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L’offensive

A peine venait-on d’apprendre que la seule audience du pape à Washington était pour un « couple » homosexuel de ses amis, qu’un membre de la curie faisait son « coming out ». Par l’intermédiaire d’un groupuscule polonais de militants LGBT, qui publiaient une vidéo et un manifeste en dix points.

Dans le même temps, par un tir groupé, un journal italien et une revue polonaise publiaient des interviews de ce prêtre polonais de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui affirme vivre heureux avec un homme. Et ce midi il donnait une conférence de presse à Rome, dédiant son coming out « à la fantastique communauté gay, lesbienne et transsexuelle qui demande le respect mutuel des droits ».

Ce n’est évidemment pas par hasard que cela (comme la comédie pontificale américaine) se passe à la veille du synode : « Mon coming out doit être un appel au synode pour que l’Eglise arrête ses actions paranoïaques à l’égard des minorités sexuelles. »

Voici la traduction de ce qu’il dit sur la vidéo :

Mon nom est Krzysztof Charamsa. monseigneur Krzysztof Charamsa. Je suis membre de la Congrégation pour la doctrine de la foi… secrétaire adjoint de la Commission théologique internationale. Je suis théologien, philosophe, je donne des cours de bioéthique à l’Université pontificale grégorienne… Je suis gay… J’aime notre pays, notre patrie, je suis un patriote… lorsque, au Parlement, dans ma patrie, quelqu’un peut débiner une personne homosexuelle en toute impunité, en toute impunité, et on ne lui coupe pas le micro… Si quelqu’un peut faire le tour de mon pays, comme le P. Oko, avec son théâtre de l’absurde, sa démagogie, ses idéologies, et le faire en toute impunité… [Le P. Dariusz Oko, professeur à l’Université pontificale de Cracovie, est connu pour son combat contre l’idéologie du genre.]

Lorsque quelqu’un devenant Président de ce pays peut impunément faire des insinuations sur les tenues inappropriées de mon groupe social (sic), et que le lendemain il ne s’excuse pas pour ses paroles… en toute impunité !

Quand l’ancien président, pendant cinq ans, n’a jamais rencontré de familles homosexuelles, pas même une demi-heure, pour les regarder dans les yeux. Et de les ignorer, impunément !

L’Eglise est silencieuse, affreusement silencieuse, et quand Dominique, de Biezun, se suicide parce qu’il ne peut plus supporter l’homophobie, la haine… L’Eglise garde le silence, et, de façon légaliste, laisse le tout devant un procureur. Quand l’Eglise devrait être une autorité morale, elle garde le silence. Cela signifie que nous avons atteint une crise croissante : hypocrisie, mensonge, insensibilité. Où est notre Evangile ?

Son manifeste en dix points est sans surprise. On y trouve toutes les revendications homosexuelles (et de l’idéologie du genre). Le point 4 énumère les documents « cruels et incompétents » que l’Eglise doit réviser : la déclaration Persona humana (1975), la Lettre sur la pastorale à l’égard des personnes homosexuelles (1986), les Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles (2003), le Catéchisme de l’Eglise catholique (n.2357-2359). On notera le point 9 : « Nous demandons que l’Eglise arrête sa persécution et ses crimes contre les homosexuels et cesse de commettre de tels actes à partir de maintenant. »

On peut se demander si Mgr Charamsa est sain d’esprit, quand on lit aussi dans l’édition polonaise de Newsweek qu’il dit : « Le clergé est largement homosexuel et aussi, malheureusement, homophobe jusqu’à la paranoïa car paralysé par le manque d’acceptation pour sa propre orientation sexuelle. » On croirait lire Charlie Hebdo.

Le Père Lombardi, qui ne chôme pas, a dû y aller de son couplet (en quatre langues) pour tenter de désamorcer la nouvelle bombe :

Mis à part le respect dû aux personnes, à leur vie privée et au débat socio-moral, une démarche aussi retentissante à la veille de l'ouverture du Synode est offensive et irresponsable. De fait, elle tend à opérer une pression médiatique sur l'assemblée synodale. Il est clair que Mgr Charamsa ne peut plus assumer son service auprès de la Congrégation pour la doctrine de la foi comme auprès des Universités pontificales. Quant aux mesures disciplinaires le regardant, elles relèvent de son évêque diocésain.

Mais le pape, lui, peut recevoir en unique audience (filmée) à Washington un ami homosexuel et son compagnon, et « une démarche aussi retentissante à la veille de l'ouverture du Synode » n’est pas « offensive et irresponsable »… Pauvre Père Lombardi...

N.B. - Selon le P. Lombardi, c'est donc la "démarche" de Mgr Charamsa qui est inacceptable, non le fait qu'il soit un prêtre homosexuel pratiquant. En outre elle est inacceptable parce qu'elle est "retentissante" et qu'elle a lieu juste avant le synode. On en conclut logiquement que si Mgr Charamsa n'avait pas fait cette démarche, ou si simplement elle n'avait pas été retentissante ou avait été faite à un autre moment, il aurait pu rester à la Congrégation pour la doctrine de la foi et dans les universités romaines... Interprétation qui découle du texte, et qui est conforme au fait que Mgr Ricca, le "prélat du lobby gay", est non seulement toujours le directeur de Sainte-Marthe mais a été promu "prélat" de la banque du Vatican.

