La cour administrative d'appel de Nancy a infirmé la décision d’octobre 2015 et elle « ordonne au CHU de Reims de donner au praticien les moyens de poursuivre le processus de consultation ».
Cette décision « implique seulement que la procédure collégiale soit reprise au sein du CHU de Reims », mais « ne préjuge en rien de l'issue de cette procédure », croit bon de préciser la cour, qui d’autre part a qualifié d’illégal l’arrêt de la procédure décidé par le Dr Daniela Simon.
La cour d’appel s’honorerait d’au moins éviter l’immonde hypocrisie de son commentaire. Elle sait parfaitement que la procédure était celle d’un « arrêt des soins » (selon l’expression, d’une criminelle hypocrisie, qui veut dire « faire mourir de soif »), et que le Dr Simon, qui veut la mort de Vincent Lambert, avait suspendu la procédure parce que « les conditions de sérénité et de sécurité » n’étaient pas réunies.
Mais en quoi sont-elles réunies aujourd’hui ?
Commentaires
Je ne perds pas espoir. Nous sommes beaucoup à prier pour lui.
Les immondes charognards s'obstinent dans leur tentative d'assassinat! Ces orgueilleux sont vexés d'avoir été contrés dans leur but de liquider les handicapés (ils se rabaissent au niveau de nazis, et peut être même plus bas). Preuve que le maintien en vie de Vincent est un enjeu fondamental dans la lutte contre la culture de mort et ses promoteurs qui décident qui a droit à la vie.