Le cardinal Schönborn, dont on connaît la tendresse pour les homosexuels, se répand dans la Civilta Cattolica, la revue jésuite étroitement liée au pape. Il parle des « couples de fait », donc des gens qui vivent dans la luxure (fornication, adultère, homosexualité) de façon habituelle. Il y a là dit-il (quand ils persévèrent dans cet état) « des éléments de véritable héroïsme, de véritable charité, de véritable don mutuel ». Certes, « ce n'est pas encore (sic) une pleine réalité du sacrement », « mais qui sommes-nous pour juger et dire qu'il n'y a pas en eux des éléments de vérité et de sanctification ? »
Si vous voulez en lire davantage (en vous tenant près de la cuvette des toilettes), c’est ici.
Commentaires
Même Mgr Di Falco dit moins d'âneries.
Les manoeuvres d'intox avant-synode battent leur plein.
Tenons nous au courant de ce que les vrais cardinaux et évêques catholiques disent et écrivent: Burke, Sarah, Brandmuller, Schneider, et quelques autres. nous sommes sûrs d'entendre la voix de notre Mère l'Eglise.
Laissons les crypto-protestants dans leur folie..
La tactique de Vatican II est reprise: "c'est pastoral, on ne touche pas aux dogmes", et cela marche encore? Nous sommes C...S ou quoi?
Tous ces évêques sont des renégats, des excommuniés de facto.
On reconnaît un évêque catholique à la sûreté de sa doctrine et à sa connaissance aimante de ses prochains. un évêque catholique aime les âmes, c'est à dire la quintessence des gens et veut farouchement le salut de chacun.
Pas de sourire rotary, pas de langue de buis, pas d'hypocrisie maquillée en "théologie de" machin chose ou en "pastorale", on le reconnaît alors à son respect attentif et passionné pour la Liturgie divine.
( une bénédiction bâclée en dit plus long sur un ecclésiastique, qu'un inventaire à la Prévert de ses qualités, relations et péroraisons médiagéniques. )
Enfin un vrai évêque a le mâle-courage de se battre jusqu'à l'opprobre et la mort pour la Vérité, qui est une personne, et qui est son Dieu.