Commentaires

  • Je vais dormir ! Horrible ! A quand le soufre?

  • Ce n'est pas seulement le Catéchisme qu'il faut réviser, mais aussi saint Paul, sans parler de l'Ancien Testament, qui condamnait à mort les homosexuels.

  • Il en parle aussi. Il dit qu'il faut "réinterpréter", c'est-à-dire "contextualiser" ces vieilleries.

  • @Daoudal: "Il en parle aussi. Il dit qu'il faut "réinterpréter", c'est-à-dire "contextualiser" ces vieilleries."
    Pourriez-vous me dire à quelle moment ce Pape a encore modifié la vérité? Merci

  • Je ne parlais pas du pape mais de Mgr Charamsa.

  • @Daoudal OK. Je pensais que c'était ce Pape, car c'est tout à fait son "genre".

  • Évidemment les médias se régalent et ce prêtre qui en toute humilité fait la leçon à l’Église se laisse complaisamment photographié avec son "compagnon". Mais les manœuvres du diable sont vaines car les portes de l'Enfer ne prévaudront jamais conte l’Église. Prions pour notre pauvre Europe décadente et qui ne comprend vraiment rien à rien.

  • Un coming out devrait être associé automatiquement à une démission. On ne peut pas être en même temps prêtre et pécheur public.
    Ensuite, je n'ai pas à imaginer ni dire ce que devrait faire l'Eglise. Mais en tout cas la personne ne devrait plus continuer la mission que lui avait confié l'Eglise.
    Ce qui est choquant pour un laïc lambda, c'est moins les moeurs en elles-mêmes que le fait que la personne continue d'être payée, honorée et qu'elle peut répandre ses erreurs autour d'elle et même sur le plan international.

  • Dans quelles ténèbres est-il allé chercher tout .... çà ?

    Quelle hargne !

  • Dans ce cas, il faudrait brûler toute la Bible, de la Genèse aux Psaumes.

  • http://eponymousflower.blogspot.com/2015/10/polish-bishop-suspends-msgr-krzysztof.html?m=0


    Les eveques polonais ont les choses que Rome aurait du dire!

  • Travail de destruction de l'Eglise â coups de butoir...désarroi de nous autres les petits , les obscurs , les sans grades de l'Eglise ...ils se délectent à nous blesser . Se réfugier dans la prière et le catéchisme.

  • Votre réflexion est très juste et vous n'êtes pas seule , restons unis dans la prière et que le volonté de Dieu soit faite .

  • A la place de ce Mgr, je demanderais à l'Evêque luthérienne de Stokholm, qui est lesbienne " mariée " à une pasteure, une affectation à une paroisse de son diocèse. Je suis sûr qu'elle l'accueillera à bras ouverts.
    Mais je pense que ce malheureux épisode aura sur le synode l'effet contraire qu'il croit, car cela ouvrira les yeux de beaucoup sur le degré d'infiltration du Mal dans la Sainte Eglise et quand le Mal est identifié dans toute sa gravité, on peut mieux s'en prévenir.

  • Bonjour et bon dimanche,

    1. Il n'a pas dédié son coming-out à "la fantastique communauté des chômeurs, des chômeuses, des précaires, qui demande le respect mutuel des droits".

    Au moyen de cette boutade, je viens de vous (re)dire à quoi sert souvent la mise en avant et en valeur de la question sexuelle : elle sert souvent à faire oublier que nous sommes en présence de régimes politiques et de systèmes économiques dans lesquels on ne peut plus, on ne sait plus, ou on ne veut plus traiter, d'une manière non avant tout palliative, la question sociale.

    L'ouverture officielle de nouveaux droits aux uns permet ainsi de faire oublier la fermeture effective d'autres droits aux autres, même si, évidemment, on peut être à la fois chômeur et homosexuel.

    La véritable miséricorde devrait conduire bien plus souvent les hommes d'Eglise à dénoncer le subterfuge, la supercherie, qui consistent à prioriser la prise en compte opportuniste de la question sexuelle, au détriment de la prise en compte efficace de la question sociale, mais la véritable miséricorde n'est pas médiatiquement correcte ni mondialistement correcte.

    Voilà quel est "tout le problème", pour "les amis du Pape François".

    2. Il y a un autre aspect que l'on peut remarquer, c'est le narcissisme accusateur de ceux qui disent en substance :

    "mon identité et mon orientation sont légitimes et libérateurs, et si je cherche à en imposer la reconnaissance aux aux autres, c'est

    - pour qu'ils cessent de m'exclure, de me mépriser, de me négliger, de m'opprimer,

    - pour qu'ils se défassent de leurs préjugés arbitraires et asservissants,

    quitte à ce que cela les amène ou les contraigne à renoncer, bien entendu, pour leur bien, à une partie de ce qui fonde leur propre identité, leur propre orientation."

    En réalité, les catholiques résistants, qui n'ont pas besoin d'être homophobes, pour ne pas être homolâtres, sont des reproches vivants pour les catholiques non résistants, ou pour les non catholiques qui veulent que la résistance soit "non seulement impossible, mais aussi impensable".

    C'est pour quand, la transformation des diocèses et des paroisses en autant de camps de rééducation axiologique ?

    Bon courage et bon dimanche.

    A Z

  • Nous nous passons de la crétinerie sournoise et vipérine de votre logorrhée de pêcheur en eaux troubles.

