum, vocabatur Fidelis, et Verax, et cum justitia judicat et pugnat. Oculi autem ejus sicut flamma ignis, et in capite ejus diademata multa, habens nomen scriptum, quod nemo novit nisi ipse. Et vestitus erat veste aspersa sanguine : et vocatur nomen ejus : Verbum Dei. Et exercitus qui sunt in cælo, sequebantur eum in equis albis, vestiti byssino albo et mundo. Et de ore ejus procedit gladius ex utraque parte acutus, ut in ipso percutiat gentes. Et ipse reget eas in virga ferrea : et ipse calcat torcular vini furoris iræ Dei omnipotentis. Et habet in vestimento et in femore suo scriptum : Rex regum et Dominus dominantium.
Je vis ensuite le ciel ouvert, et voici un cheval blanc ; et celui qui le montait s’appelait le Fidèle et le Véritable, il juge et il combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu, et sur sa tête il y avait de nombreux diadèmes, et il portait écrit un nom que nul ne connaît, si ce n’est lui-même. Il était vêtu d’un vêtement teint de sang, et il s’appelle le Verbe de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, vêtues d’un lin blanc et pur. Et de sa bouche il sort une épée tranchante des deux côtés, pour en frapper les nations ; et il les gouverne avec une verge de fer, et c’est lui qui foule la cuve du vin de la fureur de la colère du Dieu tout-puissant. Et sur son vêtement et sur sa cuisse il porte ce nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.