Le Premier ministre tchèque Andrej Babiš, le Premier ministre slovène Janez Janša, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, le président serbe Aleksandar Vučić, le président serbe de la présidence bosniaque Milorad Dodik, le ministre hongrois chargé de la Famille Katalin Novák. Ils participaient les 23 et 24 septembre à Budapest à une conférence internationale sur la famille. Il y avait aussi notamment le ministre polonais de la Famille, l’ancien vice-président américain Mike Pence, ainsi que, du côté français, Marion Maréchal et Eric Zemmour.
C’est un véritable succès pour Orbán d’avoir ainsi montré qu’il n’est pas isolé, mais que d’autres dirigeants disent et pensent comme lui quand il s’agit de la défense de la famille et de l'identité nationale, de l’incitation à la natalité et non à l'immigration, de la lutte contre toutes les idéologies destructrices de la famille, LGBT, genre, et woke. Le petit pays qu’est aujourd’hui la Hongrie est devenu un porte-flambeau de cette cause. Et sans faux-semblant, sans langue de bois.
Le Premier ministre Orbán: Le but du gouvernement est de faire de la Hongrie un pays ami de la famille. Il a dit que la politique familiale du gouvernement vise à soutenir les jeunes couples planifiant une famille. (On notera l'emploi des mots de l'expression "planning familial" dans un sens positif.)
Orbán: L'Occident n'a tout simplement pas la volonté de se maintenir. Le Premier ministre Orbán a déclaré avoir remarqué « avec inquiétude que les mouvements néo-marxistes woke gagnent rapidement en popularité » en Occident.
Soulignant que si la Hongrie avait organisé des consultations nationales et des votes populaires dans le but de renforcer les lignes de défense de la famille et de l'identité nationale, alors que personne en Europe occidentale ou à Bruxelles n'avait jamais sondé l'opinion des gens sur la propagande LGBTQ ou l'immigration, il a déclaré : « La migration est ici une question d'identité. Un pays européen ne peut fonctionner que si ses membres ont largement les mêmes vues sur les questions fondamentales. Les nations en Europe qui n'ont pas ce terrain d'entente sont vouées à se désintégrer. »
Commentaires
Marion et Eric-Moussah se font une belle pub avec cette conférence, mais le sauveur ne viendra pas par les urnes.
Exact : être de droite, c'est lutter contre la culture de mort qui envahit tout. C'est mettre fin à l'immigration. Mais ce n'est pas tout.
Je ne vais pas vous faire le programme, vous n'avez qu'à ouvrir l'Evangile. Etre de droite, ce n'est sûrement pas mener une vie de bâton de chaise (Marion), avoir les mêmes financiers que Macron pour sa campagne et porter aux nues l'affreux exemple israélien (Zemmour) : Israël, c'est l'exemple des migrants qui ont réussi. Et les autochtones en ont pris plein la gueule !
On note l'absence des Croates, jadis au premier rang des combats catholiques...
P.S. Marion M. a régularisé sa situation (mariage religieux à S. Cloud). Que celui qui n'a jamais péché...