  • Addenda :

    - Je n'ai pas besoin de votre "bonjour".

    - Je n'ai pas besoin de votre "bon courage" car j'ai à vous revendre.

    - Et je n'ai pas besoin de votre" bon dimanche".

    Je méprise les loups sous laine de brebis.

  • Dranem, nous nous passerions tout aussi bien de votre hargne gratuite. Vous n'êtes pas chez vous mais chez moi, ayez un minimum de respect pour mes visiteurs. Merci.

  • @A Z: Enfin de retour! Bonne chose pour "moi", excusé du "moi" ce n'est pas du "narcissisme" de moi, mais salutation de vous et votre raisonnement!
    Bonne respiration A Z!

  • Je suis de l'avis de Damien Ier ci-dessus.

    Le scandale de ce merdeux, infiltré dans l'Eglise et qui vient de se démasquer en public, va probablement provoquer la révolte d'une majorité d'évêques au synode : les outrer et les braquer durement contre la pente du relâchement.

    Ce merdeux était un cheval de Troie, que François Ier aurait voulu éviter. Cette affaire est une balle dans son pied. Il avait dit : "Qui suis-je pour juger..." Le voilà maintenant JUGE malgré lui, car forcé d'entériner la dégradation de ce merdeux, son expulsion hors du service de l'Eglise ainsi que les sanctions canoniques que prend l'évêque de ce merdeux pour le mettre hors d'état de nuire.

    Voilà ce que ça coûte d'avoir proféré, tête en l'air : "Qui suis-je pour juger" alors qu'il est censé être le Juge-né, et le Vengeur-né, de la Loi divine bafouée.

    Activement ou passivement François Ier est forcé d'entériner les sanctions contre ce merdeux sans pouvoir faire autrement. De force __ par les faits mêmes __, Dieu l'oblige à JUGER.

    Quant à ce merdeux, il est écrit : "Malheur à celui par qui le scandale arrive ! C'est une nécessite que des scandales arrivent. Mais malheur à l'homme par qui ils arrivent."

  • Et voilà ! On y est .! Ce Mgr est une pointe de l'iceberg.
    L'éclaireur d'une armée innombrable ,pas encore visible.
    Sa déclaration spectaculaire et provocatrice se fait sur la certitude que la bataille qui vient sera gagnée.
    Sauf.... que le dernier mot n'est pas encore dit .

  • Dramen,

    comprenant que vous soyez outré par les agissements de ce prêtre, vous oubliez tout de même qu'il est et reste prêtre.

    Ce qu'il fait est inqualifiable, mais si Dieu tout puissant lui a permit malgré tout d'être prêtre pour l'éternité, cela mérite le respect. il représente, même malgré lui, bien plus que lui-même.

    oui, il faut que ce prêtre soit banni, car c'est un loup ravisseur, non, il n'y a pas besoin de le couvrir d'injures, car il s'est fait injure lui-même et il a fait du même coup injure à Dieu, en profanant son sacerdoce.

    Je vous propose de prier ensemble pour ce prêtre qui a commis l'abomination aux yeux de Dieu, ( c'est ce que Moïse, Torche de Dieu, déclare explicitement.), avec la Lorica, l'Armure, de Saint Patrick. ( en version non édulcorée)

    Si personne ne prie à sa place, avec les mots de ce saint énorme qu'est Saint Patrick, je crains vraiment pour le salut de ce pauvre prêtre et de son mignon.


    P.S.:

    N'en doutez pas, on les aura !

  • Je vous rappelle que Dieu a permis que Judas Iscariote soit élu au nombre des douze Apôtres.

    Pour autant, cela n'a rien changé à sa damnation puisque Dieu fait chair a dit de lui : "N'est-ce pas Moi qui vous ai choisis ?... Et pourtant l'un de vous est un DÉMON." (Jn 6,70).

    Si c'est Dieu Lui-même qui qualifie quelqu'un de démon, c'est que cet état est définitif, un démon ne venant jamais à résipiscence. C'était pourtant l'un des Apôtres.

    A la Cène, il redira au sujet de ce même démon : "Pas un d'eux ne s'est perdu, sauf le fils de perdition." (Jn 17,12).

    Ce jugement sur l'un des Douze, pourtant tous élus, est prononcé par Dieu même venu dans la chair.

    Quant au délinquant dont il s'agit, il pourra certes être pardonné par l'Eglise, puisqu'elle a reçu tout pouvoir pour cela. Mais à condition qu'il répare la blessure publique qu'il vient d'infliger au corps de l'Eglise __ lui qui pèche par péchés sexuels peut-être abominables, donc mortels, et ose tenir entre ses doigts le Saint-Sacrement __ par une réparation publique et une demande de pardon publique. Quand la blessure et le scandale sont publics, la réparation et la pénitence doivent être publiques. Et exemplaires.

    Or l'audace luciférienne, la forfanterie et la provocation sataniques avec lesquelles il a commis sa scandaleuse déclaration publique (qui a réjoui tous les ennemis de l'Eglise), il évident qu'au for externe, miroir du for interne dans ce cas, il n'a aucun regret du scandale qu'il donne et qu'il y persévère avec orgueil. A moins qu'il n'en revienne, et publiquement, il est et reste donc sous le jugement.
    Prêtre, il est censé savoir tout cela mieux que quiconque.


    Par ailleurs : Que l'on cesse de donner du "Monseigneur" à ce délinquant. Au moins dans sa non-résipiscence actuelle. A ce titre, beaucoup croiraient qu'il s'agit d'un évêque, ce qu'il n'est heureusement pas. C'est un simple prêtre. Et ce titre est celui d'une simple prélature honorifique, non épiscopale, qu'il a publiquement déshonorée.

  • La Lorica, en anglais:
    http://www.ewtn.com/Devotionals/prayers/patrick.htm

  • Au delà du "coming out" , qui fait jaser dans les chaumières les médias et les "chapelles" , et de son "timing" avec mise en scène bien étudiée ( le petit copain ...du moment exhibé ) , ce qui suscite , pour moi ,des abimes de perplexité est qu'un tel prêtre ai pu occuper de telles fonctions depuis des années ......

    Cela laisse songeur sur le l'absence de discernement , l'absence d'accompagnement , l'incurie des PASTEURS de l'Eglise censés paître le troupeau et veiller , notamment , sur les prêtres .

    Il va falloir au pape actuel , autre chose qu'une "miséricorde" facile et bon enfant au rabais .
    Il va falloir prêcher la conversion et la pénitence .
    Ce pauvre prêtre parait être plutôt un militant qu'un pénitent ....

    "Dieu retrouvera les siens"

  • Je suis d'accord avec Hermenias qui exprime parfaitement ce que je ressens.

  • Hermeneias,

    Votre analyse est juste, c'est le genre de personne qui ne demande ni pénitences ni repentance, certains medias anglo-saxons n'hésitent pas d'ailleurs à parler d'homomafia, pas moins et ce n'est pas une exagération de vendeur de voitures à l'américaine.

    ce que j'écrivais n'était pas pour instiller un sentiment de culpabilité à quiconque, mais parce que ces ennemis là, sont nos ennemis précisément, et qu'il faut les aimer comme tels, comme le demande le divin Maître.

    ils n'ont pas assez de mérites pour mériter de faire pénitence ou d'avoir quelques sentiments des torts monstrueux qu'ils font à la Vérité et aux âmes. ces gens là sont entièrement livré à l'esprit de vertige dont parle saint Jean de la Croix.

    cette incapacité, cette impuissance complète marque bien que ce sont des perdus.

    Et nous disciples du Maître, nous devons porter par nos efforts, à l'image du divin pasteur ceux qui sont perdus, leur mériter de désirer sortir de leur ineptie totale, car ces fils là rebelles de son église, nous sommes liés à eux, par cette grâce même qu'ils renient.

    non pas faire une pénitente-grimace, nous excuser avec des prières creuses d'avoir pensé que ces fous ne se sont pas défigurer pour devenir des ouvriers de ruine, mais par amour des âmes.
    Quant à ce qu'ils font, il n'y a rien à excuser, tout à combattre, il n'y a aucune alliance possible entre Jésus le Messie et bélial.

  • sortir du placard serait français.

  • Addenda à "Oh!"

    En fait, cet individu n'aurait jamais dû recevoir le Sacerdoce.

    Aucun homosexuel ne doit le recevoir. Conférer le Sacerdoce a un homosexuel est une monstruosité.

    Le Prêtre doit être hétérosexuel. Un hétérosexuel vivant dans la chasteté et la continence exemplaire jusqu'à la mort. Et ces saints prêtres existent et ont toujours existé.

  • Le problème n'est pas d'avoir des tendances homosexuelles ! Mais de les mettre en pratique ! Qui n'a pas en lui quelques tendances néfastes ? L'un c'est la boisson, l'autre le cannabis, un autre les films x.....

    D'autre part, comme il est écrit dans l'évangile, le disciple quitte tout pour servir Dieu ! Les disciples du Christ étaient presque tous mariés.... En accord avec leur femme, ils décidèrent de suivre le Christ en abandonnant tout. Ce prêtre n'a pas su quitter un amour "humain" ! Qu'il soit un homme ou une femme, il a démontré de toute façon qu'il ne peut pas être un prêtre selon le Christ.

    « Pierre dit alors: VoIci, nous avons tout quitté, et nous t'avons suivi. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérIté, il n'est personne qui, ayant quitté, à cause du royaume de Dieu, sa maison, ou sa femme, ou ses frères, ou ses parents, ou ses enfants, ne reçoive beaucoup plus dans ce siècle-ci, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle» (Luc 18:28-30).

    Jésus répondit: Je vous le dis en vérité, il n'est per­sonne qui, ayant quitté, à cause de moi et à cause de la bonne nou­velle, sa maison, ou ses frères, ou ses soeurs, ou sa mère, ou son père, ou ses enfants, ou ses terres, ne reçoive au centuple, présen­tement dans ce siècle-ci, des maisons, des frères, des soeurs, des mères, des enfants, et des terres, avec des persécutions, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle » (Marc 10:28-30).

    Bref, ce prêtre avait une croix à porter (d'être de tendance homosexuelle), il n' a pas su passer l'obstacle. Qui sommes-nous pour le juger ? Lui jeter la première pierre ? Par contre, de lui-même, il devrait s'apercevoir qu'il ne suit pas le Christ ! Et le Christ n'oblige personne à devenir son disciple ! Alors ? Pourquoi ne quitte-t-il pas l'église catholique ? qu'il crée s'il veut sa propre église ! Mais qu'il ne cherche pas à la dénaturer.

  • Dramen,

    au risque de saturer ce fil de commentaires, je vous dirais qu'abominable devant Dieu, signifie bien d'avantage qu'un péché mortel, car l'exécration de Dieu même se porte de fait sur celui qui commet ce péché là.
    Il s'agit d'un péché qui crie vengeance, Saint Thomas d'Aquin est très clair à ce sujet - comme sur tous les sujets - car il y a une rébellion profonde contre la volonté divine ordinatrice des êtres, ici.

    Judas a péché et il a en plus désespéré de la Bonté Divine en se suicidant. Judas s'est damné. Saint Pierre a fait le même péché que Judas en reniant le Christ également, mais il est devenu saint Pierre car sa foi n'a pas été détruite.

    Tant que la mort n'a pas frappé, tant que l'enfer comme pour Datân et les siens ne s'est pas ouvert sous ses pieds pour l'avaler, il est certain que sur terre, une âme n'est pas abandonnée entièrement à son sort par Dieu lui-même et nous n'avons pas intellectuellement et moralement le droit "d'enjamber sur la providence".

    même pour ces gens là, même pour les pires.

    Nous vaincrons, car comme le dit Gustave Thibon, satan lui-même ne connaît pas son nom véritable, la beauté du mal c'est qu'il n'a de sens que par le Bien, pour le Bien et dans le Bien.

    Sans le Christ nous serions nous aussi de l'ordure, il faut bien prier pour eux, sans confondre comme eux, le mal qu'il font avec le Bien véritable.

  • On ne peut pas dire que St Pierre a fait le même péché que Judas. Judas a tout manigancé mais St Pierre a juste été épouvanté des conséquences d'être connu comme disciple du prisonnier.
    Dans le film de Mel Gibson on peut voir les tortures déjà subies par NSJC avant même son procès.

  • Il ne devrait pas, mais Dieu qui nous dépasse infiniment et qui est maître de tout, l'a permis, malgré une indignité passée ou présente.

    Attention de ne pas tomber dans cette hérésie condamnée par Saint Augustin, qui consiste à juger de la valeur de la grâce au prorata de la vie morale du prêtre.

    les sacrements et même celui de l'ordre donc, ont une vertu - une Force - propre, indépendante de l'univers et du monde, car c'est la Grâce qu'il transmettent.

    le prêtre, l'évêque peut-être perdu de moeurs, sans que cela arrête le moins du monde la Puissance de Dieu.

  • Le problème, aujourd'hui, on n'est même pas certain que le pape actuel ne joue pas un double jeu !

    Que pensait par exemple le père Elipios en novembre 2012 ?
    https://www.youtube.com/watch?v=CdjocZS5tUA

    Qui était ce prêtre orthodoxe ?http://orthodoxologie.blogspot.fr/2014/04/staretz-elpidios-de-nea-skiti-sur-la.html

    Souvenons-nous ! Tous les paiements bancaires étaient suspendus depuis début janvier 2013 au Vatican, ce qui non seulement entraînaient l’asphyxie économique du Saint Siège mais gênaient considérablement les touristes sur place .. Le lendemain de l’annonce de la démission de Benoit XVI, le paiement par carte bancaire était à nouveau possible !

    Un peu avant, on avait observé la démission forcée des chefs d’état italien et grec le 11 novembre 2011 (11.11.11) qui ont été remplacés par des hommes liges de Goldman Sachs !

    Une certaine oligarchie mondialiste, essentiellement judéo-protestante, a toujours eu à cœur de miner le trône de Saint Pierre ! Aurait-elle réussi à le faire ? D'où ce synode qui lui permettra de faire tomber l'Eglise catholique en modifiant de facto son dogme ?

  • A Oh!

    Je ne vois pas où j'ai donné dans l'hérésie mesurant la grâce à l'aune du degré de sainteté. Ne mélangeons pas la grâce au sens général, et la grâce spécifique conférée au chrétien par un sacrement qui lui est administré. Ce sacrement est parfaitement valide, légitime et efficient pour celui qui le reçoit quand bien même le prêtre qui le lui administre serait le pire des pécheurs.

    Ne nous dispersons donc pas et restons dans le sujet : celui de ce scandaleux prêtre, orgueilleux de son scandale, du moins pour le moment.

    Que la grâce soit amoindrie dans le prêtre pécheur (comme chez tout pécheur), et totalement éteinte en lui en cas de péché mortel, cela est de FOI CATHOLIQUE. D'autant plus si, dans la sexualité, il a commis le péché abominable, "celui qui crie immédiatement vengeance au Ciel" et s'il n'en demande pas pardon.

    Ne vous méprenez pas sur le sens de "abominable". Certes, il y a bien des péchés qui sont abominables, comme vous dites. Mais en terminologie "technique" de théologie morale, la désignation spécifique de "péché abominable", en matière sexuelle, désigne strictement et exclusivement la SODOMIE. La Sainte Ecriture qualifie la sodomie spécifiquement d'abominable, et l'Eglise la compte parmi les péchés mortels qui "crient vengeance au Ciel", au même titre que le meurtre.

    Or tout le monde sait que la sodomie est l'acte par lequel s'accomplit l'union charnelle, en finalité, dans les paires homosexuelles masculines. Et voilà que ce délinquant pousse l'audace, la provocation, la forfanterie à faire sa scandaleuse déclaration publique, d'agression contre l'Eglise, en s'affichant devant les caméras avec sa moitié de paire avec laquelle tout laisse supposer qu'il fornique. C'est vrai ou pas ?... ou c'est moi qui ai eu cette illusion visuelle en regardant la sinistre vidéo de sa déclaration ?...

    Vous dites vous-même ici, à quelqu'un, que ce délinquant "est le genre de personne qui ne demande ni pénitence ni repentance". Et vous me dites aussi "qu'il s'agit d'un péché qui crie vengeance", que "Saint Thomas d'Aquin est très clair à ce sujet - comme sur tous les sujets - car il y a une rébellion profonde contre la volonté divine ordinatrice des êtres"...

    Alors, qu'y a-t-il à dire de plus, quand l'individu est lui-même fier de son péché, aime son péché, le vante et fait même sa propagande publique ?

    Si j'ai pris l'exemple de Judas, c'est seulement pour vous rappeler que même des personnes appelées par Dieu (un prêtre est un homme qui a été appelé par Dieu) peuvent en finalité __ par un mystère d'iniquité __ basculer dans la perdition. J'ai donné l'exemple de Judas parce que, dans votre 1er commentaire à moi, vous me disiez : "Vous oubliez tout de même qu'il est et reste prêtre..." Et alors ?... Qui doute qu'il reste prêtre ? Et même prêtre pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisédech. C'est justement ce que je n'oublie pas, et que c'est comme prêtre qu'il risque de se perdre définitivement __ à moins d'une pénitence à temps, et dans ce monde __, et de se perdre encore plus terriblement à cause de sa qualité de prêtre, que s'il ne l'avait pas été. Vous convenez vous-même qu'il est (actuellement) "sans pénitence et sans repentance". Vers quoi se précipite-t-on, dans ce cas ?... Mais gardons pour lui l'espoir qu'il reviendra encore à temps vers Dieu.

    Je sais parfaitement que "tant que la mort n'a pas frappé" (comme vous dites), l'âme n'est pas abandonnée de Dieu en ce monde. Et heureusement. Mais il faudrait également dire : à condition que l'âme ne se ferme pas délibérément à la grâce de Dieu, qui ne cesse d'appeler.

    Car que faut-il penser de celui qui loue et fait la promotion de son péché ? Ne se ferme-t-il pas délibérément à l'Esprit-Saint, péché que rien ne peut pardonner ? Saint Jean Evangéliste a précisément parlé du péché (contre l'Esprit-Saint) pour lequel il demande à l'Eglise de ne pas même prier (1 Jn 5,16). Cela en cas d'impénitence finale, cas où l'âme devient alors passible du sort de Dathan et Abiron, non pas dans la terre, mais "là où seront les larmes et les grincements de dents".

    Il est évident que nous désirons tous le salut de ce prêtre, et qu'il revienne à temps. Espérons que Dieu, par des moyens qui Lui appartiennent, le ramènera au bercail. Mais son attitude actuelle pousse peu à l'optimisme.

    Nous "n'enjambons pas la Providence", nous mesurons seulement le risque d'une fermeture définitive à Dieu. Justement, comme celle de Judas, de Dathan et Abiron et d'autres. C'est bien là l'enjeu de la liberté humaine.

    Vous dites :
    "Nous vaincrons, car comme le dit Gustave Thibon, Satan lui-même ne connaît pas son nom véritable, etc."

    Permettez-moi de vous dire, qu'en juste théologie, Lucifer connaît très bien le sens originel de son nom et comment il est devenu Satan dans sa chute définitive (gare à l'hérésie de l'apocatastase...). Mais ne comparons le cas de ce malheureux prêtre à celui de Satan. Il peut revenir totalement de son péché car c'est un homme, Satan ne peut revenir du sien car sa nature est angélique et déchue.

    Vous dites :
    "Sans le Christ nous serions nous aussi de l'ordure, il faut bien prier pour eux, sans confondre comme eux, le mal qu'il font avec le Bien véritable."

    J'en conviens avec vous.

  • Dramen,


    parlant de donatisme, je ne voulais pas dire apodictiquement que vous en étiez, mais que le propos pouvez y glisser.

    je garde toujours en tête que l'on ne sait jamais si on est lu par une personne ou cent. Ne voyez rien de personnel dans mes propos, je ne vous connais que par les commentaires que vous voulez bien donner des informations de monsieur Daoudal, ce qui est fort peu de choses, bien évidement.

    Je ne cherche pas à excuser la gravité des actes du clerc dont nous parlons (comme le stipule effectivement un commentaire placé plus haut), mais il me semble que nous ne disposons pas des informations nécessaires pour le juger de toute éternité, même si matériellement les actes posés sont d'une gravité extrême. le péché contre le saint esprit a peut-être été commis ou peut-être pas (par exemple espérer follement de son salut, une des six formes de ce péché tel que décrit dans le grand catéchisme du pape saint Pie X), car vous n'avez accès au mieux qu'à la matérialité des faits, mais formellement l'âme de la chose si je puis dire, vous échappe autant qu'à moi.

    le point de vue de Thibon sur Satan n'est pas "poétique", aux élus sont promis de nouveaux noms, et il n'y a aucune raison de penser que cela ne concerne que les hommes. satan, lucifer sont les noms d'une créature qui a refusé l'élection pour en reste à soi seul, il ne peut en aucun cas se connaître comme il est connu de Dieu, et donc se nommer en Vérité.

    vous dites que l'abomination ne concerne, selon la théologie morale que l'acte homosexuel, je n'ai pas le temps de vérifier toutes les occurences du mot dans la Bible, il me semble cependant qu'il existe aussi une occurrence de malédiction comportant ce terme dans le deutéronome à propos de travestissement, ce qui n'est pas en toute rigueur de terme de la sodomie, bien que l'on puisse imaginer une rapport entre les deux (rapport non nécessaire, ce qui peut-être coordonné ne saurait être déclaré nécessaire) mais même cela admit, la théologie morale n'est jamais qu'un instrument pour appréhender une des modalités de la révélation, ce qui m'importe est bien moins un enseignement ecclésiastique - très louable bien évidement mais qui n'a pas comme diraient les scolastiques la même quiddité que la révélation, puisqu'en étant un exposé forcément restreint (la carte n'est pas le territoire) - que le fait d'être par un acte objectivement mauvais, peccamineux, l'objet de l'exécration de Dieu.

    le problème actuel n'est-il pas cette volonté de passer sous silence le fait qu'il existe, des actes mauvais en eux-mêmes, indépendamment de la volonté de celui qui les pose ? le problème du subjectivisme qui fait prendre l'autoroute de la perdition pour le chemin étroit qui mène à la Vie ?

    en fait plus je vous lis, plus je mesure que nous ne sommes pas à des années lumières l'un de l'autre, mais vous mettez une telle passion violente dans certains de vos propos, que j'en crains pour vous l'emportement.

    au plaisir de vous lire, et de jouter encore avec vous !

  • Merci de vos commentaires.

    Vous dites :
    "le péché contre le saint esprit a peut-être été commis ou peut-être pas (par exemple espérer follement de son salut, une des six formes de ce péché tel que décrit dans le grand catéchisme du pape saint Pie X), car vous n'avez accès au mieux qu'à la matérialité des faits, mais formellement l'âme de la chose si je puis dire, vous échappe autant qu'à moi."

    _____________ > J'en conviens. Tout ce que nous disons de ce prêtre délinquant (délinquant, au sens canonique du terme), nous le disons concernant seulement ce qu'il laisse apparaître au for externe ( entre autres, son action extérieure, publique). Nous ne le jugeons pas, Dieu nous en garde, au for interne, dont Dieu seul est juge.


    Vous dites :
    "vous dites que l'abomination ne concerne, selon la théologie morale que l'acte homosexuel, je n'ai pas le temps de vérifier toutes les occurences du mot dans la Bible, il me semble cependant qu'il existe aussi une occurrence de malédiction comportant ce terme dans le deutéronome à propos de travestissement, ce qui n'est pas en toute rigueur de terme de la sodomie" etc.

    ______________> Je n'ai pas dit qu'en théologie morale, seulement la sodomie est qualifiée d'"abominable". Il peut y avoir d'autres péchés abominables, divers. Mais en tout cas, la sodomie, en particulier, et sur la base de la Parole de Dieu, est précisément et nommément qualifiée d'"abominable".
    Certes, oui, c'est l'Ancien Testament. Mais la morale de l'Ancien Testament, tout comme le Décalogue, ne passera jamais. La lettre en est caduque, notamment pour diverses prescriptions légalistes, c'est vrai. Mais en ce qui concerne la morale, l'ancienne Loi ne passera jamais et sa leçon spirituelle vaut pour tous les temps. C'est pourquoi le Christ a averti : "Pas un iota, pas un point sur un iota de la Loi ne passera, jusqu'à ce que tout soit advenu."

    Vous parlez de la Révélation. Mais la condamnation de la sodomie fait justement partie également des choses révélées, de la Révélation au sens large, laquelle ne concerne pas seulement les vérités surnaturelles. Il fallait que Dieu dise que cet acte sexuel est mauvais, car antérieurement à l'histoire des Hébreux, les humains, païens, ne savaient pas explicitement cette condamnation, bien que leur conscience, où est inscrite dès l'origine la loi naturelle, pouvait les avertir déjà implicitement qu'il s'agit d'un mal. C'est la Loi, donnée à travers Moïse, qui viendra finalement mettre sous une lumière crue ce péché, comme d'ailleurs tous les autres péchés.
    En effet, seule la Loi est le révélateur des péchés. Si une loi ne vient pas formellement condamner un délit, le délit ne serait pas constitué et il n'existerait pas. Comme dit saint Paul : "Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la Loi ; par exemple, je n'aurais pas connu la convoitise, si la Loi ne disait : " Tu ne convoiteras pas. " (Rm 7,7).


    Merci de vos bonnes dispositions à mon égard. Oui, j'ai en moi un zèle jaloux pour tout ce qui concerne la sainteté et l'honneur de l'Eglise. Si jamais quelqu'un y attente, la blesse, la déshonore, c'est comme s'il levait la main sur mon père et ma mère. Pour m'excuser, pensez à saint Jérôme... Il a littéralement laminé tous les ennemis ou perturbateurs de l'Eglise qui sont tombés sous sa main. Ou plutôt sous sa plume... Il les a laminés dans ses écrits, une fois pour toutes. Pensez à saint François d'Assise, que l'on croit doux à tort, dans le sens mondain du terme, lui qui avait sous ses ordres un certain frère toujours armé d'un bâton, et qu'il envoyait bastonner ses fils quand ils ne marchaient pas droit ou effleuraient l'hérésie. Mais je ne suis pas digne de dénouer la sandale de saint Jérôme ou de saint François.

    Je vous adresse tous mes respects.

  • Chapeau Dranem !

    L’amour de ta maison fera mon tourment.

  • Merci.



    Non, décidément, l'ANIMAL est toujours à l'offensive, sans repentance et sans pénitence, contre l'Eglise. Vaniteux, orgueilleux, luciférien.

    Renvoyée sur-le-champ du Vatican, renvoyée sur-le-champ de l'université, démise de toute fonction, la BÊTE s'est réfugiée en hâte à Barcelone (paraît-il, la Babylone ibérique des invertis), avec son ordure de mignon, pour y préparer un "livre choc"... d'attaque contre l'Eglise.

    Sans doute saint Michel Archange le tient dans sa mire.


    D'après le Figaro papier.

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2015/10/08/31003-20151008ARTFIG00068-l-eglise-et-la-question-sur-l-homosexualite.php

    (En ligne, article indisponible au complet. Garder le lien. Il sera disponible au complet dans quelques jours.)

  • Alors que le synode achevait sa deuxième journée, un prêtre italien a déclenché une polémique !

    “La question de l’homosexualité dans l’Eglise, c’est un problème réel ?” demandait une journaliste de La7 à Don Gino Flaim, prêtre de la ville de Trente.
    — Je ne sais pas, répond le prêtre. La pédophilie, je peux la comprendre. L’homosexualité, je ne sais pas. Je suis beaucoup allé dans les écoles, les enfants je les connais, et malheureusement il y a des enfants qui cherchent de l’affection parce qu’ils n’en reçoivent pas chez eux. Ils peuvent parfois tomber sur un prêtre qui cède, et ça je peux le comprendre.
    — Donc ce seraient les enfants qui…
    — En bonne partie, oui.
    — Donc les accusations à l’égard de la pédophilie sont injustifiées ?
    — Accusations… C’est un péché, et comme tous les péchés il doit être accepté.
    — Et en ce qui concerne l’homosexualité ?
    — Je n’ai pas de connaissances directes, je ne pourrais pas me prononcer. Je ne m’étonne pas que de telles choses arrivent, puisque l’Eglise est une communauté de pécheurs. Ce n’est pas pour rien que Jésus-Christ est mort pour les péchés. Comment expliquer, d’ailleurs, que surviennent des maladies ?
    — Parce que l’homosexualité est une maladie ?
    — Je pense vraiment… que oui.”

    La video a évidemment fait le buzz !
    https://www.youtube.com/watch?v=dKcnYDtG84M
    L’archidiocèse de Trente s’est empressé de se dissocier de ces déclarations et a annoncé la révocation du prêtre, qui ne pourra plus prêcher.

    Bien entendu, un enfant sans un père ou une mère, ou tout simplement en manque d'amour de leur part, ira le chercher ailleurs. Mais il ne voudra pas avoir une relation sexuelle. Par contre, il a de fortes chances de rencontrer quelqu'un de tendance pédophile. Les autres adultes ont assez de leurs propres enfants à s'occuper ! C'est donc l'adulte qui veut se satisfaire de "chair fraîche" et non l'inverse ! Une "chair fraîche" aussitôt rejetée dès que l'enfant aura un an de plus. Car ce n'est pas de l'Amour que cherche un pédophile, mais assouvir des penchants pervers sur un âge précis !

    D'où les désordres que peuvent occasionner les paires homos voulant un enfant ! Ce dernier ira un jour ou l'autre chercher l'autre sexe ailleurs ! Mais pour tomber sur qui ?

    http://www.courrierinternational.com/video/italie-le-pretre-qui-justifie-la-pedophilie

  • Qui peut m'indiquer la mairie où l'on vient de faire mimer à des collégiens une célébration de mariage entre 2 garçons puis entre 2 filles ?
    L'info m'est passée sous les yeux il y a quelques jours et j'ai eu tort de ne pas noter. L'endoctrinement homo commence tôt, il faut le dénoncer. (ne me répondez pas Saint-Pol-de-Léon ; ça c'était en 2014 et seulement entre deux garçons).

  • Ancenis.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/ancenis-propagande-lgbt-aupr%C3%A8s-des-enfants.html

  • Ce que Dranem dit si savamment, le malheureux prêtre polonais doit le savoir autant puisqu'il est théologien !
    Voilà un nouveau mystère pour moi : sachant ces choses-là comment ose-t-il adopter une attitude aussi provocatrice et dommageable pour son âme ?
    La seule réponse que je trouve, c'est qu'il a perdu la foi.

  • Damien 1er :
    "le malheureux prêtre polonais doit le savoir autant puisqu'il est théologien !
    Voilà un nouveau mystère pour moi : sachant ces choses-là comment ose-t-il adopter une attitude aussi provocatrice et dommageable pour son âme ?"

    __________________ > C'est justement ce qu'on appelle le Mystère d'Iniquité. Un mal incompréhensible, dont Dieu seul connaît les tenants et aboutissants. Le blasphème contre la grâce. Mais peut-être qu'un jour il connaîtra le repentir.

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